Et à propos des films ?
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TRANTKAT
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La Puce et moi venons de voir "The Villèèèdge" de M. Night SHYAMALAMANYAMngh...
Il fait totalement l'impasse sur l'élevage de Chihahuas nécéssaire à l'écorchage... Je trouve ça malhonnête pour un script teeeeeellement bien construit.
J'ai cependant eu une illumination durant ce film:
La scène du baiser entre Joaquin Phoenix (égal à lui-même, passablement atone) et la jolie Bryce Dallas Howard (qui joue l'aveugle, de temps en temps, à partir d'une demi-heure de film...), qui se vouent, dans ce film, une passion dévorante propre à la politesse des films des années 50.
Qu'importe, ce qui compte, c'est que cette scène résume à elle seule tout le style du cinéaste: Deux personnages de profil en plan sérré. Ils vont s'embrasser, la tension érotique monte alors que la caméra, déjà, recule... zoom arrière... zoom arrière, leurs lèvres se tendent, la caméra commence à panoter sur la gauche et lorsque leurs lèvres se touchent, ils ne restent qu'1 dixième de seconde dans le champs puisque le réalisateur a décidé de nous éviter ça pour plutôt s'attarder en fin de panottage environ 3 secondes sur un rocking-chair sur le péron en plan fixe.
Splendide!
Le cinéma de M. Night Shyamalan résumé par M. Night Shyamalan en une scène.
Oui, car Night, i'fait pas dans la mise en scène primaire qui montre, non! ... quoi de plus vulgaire que de montrer, franchement ? Hein, avouez?
Nous ne mangeons pas de ce pain-là, nous, gens de bon goût!
M. Shyamalan nous emmène dans les méandres de notre imaginaire et nous aide par quelques subtils subterfuges à réveiller notre propre capacité créatrice, à accoler nos propres émotions, nos propres images dans son montage, à participer activement à son film...
Le cinéma de l'évocation!
C'est beau, vraiment.
En même temps, je trouve le plan sur la chaise à bascule trop court... j'ai pas eu le temps d'imaginer la scène entre les amoureux jusqu'à l'éjac faciale... dommage.
Il fait totalement l'impasse sur l'élevage de Chihahuas nécéssaire à l'écorchage... Je trouve ça malhonnête pour un script teeeeeellement bien construit.
J'ai cependant eu une illumination durant ce film:
La scène du baiser entre Joaquin Phoenix (égal à lui-même, passablement atone) et la jolie Bryce Dallas Howard (qui joue l'aveugle, de temps en temps, à partir d'une demi-heure de film...), qui se vouent, dans ce film, une passion dévorante propre à la politesse des films des années 50.
Qu'importe, ce qui compte, c'est que cette scène résume à elle seule tout le style du cinéaste: Deux personnages de profil en plan sérré. Ils vont s'embrasser, la tension érotique monte alors que la caméra, déjà, recule... zoom arrière... zoom arrière, leurs lèvres se tendent, la caméra commence à panoter sur la gauche et lorsque leurs lèvres se touchent, ils ne restent qu'1 dixième de seconde dans le champs puisque le réalisateur a décidé de nous éviter ça pour plutôt s'attarder en fin de panottage environ 3 secondes sur un rocking-chair sur le péron en plan fixe.
Splendide!
Le cinéma de M. Night Shyamalan résumé par M. Night Shyamalan en une scène.
Oui, car Night, i'fait pas dans la mise en scène primaire qui montre, non! ... quoi de plus vulgaire que de montrer, franchement ? Hein, avouez?
Nous ne mangeons pas de ce pain-là, nous, gens de bon goût!
M. Shyamalan nous emmène dans les méandres de notre imaginaire et nous aide par quelques subtils subterfuges à réveiller notre propre capacité créatrice, à accoler nos propres émotions, nos propres images dans son montage, à participer activement à son film...
Le cinéma de l'évocation!
C'est beau, vraiment.
En même temps, je trouve le plan sur la chaise à bascule trop court... j'ai pas eu le temps d'imaginer la scène entre les amoureux jusqu'à l'éjac faciale... dommage.
Jamais compris l'engouement pour ce film, c'était tellement prévisible et décevant...-
TRANTKAT
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Non, j' avais bien aimé " sixième sens" et " incassable", je trouvais que ça nous changeait un peu... Pas dit que je les remate, mais je n'avais pas fait mon difficile, " sixième sens " m'avais surpris, et si " incassable " est un peu " cheesy ", il était suffisament " hors sentiers " pour me plaire ( oui, en général je ne suis pas trop compliqué niveau cinéma, pas assez de culture pour ça ^^ )... Mais avec " The Village " il a voulu faire du fantastique subtil, vieille école façon " Le Tour d' écrou ", et s'est ramassé à mon sens... Hors le vrai fantastique, j'adore, je vénère, c'est tout un art de la narration, tout en sous-entendus et en suggestion, le vrai fantastique c'est quasiment sensuel...Là, c 'est un mystère qui débouche sur rien, un donjon dont l' ultime salle est... Les chiottes : Tout ça pour un gros " Plouf " au final.... Il a voulu taper haut et sophistiqué, mais ce n'était pas à sa mesure à mon sens...
