Et à propos des films ?
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CC> En l'occurence Lou a raison, carré blanc sur fond blanc, c'est bien de l'art moderne (qui est de la peinture) contrairement à l'art contemporain (qui peut être installation.
Sinon, j'aime bien Lynch, je suis fan depuis que j'ai vu Twin peaks (la serie) quand j'avais 12 ans, et puis après lorsque j'ai découvert Blue Velvet.
Par contre Dune est à mon avis son plus mauvais film, et n'a de cultissime que le nom.
Pour ce qui est d'Inland Empire, je ne l'ai pas encore vu, mais Lou a bien ressorti toutes les "critiques" que j'ai entendu "on a rien compris comme d'habitude mais c'est génial". Et j'avoue que ce sont les critiques que je ne comprends pas. Perso je comprends les Lynch, je ne dis pas que j'ai la vérité, mais quand je le vois j'ai ma propre opinion de ce qui est dit dedans, je n'en ressort pas vide comme le ventre de diahrrée man.
Bon sinon je sais maintenant que je suis un bobo de merde. Chié !
Sinon, j'aime bien Lynch, je suis fan depuis que j'ai vu Twin peaks (la serie) quand j'avais 12 ans, et puis après lorsque j'ai découvert Blue Velvet.
Par contre Dune est à mon avis son plus mauvais film, et n'a de cultissime que le nom.
Pour ce qui est d'Inland Empire, je ne l'ai pas encore vu, mais Lou a bien ressorti toutes les "critiques" que j'ai entendu "on a rien compris comme d'habitude mais c'est génial". Et j'avoue que ce sont les critiques que je ne comprends pas. Perso je comprends les Lynch, je ne dis pas que j'ai la vérité, mais quand je le vois j'ai ma propre opinion de ce qui est dit dedans, je n'en ressort pas vide comme le ventre de diahrrée man.
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Haaaaaaahahahahahahahaha!!fik le roux a écrit :CC> En l'occurence Lou a raison, carré blanc sur fond blanc, c'est bien de l'art moderne (qui est de la peinture) contrairement à l'art contemporain (qui peut être installation.


casse-couille :

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ya une différence entre sénilité précoce, et réalisme fondé ! mais vu de ton esprit d'ado ça doit etre dur à capter ...Little Lou a écrit :Tu crois que c'est mieux de devenir nazi par sénilité précoce? Je t'en foutrai, des rébellions d'adolescent!
fik le roux > la différence entre moderne et contemporain ne se situe pas dans le médium comme tu sembles le dire, mais dans l'époque, donc avec lynch on parle bien de contemporain (meme si effectivement Malevitch faisait des carrés blancs sur fonds noirs au début du 20ème siècle, mais avec "ça commence à bien faire" elle parle bien du présent). donc elle s'est gourrée. donc little lou a tort.
"Je préfère pomper d'abord !"
Tsuka
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Mouééé, en même temps, niveau mauvaise foi, Little Lou, t'en connais un rayon.
Tu peux le dire que tu avais envie de chier sur Lynch sans une once d'argumentation. Parceque "ouais Lynch il commence à me gonfler sec dans son dernier film que j'ai pas vu" ça ne va pas beaucoup plus loin que "ouais, j'ai rien compris mais c'est génial". Pour ce dernier genre de réflexion, il peut y avoir d'un côté ceux qui disent ça parcequ'ils ont lu effectivement dans le dernier Télérama que c'était vachement bien alors qu'ils ont rien pané, une attitude à la Perceval quoi :
- Tu as vu le dernier Lynch ? Son intériorité métaphysique mystique m'a mis les circonvolutions en ébullition.
- C'est pas faux...
Et d'autres à qui le film a vraiment parlé, ils ont ressenti plein de choses en le regardant (bzzzz... ah non, ça c'est mon portable, au temps pour moi) mais ils n'ont pas pu l'exprimer correctement, ils ont senti quelque chose de puissant derrière sans pouvoir articuler toutes les pièces éparses que Lynch leur a présenté et donc ils préfèrent avouer honnêtement "j'ai rien capté mais j'ai bien aimé".
En général, j'aime bien Lynch, et comme Fik, si je ne peux pas dire que je saisis tout dans ses films (ce n'est pas pire qu'un foutage de gueule esotérique à la Kurosawa Kiyoshi...), je ne ressors pas d'un visionnage dégouté d'avoir perdu deux heures, j'en ai tiré quelque chose. Et c'est vrai qu'après la série Twin Peaks, t'es prêt à t'accrocher pour voir ce que le gars va te sortir par la suite.
