Alors voili voilo, c'est avec la bénédiction du grand, magnifique, extraordinaire, fantasmatique (Quoi, je n'ai pas écris fantastique ?) que l'humble et modeste gars que je suis, vient poser des petits écrits ici.
Je sens les remarques du genre "Ce type est pas comme nous, il ne dessine pas etc ...". Bon, pour couper court à tout cela, sachez que tel le ténia, je m'accrocherai. Mes écrits de plus ne seront pas trés longs et la plupart du temps n'auront pas de liens entre eux (sauf si je fais un truc à rallonge).
En concertation avec le Tsuka boss, je me permets de vous informer que certains écrits pourront choquer certaines personnes de par leur contenu violent ou sexuel. Ces écrits seront écrits en blanc et avant figurera un
avertissement en grosses lettres rouges . Donc ne venez pas dire que vous n'aurez pas été prévenu.
L'écriture du Kim 2
Thème: Vampire
Elle avait douze ans, six mois et onze jours. Elle vivait depuis 6 ans chez son oncle et sa tante. Sa mère était morte en la mettant au monde, d'une hémorragie durant l'accouchement. Il y avait une chance sur un million pour que cela arrive et pourtant, cela était arrivé. Quand il avait appris sa mort, des centaines de milliers d'idées noires lui avaient traversé la tête, mais il n'avait rien fait, à cause de cette petite parcelle de vie braillante qui restait à coté de lui. Alors il avait continué à vivre pour ce petit bébé qui était sa fille.
Trois ans plus tard, il mourrait. Officiellement agressé dans la rue. Officieusement, mordu par un vampire. Ce dernier avait-il voulu faire une expérience, vérifier quelque chose (?), toujours était-il qu'il avait bu le sang des maudits et que sa condition avait changé du jour au lendemain. De père aimant, il était devenu une bête assoiffée quasi immortelle. Il se souvenait sa première victime quand il était sorti de terre une nuit. Un ivrogne sur qui il s'était rué et qu'il avait vidé de tout son sang naturellement. La première fois, on ne se contrôlle pas. Il avait compris aprés ce premier repas l'horreur de sa nouvelle condition, l'avait rejeté, tenté de se tuer, puis sans réussir, avait accepté cette nouvelle vie et pour épargner ses proches - pour l'épargner, elle surtout qui était sa fille, son dernier souvenir de vivant - il était parti pour une autre ville.
Il ne l'avait pas revu depuis. Sa situation avait évoluée depuis, il s'était installé comme on disait. Il avait vécu de nouvelles choses, rencontré d'autres êtres comme lui et s'était intégré dans une nouvelle société. Aujourd'hui, il était revenu sur cette ville dans laquelle il avait jadis vécu. Pour affaires officiellement, pour la revoir officieusement. Quand on part, on pense toujours oublier ce qu'on laisse derrière soi. Mais là, le passé l'avait rattrappé. La nostalgie comme on dit. Et posté là dans la rue, il regardait les fenêtres de cette maison qui n'était pas la sienne mais celle de son ancien beau-frère, celle où se trouvait sa fille. Il avait plusieurs fois songé à venir la chercher, à la mordre, à lui faire boire le sang des maudits, mais cela reviendrait à la marquer comme lui et cela, quelque part, il ne le voulait pas. Il voulait qu'elle vive, qu'elle se marie, qu'elle enfante et non crée des adultes sans saveur comme il l'avait fait. Il voulait qu'elle aie un bout de chou et qu'elle le fasse grandir, qu'elle lui enseigne des choses, qu'il pose des questions, qu'il aille à l'école etc ... Bref, il voulait qu'elle aie tout ce que lui n'avait pu vivre ou plutôt vivre trop brievement.
Il regardait la maison avec ses quelques fenêtres encore éclairées et un sentiment de gêne s'emparait de lui. Il n'osait pas y aller, franchir le pas, aller la voir. C'était un peu comme un trac avant d'entrer en scène; il se retrouvait face à quelque chose qu'il avait attendu de nombreuses années durant, ne sachant que faire, paniquant presque. Lui, le vampire qui tuait impitoyablement se trouvait désarmé à la seule pensée d'avancer pour aller voir une petite fille de douze ans en train de dormir.
Les dernières lumières s'éteignirent. Il attendit une heure ensuite, puis respirant un grand coup, se dirigea vers la maison.
Elle avait douze ans, six mois et onze jours. Elle vivait depuis 6 ans chez son oncle et sa tante. Sa mère était morte en la mettant au monde, d'une hémorragie durant l'accouchement. Il y avait une chance sur un million pour que cela arrive et pourtant, cela était arrivé. Quand il avait appris sa mort, des centaines de milliers d'idées noires lui avaient traversé la tête, mais il n'avait rien fait, à cause de cette petite parcelle de vie braillante qui restait à coté de lui. Alors il avait continué à vivre pour ce petit bébé qui était sa fille.