"Il y a des cons partout, et même des fois c'est nous."
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TRANTKAT
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... si tu n'as pas vu "Signs"... va cours vole!
Parce qu'il en fait de même avec la SF... après tu pourras revoir ces 2 précédents... tu auras une vision très nette de la recette shyamalan.
Chez moi, la sauce n'a jamais pris: c'est le Canada Dry du sophistiqué.
... même son scénar de Stuart Little, est chiant.
Parce qu'il en fait de même avec la SF... après tu pourras revoir ces 2 précédents... tu auras une vision très nette de la recette shyamalan.
Chez moi, la sauce n'a jamais pris: c'est le Canada Dry du sophistiqué.
... même son scénar de Stuart Little, est chiant.
Ben, Signs ça m'a fait peur.... J'ai vu Mel Gibson, bon fermier, bon croyant dans toutes ces histoires de sel de la terre et de brebis égarées, prèt à voir une manifestation du seigneur dés qu' un épi de maïs pousse de travers, et je me suis dit " Ok, vu, celui là c'est pas pour moi, quelle que soit la conclusion on devra tous louer le seigneur devant l' écran..." ( Non, je ne suis pas anti religion/religieux, mais j'aime pas qu'on me dise ce que je dois penser...).
Enfin faut dire que Mel Gibson ne m'a amusé que dans Mad Max aussi...
Enfin faut dire que Mel Gibson ne m'a amusé que dans Mad Max aussi...
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patrouchef
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Balak
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comedie familiale, ah bon.
bon moi j'ai été voir KING KONG et c'est le meilleur film que j'ai vu dans un cinéma depuis un moment.
ras le cul de me taper des films cette année qui se veulent grand spectacle et ou tu fini toujours par te dire "mouais il était pas mal le dragon, là, mui y'a des bons effets là quand la ville elle est détruite par des aliens méchant, mui le truc que chevauche anakin il devait avoir un putain de bon setup", mais a l'arrivée t'as juste vu un mauvais film mal branlé.
et bah là KING KONG bah c'est un putain de bon film bien branlé avec des putain d'FX oké, mais qui marchent toujours avec la narration, pas QUE du eye candy pour glaireux qui kiffent la troidèze.
après les grosses blagues suscitées (pour ceux qui suivent pas: starvarze episode whatmille, harry potter et le gobelet qui brule et la guerre des mongoliens), se faire porter comme un gosse sans se faire insulter l'intelligence par le désormais maigrichon Jackson, frémir d'aise devant un gros singe qui se frite avec un tireske, etre tétanisé par les insectes géant, et surtout tomber complètement amoureux de la Bête, tout ça pendant 3 heures, c'est juste super bon.
EH OUAIS GROS!
En bref, King Kong a atteint 6.5 sur l'échelle des "films que si tu les insultes, c'est comme si tu m'insultais moi et ma famille ".
bon moi j'ai été voir KING KONG et c'est le meilleur film que j'ai vu dans un cinéma depuis un moment.
ras le cul de me taper des films cette année qui se veulent grand spectacle et ou tu fini toujours par te dire "mouais il était pas mal le dragon, là, mui y'a des bons effets là quand la ville elle est détruite par des aliens méchant, mui le truc que chevauche anakin il devait avoir un putain de bon setup", mais a l'arrivée t'as juste vu un mauvais film mal branlé.
et bah là KING KONG bah c'est un putain de bon film bien branlé avec des putain d'FX oké, mais qui marchent toujours avec la narration, pas QUE du eye candy pour glaireux qui kiffent la troidèze.
après les grosses blagues suscitées (pour ceux qui suivent pas: starvarze episode whatmille, harry potter et le gobelet qui brule et la guerre des mongoliens), se faire porter comme un gosse sans se faire insulter l'intelligence par le désormais maigrichon Jackson, frémir d'aise devant un gros singe qui se frite avec un tireske, etre tétanisé par les insectes géant, et surtout tomber complètement amoureux de la Bête, tout ça pendant 3 heures, c'est juste super bon.
EH OUAIS GROS!
En bref, King Kong a atteint 6.5 sur l'échelle des "films que si tu les insultes, c'est comme si tu m'insultais moi et ma famille ".
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book
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