@+
Chron
Tu peux le dire que tu avais envie de chier sur Lynch sans une once d'argumentation. Parceque "ouais Lynch il commence à me gonfler sec dans son dernier film que j'ai pas vu" ça ne va pas beaucoup plus loin que "ouais, j'ai rien compris mais c'est génial". Pour ce dernier genre de réflexion, il peut y avoir d'un côté ceux qui disent ça parcequ'ils ont lu effectivement dans le dernier Télérama que c'était vachement bien alors qu'ils ont rien pané, une attitude à la Perceval quoi :
- Tu as vu le dernier Lynch ? Son intériorité métaphysique mystique m'a mis les circonvolutions en ébullition.
- C'est pas faux...
Et d'autres à qui le film a vraiment parlé, ils ont ressenti plein de choses en le regardant (bzzzz... ah non, ça c'est mon portable, au temps pour moi) mais ils n'ont pas pu l'exprimer correctement, ils ont senti quelque chose de puissant derrière sans pouvoir articuler toutes les pièces éparses que Lynch leur a présenté et donc ils préfèrent avouer honnêtement "j'ai rien capté mais j'ai bien aimé".
En général, j'aime bien Lynch, et comme Fik, si je ne peux pas dire que je saisis tout dans ses films (ce n'est pas pire qu'un foutage de gueule esotérique à la Kurosawa Kiyoshi...), je ne ressors pas d'un visionnage dégouté d'avoir perdu deux heures, j'en ai tiré quelque chose. Et c'est vrai qu'après la série Twin Peaks, t'es prêt à t'accrocher pour voir ce que le gars va te sortir par la suite.
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AhAHAHaHAHAHAAHAHAjesus_kryst a écrit :vu que le dernier film qu'on as vu ensemble c'etait Danny ze Dog ,je m'autorises a t'imposer un David Lynch ,comme ca ,ca feras un partout .
Bon sinon, moi j'ai du avoir les même cours que CC,
vu que je l'appuierai dans ses définitions.
Enfin bon, bref.
La discussion est intérressante tout de même.
Est ce que pour être bon un film doit être compréhensible,
apparemment non ?
Réussir à fourguer du cinéma, on va dire abstrait, à du public
mainstream, c'est quand même balèze.
J'avais adoré le film sur Twin Peaks, j'ai pas capté grand chose.
Mais à la fin, je m'en foutais. Du coup j'ai commencé la série.
Et Dune, oui c'est marrant, j'ai toujours entendu cracher dessus.
Je l'ai revu y a pas longtemps, et je le trouve toujours assez bien,
j'y ai retrouvé l'atmosphère du bouquin.
"Et le Directeur de cabinet était également parti faire pipi ?"
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Perso j'ai lu tout dune avant de voir le film, j'aurais pas vu les choses comme ça (graphiquement, mais bon ça c'est pas grand chose), mais sinon j'ai trouvé que c'était pas mal pour l'époque, sauf a partir du moment ou MuadDib reviens en force parce que ça semble alors aller direct a la fin comme si ils avaient plus le temps ou plus de sous.
Et ne pas tout comprendre a un film ne m'a jamais empêcher de l'aimer. Faut juste que ça provoque la reflexion mais en donnant des réponses non évidentes.
Et ne pas tout comprendre a un film ne m'a jamais empêcher de l'aimer. Faut juste que ça provoque la reflexion mais en donnant des réponses non évidentes.
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Non mais lou a raison.
Battlefield Baseball c'est génial.
Surtout la scène ou le héros chante son trauma d'enfance avé son papa...
et c'est pas vraiment comparable à Shaolin soccer, pas le meme budget, pas les memes ambitions.
Battlefield Baseball c'est génial.
Surtout la scène ou le héros chante son trauma d'enfance avé son papa...
et c'est pas vraiment comparable à Shaolin soccer, pas le meme budget, pas les memes ambitions.
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Le meilleur film de Lynch c'est Dune ! J'aime bien dire ça aux amateurs du monsieur parce que 1/ Dune, par rapport au manga... au livre, c'est pas si raté que ça ds l'ambiance, et 2/ paske ça fait chier ceux qui aiment Lynch.