Trois ans plus tard, il mourrait. Officiellement agressé dans la rue. Officieusement, mordu par un vampire. Ce dernier avait-il voulu faire une expérience, vérifier quelque chose (?), toujours était-il qu'il avait bu le sang des maudits et que sa condition avait changé du jour au lendemain. De père aimant, il était devenu une bête assoiffée quasi immortelle. Il se souvenait sa première victime quand il était sorti de terre une nuit. Un ivrogne sur qui il s'était rué et qu'il avait vidé de tout son sang naturellement. La première fois, on ne se contrôlle pas. Il avait compris aprés ce premier repas l'horreur de sa nouvelle condition, l'avait rejeté, tenté de se tuer, puis sans réussir, avait accepté cette nouvelle vie et pour épargner ses proches - pour l'épargner, elle surtout qui était sa fille, son dernier souvenir de vivant - il était parti pour une autre ville.
Il ne l'avait pas revu depuis. Sa situation avait évoluée depuis, il s'était installé comme on disait. Il avait vécu de nouvelles choses, rencontré d'autres êtres comme lui et s'était intégré dans une nouvelle société. Aujourd'hui, il était revenu sur cette ville dans laquelle il avait jadis vécu. Pour affaires officiellement, pour la revoir officieusement. Quand on part, on pense toujours oublier ce qu'on laisse derrière soi. Mais là, le passé l'avait rattrappé. La nostalgie comme on dit. Et posté là dans la rue, il regardait les fenêtres de cette maison qui n'était pas la sienne mais celle de son ancien beau-frère, celle où se trouvait sa fille. Il avait plusieurs fois songé à venir la chercher, à la mordre, à lui faire boire le sang des maudits, mais cela reviendrait à la marquer comme lui et cela, quelque part, il ne le voulait pas. Il voulait qu'elle vive, qu'elle se marie, qu'elle enfante et non crée des adultes sans saveur comme il l'avait fait. Il voulait qu'elle aie un bout de chou et qu'elle le fasse grandir, qu'elle lui enseigne des choses, qu'il pose des questions, qu'il aille à l'école etc ... Bref, il voulait qu'elle aie tout ce que lui n'avait pu vivre ou plutôt vivre trop brievement.
Il regardait la maison avec ses quelques fenêtres encore éclairées et un sentiment de gêne s'emparait de lui. Il n'osait pas y aller, franchir le pas, aller la voir. C'était un peu comme un trac avant d'entrer en scène; il se retrouvait face à quelque chose qu'il avait attendu de nombreuses années durant, ne sachant que faire, paniquant presque. Lui, le vampire qui tuait impitoyablement se trouvait désarmé à la seule pensée d'avancer pour aller voir une petite fille de douze ans en train de dormir.
Les dernières lumières s'éteignirent. Il attendit une heure ensuite, puis respirant un grand coup, se dirigea vers la maison.
yop
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Alrob
- Otaking !
- Messages : 973
- Enregistré le : sam. 11 juin 2005, 19:31
- Localisation : nantes.com
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yak -> les canibale ca ne fait pas "fantastique" parce que ca existe en vrai..
mais je suis assez d'accord avec toi, le vampire est un peu passé de mode (dure de fair mieu que l'excelent "entretient avec un vampire).
aujourd'hui faut essayer de composer avec les zombis (cf bistroboy) et les goules
kim 2->ton texte n'est pas trés agréable a lire, le temps utilisé me semble mal choisi (trop lourd), il y a beaucoup de répétition dans les termes pour un petit texte..
aprés l'histoire, on aime ou pas, mais là le probléme c'est que j'ai eu du mal a me plonger dedans a cause des mots employé.
voila, bon courage.
les mots en gras c'est quand ca m'a semblé désagréable a lire.
mais je suis assez d'accord avec toi, le vampire est un peu passé de mode (dure de fair mieu que l'excelent "entretient avec un vampire).
aujourd'hui faut essayer de composer avec les zombis (cf bistroboy) et les goules
kim 2->ton texte n'est pas trés agréable a lire, le temps utilisé me semble mal choisi (trop lourd), il y a beaucoup de répétition dans les termes pour un petit texte..
aprés l'histoire, on aime ou pas, mais là le probléme c'est que j'ai eu du mal a me plonger dedans a cause des mots employé.
voila, bon courage.
les mots en gras c'est quand ca m'a semblé désagréable a lire.
kim 2 a écrit :Thème: Vampire
Elle avait douze ans, six mois et onze jours. Elle vivait depuis 6 ans chez son oncle et sa tante. Sa mère était morte en la mettant au monde, d'une hémorragie durant l'accouchement. Il y avait une chance sur un million pour que cela arrive et pourtant, cela était arrivé. Quand il avait appris sa mort, des centaines de milliers d'idées noires lui avaient traversé la tête, mais il n'avait rien fait, à cause de cette petite parcelle de vie braillante qui restait à coté de lui. Alors il avait continué à vivre pour ce petit bébé qui était sa fille.
