Il y a des reponses interessantes dans ton lien, surtout pour le coté manipulation des tripes qui permet de travestir les arguments et de peindre un tableau monstrueux du schlimblick. Et sur ce plan là le texte linké par beber est bien équipé.
Mais quand je lis ça :
Bien sûr, il y a des cas sociaux, des destins brisés, des cas psychiatriques dans le X. Où n’y en a-t-il pas ?
j'ai envie d'arreter de lire. finalement chuis allé au bout du texte et on retrouve en fait le schéma classique du fight entre un papier qui vise à cogner façon M1 Abrahms et un argumentaire minimisateur qui s'en prend au coté excessif, mais tait les questions de fonds en ressortant la panoplie classique :
Personne n’a forcé Rafaella Anderson à aller faire des double pénétrations chez Pontello. Elle l’a fait par choix.
En dix ans de pornographie, après avoir côtoyé et travaillé avec une bonne part du X européen je n’ai jamais vu ni entendu personne me faire part de pratiques violentes...
Mais on se fait BEAUCOUP moins mal dans le X que dans n’importe quel sport
Si le porno dans son ensemble était une salle de torture et si, vraiment, de telles entorses à la dignité et à l’intégrité physique des actrices étaient la norme, elles seraient l’objet de procès acharnés et médiatiques.
exagerations contre mauvaise foi, balle au centre ?
Pas pour moi, parce que ça ne repond nullement à la question de l'etat et des possibles faiblesses psychologiques de ces filles qui constitue la base du premier texte.
Pour finir, difficile de prendre position dans ce genre debat sans risquer se faire etiqueter de moraliste ou le contraire... (je dis ça par rapport à mes propres reactions reflexes que je me suis surpris à avoir)