Moi en général Lynch ça me fait un peu ch..., c'est joli des fois mais trop lisible ds sa volonté d'illisibilité. Genre Twin Peaks. Rigolo et visuellement captatif pendant un moment mais bon, le petit livre rouge de la psychanalyse provinciale et les constructions jungiennes en guise de scénar, ça va un temps.
Ah Battlefield Baseball, du vrai cinéma de quartier ça, un film qui prends des risques avec son sujet, un sujet qui prends des risques avec son film, un producteur qui prends pas de risque avec son budget... Yo ça le fait pour moi, et je l'ai vu tout seul en plusse, pas d'autres gens pour dire "wôah, tavu ohé ho !" . Donc mon avis d'il y a trois ans copié/Collé depuis cinemasie >
http://www.cinemasie.com/fr/japon/fiche ... ldstadium/
Moi en général Lynch ça me fait un peu ch..., c'est joli des fois mais trop lisible ds sa volonté d'illisibilité. Genre Twin Peaks. Rigolo et visuellement captatif pendant un moment mais bon, le petit livre rouge de la psychanalyse provinciale et les constructions jungiennes en guise de scénar, ça va un temps.
Ah Battlefield Baseball, du vrai cinéma de quartier ça, un film qui prends des risques avec son sujet, un sujet qui prends des risques avec son film, un producteur qui prends pas de risque avec son budget... Yo ça le fait pour moi, et je l'ai vu tout seul en plusse, pas d'autres gens pour dire "wôah, tavu ohé ho !" . Donc mon avis d'il y a trois ans copié/Collé depuis cinemasie >
http://www.cinemasie.com/fr/japon/fiche ... ldstadium/
3/5 | Dieux du stade et rois des cons...
Produit par le « hype » Kitamura Ryuhei et mettant en vedette son acteur fétiche Sakaguchi Tak, Battlefield Baseball malgré ses airs de Shaolin Soccer « like » est bien loin de ce dernier en termes de standing comme d’intentions. Tant mieux car sinon le résultat aurait pu dans ce cas être vraiment décevant.
Petite production fauchée le film de Yamaguchi joue bien plus sur un humour nonsensique et absurde typiquement manga que sur une pluie de sfx et d’action. D’ailleurs le film est tiré d’un manga de l’auteur Gataro Man (publié pendant un temps dans le mensuel Shonen Jump) qui définit lui-même son travail en général comme du « manga de merde » (kusoman que ça se dit paraît-il) avec beaucoup de gags scatos (attention les yeux et bouchez vous le nez) et trash. Si Battlefield Baseball n’atteint pas les extrémités « pipi, caca, popo » dont semblent faire preuves certaines des autres œuvres du mangaka, il n’en reste pas moins que sa sérialisation « discutée » dans le magazine Shonen Jump fût interrompue avant de trouver une fin bien définie, obligeant ainsi le réalisateur Yamiguchi Yudai a reprendre une partie de l’histoire en compagnie de Gataro lui-même, crédité du coup comme co-scénariste.
Au programme pas de délires scatos mais un squelette d’histoire, façon « récits de sports shonen » pour hordes d’ados, dynamitée de l’intérieur par un mélange de surenchère dans l’absurde, d’humour ras du bulbe et de jeu appuyé –limite gras- des acteurs qui ne lésinent pas sur les poses et mimiques. Ajoutons à tout cela une histoire de compétition de baseball « underground » où tous les coups sont permis, une équipe « infernale » composée de zombies de pacotilles, une galerie de personnages tout aussi archétypaux dans leurs représentations parodiques que le héros, et des « sublpots » aussi débiles que la trame principale et on tient là un film –dont les scènes sont autant de sketchs racontant une histoire- qui pourrait rappeler par certains côtés –seulement- l’esprit Monthy Python. Un humour qui demande une tournure d’esprit « aware » et ne fera donc pas forcément l’unanimité à l’export de la même façon qu’il l’a fait au Japon où le film a reçu un très bon accueil malgré son budget plutôt cheap, ouvrant d’ailleurs la voie au genre que Yamaguchi – dont le prochain film omnibus est une autre adaptation d’un manga de Gataro - qualifie de « comédie stupide nonsensique ».