Trois ans plus tard, il mourrait. Officiellement agressé dans la rue. Officieusement, mordu par un vampire. Ce dernier avait-il voulu faire une expérience, vérifier quelque chose (?), toujours était-il qu'il avait bu le sang des maudits et que sa condition avait changé du jour au lendemain. De père aimant, il était devenu une bête assoiffée quasi immortelle. Il se souvenait sa première victime quand il était sorti de terre une nuit. Un ivrogne sur qui il s'était rué et qu'il avait vidé de tout son sang naturellement. La première fois, on ne se contrôlle pas. Il avait compris aprés ce premier repas l'horreur de sa nouvelle condition, l'avait rejeté, tenté de se tuer, puis sans réussir, avait accepté cette nouvelle vie et pour épargner ses proches - pour l'épargner, elle surtout qui était sa fille, son dernier souvenir de vivant - il était parti pour une autre ville.
Il ne l'avait pas revu depuis. Sa situation avait évoluée depuis, il s'était installé comme on disait. Il avait vécu de nouvelles choses, rencontré d'autres êtres comme lui et s'était intégré dans une nouvelle société. Aujourd'hui, il était revenu sur cette ville dans laquelle il avait jadis vécu. Pour affaires officiellement, pour la revoir officieusement. Quand on part, on pense toujours oublier ce qu'on laisse derrière soi. Mais là, le passé l'avait rattrappé. La nostalgie comme on dit. Et posté là dans la rue, il regardait les fenêtres de cette maison qui n'était pas la sienne mais celle de son ancien beau-frère, celle où se trouvait sa fille. Il avait plusieurs fois songé à venir la chercher, à la mordre, à lui faire boire le sang des maudits, mais cela reviendrait à la marquer comme lui et cela, quelque part, il ne le voulait pas. Il voulait qu'elle vive, qu'elle se marie, qu'elle enfante et non crée des adultes sans saveur comme il l'avait fait. Il voulait qu'elle aie un bout de chou et qu'elle le fasse grandir, qu'elle lui enseigne des choses, qu'il pose des questions, qu'il aille à l'école etc ... Bref, il voulait qu'elle aie tout ce que lui n'avait pu vivre ou plutôt vivre trop brievement.
Il regardait la maison avec ses quelques fenêtres encore éclairées et un sentiment de gêne s'emparait de lui. Il n'osait pas y aller, franchir le pas, aller la voir. C'était un peu comme un trac avant d'entrer en scène; il se retrouvait face à quelque chose qu'il avait attendu de nombreuses années durant, ne sachant que faire, paniquant presque. Lui, le vampire qui tuait impitoyablement se trouvait désarmé à la seule pensée d'avancer pour aller voir une petite fille de douze ans en train de dormir.
Les dernières lumières s'éteignirent. Il attendit une heure ensuite, puis respirant un grand coup, se dirigea vers la maison.
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berseker
- mouton câlin
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- Enregistré le : jeu. 27 nov. 2003, 11:05
- Localisation : Paris mais presque
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Comme Alrob, je trouve que le texte peche vraiment au niveau de la forme. Quelques passes simples au milieux de tous ces imparfaits donneraient du rythme, l'exces de pronoms personnels alourdit et embrouille, j'ai l'impression que tu te perds tout seul dans tes phrases a rallonge ("Bref, il voulait qu'elle aie tout ce que lui n'avait pu vivre ou plutôt vivre trop brievement." par exemple). En gros, je ne trouve pas ca fluide du tout.
Et le theme, les repetitions a foison et les pronoms personnels me donnent vraiment une impression de kitsch.
Et le theme, les repetitions a foison et les pronoms personnels me donnent vraiment une impression de kitsch.
Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
bah j'ai sorti "cannibales" comme j'aurais pu dire "inguanes ninja garou mangeuses d'homme"
autrement, un defaut du texte est qu'il veut raconter trop de chose en trop peu de mots. Y a la fois l'amour du gus pour sa mome, sa decheance, la mort du chien, son dernier coup, les stats de l'oms sur les risques d'un accouchement, le taux d'alcolemie du ninja qui l'a mordu...
autrement, un defaut du texte est qu'il veut raconter trop de chose en trop peu de mots. Y a la fois l'amour du gus pour sa mome, sa decheance, la mort du chien, son dernier coup, les stats de l'oms sur les risques d'un accouchement, le taux d'alcolemie du ninja qui l'a mordu...
Modifié en dernier par yak le jeu. 12 janv. 2006, 14:20, modifié 2 fois.
GOD FINGER!!!!
