JeP> Pour ma part, c'est un peu l'inverse au LtAM, les profs sont au moins trilingues (français, luxembourgeois et allemand), mais parlent quasiment qu'en français (ya pas trop d'élèves luxembourgeois) lorsqu'ils s'adressent aux élèves et lorsqu'ils doivent faire un cour/un énoncé, ils le font d'abord en fr, puis en luxo/allemand. Paradoxal, hein? Je pense que ça s'appelle un privilège...
Bon et puis sinon, si, sur la page d'inscription à Gobelins, ils précisent que
"Pour les candidats de nationalité hors Union Européenne, les formations en apprentissage nécessitent une autorisation de travailler en France. Informez-vous : www.travail-solidarite.gouv.fr.
C'est qu'ils assument que c'est une formation internationale, non? (et que par conséquent, ils assument le fait qu'on puisse avoir des pb linguistiques, non?

Ah, et puis je sais pas si ça a été posté, mais ça m'a fait loler:
http://www.gobelin-animations.com/

edit>
'tain, je copie colle, mais j'ai lu qu'à moitié, mais il est 4h du mat passé, snormal... v_v Bon, en fait, le c/c concerne pas la formation en animation, mais même.
edit encore>
ayé, j'ai retrouvé le truc en question:
paragraphe 36 de la FAQ 2008
http://www.gobelins.fr/~contenu/pdf/FAQ-2008.pdf a écrit :36. Je n’ai pas la nationalité française : puis-je intégrer GOBELINS, l’école de l’image ?
Oui pour les formations à temps plein sous réserve :
1) d’être titulaire d’un diplôme équivalent à l’un des diplômes demandés pour la formation visée,
2) d’être muni d’une carte de séjour portant la mention « étudiant » : cette carte s’obtient auprès de la
Préfecture du domicile et est obligatoire pour les étudiants non ressortissants de l’Union
européenne),
3) de maîtriser suffisamment la langue française : les cours et les activités pédagogiques se déroulant
en français, il est indispensable que les élèves étrangers le maîtrisent à un niveau correspondant au
niveau 3 du TEF (Test d’Évaluation de Français : www.fda.ccip.fr) en épreuves obligatoires et en
expression orale. GOBELINS, l’école de l’image se réserve le droit de demander à un candidat de
fournir la preuve de ce niveau de maîtrise du français.