Donc peu de scènes d’action spectaculaires (bien qu’elles soient pas trop mal menées, au vu des moyens, quand il y en a mais ce n’est clairement pas l’objet) dans ce film, que ce soit des combats ou des matchs de baseball, mais des idées saugrenues à la pelle qui ne font peut-être pas toujours mouche et souffrent de certaines baisses de rythme dans la mise en scène, mais assurent au final un solde de rire positif. Si le film tient la route c’est en partie aussi grâce à la prestation convaincante dans le registre parodique de Tak Sakaguchi qui joue à fond le rôle de contre-emploi dans un ton premier degré avec juste ce qu’il faut d’exagération, l’absurde du contexte et des motivations des personnages se chargeant de créer le décalage. Un film avec de petits moyens bien sympathique et sans prétentions qui touchera plus facilement les adeptes d’humour hongkongais ou les habitués des exagérations SD des mangas plutôt que le fan de Shaolin Soccer (et pas forcément de Stephen Chow...)



- jesus_kryst
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donc en fait lynch ceux qui aiment pas j'ai l'impression que c'est souvent par frustration et reaction par rapport a ceux qui aiment,ils se sentent peut étre lésé .
balak+ anton>>non franchement je ne vous comprends pas ,dire que ce film est bien ,voir genial ,je ne comprends point .
certes quelques gags sont d'une belle connerie nonsensique qui pourrait effectivement rappeler l'humour des monty python (l'acteur interchangeable ,le chien) mais ...
mais tout de même j'arrive pas a faire l'impasse sur le fait que c'est filmer avec le cul (vous ne serez peut etre pas d'accord ) jouer avec le cul (la non plus ), tourner sans une once de budget ,un dimanche dans un terrain vague .
L'argent on peut des fois s'en passer Versus marche bien ,mais quand un film se situe dans un lycée sans aucune raison perpetuelement vide ,des terrains de "baseball" sans une once de public ,je sais pas mais j'ai du mal a rentrer dedans .
et je vois pas comment ne pas voir une correspondance avec un shaolin soccer si c en'est en se mettant des oeilléres ,ca me sembles evident que les 2 films jouent sur le même registre ,sau que shaolin soccer a les moyens de ses ambitions (pourtant potaches)
voila il fallait retablir la verité ,donc si vous avez suffisament de volonté pour vous taper un film avec quelques gags sympas que vous auriez pu tourner vous même avec vos pôtes dans votre jardin ,ce film est peut étre fait pour vous .
balak+ anton>>non franchement je ne vous comprends pas ,dire que ce film est bien ,voir genial ,je ne comprends point .
certes quelques gags sont d'une belle connerie nonsensique qui pourrait effectivement rappeler l'humour des monty python (l'acteur interchangeable ,le chien) mais ...
mais tout de même j'arrive pas a faire l'impasse sur le fait que c'est filmer avec le cul (vous ne serez peut etre pas d'accord ) jouer avec le cul (la non plus ), tourner sans une once de budget ,un dimanche dans un terrain vague .
L'argent on peut des fois s'en passer Versus marche bien ,mais quand un film se situe dans un lycée sans aucune raison perpetuelement vide ,des terrains de "baseball" sans une once de public ,je sais pas mais j'ai du mal a rentrer dedans .
et je vois pas comment ne pas voir une correspondance avec un shaolin soccer si c en'est en se mettant des oeilléres ,ca me sembles evident que les 2 films jouent sur le même registre ,sau que shaolin soccer a les moyens de ses ambitions (pourtant potaches)
voila il fallait retablir la verité ,donc si vous avez suffisament de volonté pour vous taper un film avec quelques gags sympas que vous auriez pu tourner vous même avec vos pôtes dans votre jardin ,ce film est peut étre fait pour vous .
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Justement! C'est ça qui est drôle, aussi! Rien que de le lire ça me fait marrer.,mais quand un film se situe dans un lycée sans aucune raison perpetuelement vide ,des terrains de "baseball" sans une once de public ,

Excellente critique, l'ami Anton, vraiment! Et ce Lost Girls alors?

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Bon, ben, c'est un nanard, c'est un nanard, on va épiloguer éternellement sur ce film... Au moins ceux qui le regardent doivent être bien averti de ce que c'est, après si ça les éclate.
En tout cas, vous après presque réussi à mettre Fafah en rogne avec ça, ce qui est déjà un exploit en soi.
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En tout cas, vous après presque réussi à mettre Fafah en rogne avec ça, ce qui est déjà un exploit en soi.
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