Le Thread pornographique à caractère scientifique (INT. -18)

[velo vert]

(pas de benzene, c'est cancerigene) (oulalala, il est tard, bonne nuit)

[Tsuka]

J'peux pas j'ai cyprine.



....... désolé.

[TRANTKAT]

Jem tu m'épates!

... et mon niveau d'anglais me navre...


C'est aussi ça, les recherches Google... >____<

[JeP]

Pffff vous voulez pas plutôt parler politique ? (non ca va je déconne, putain, dire que j'ai fait S, je me rappelle plus d'un seul cours de bio)




(huhuhu tsuka)

[TRANTKAT]

Stooka, ne t'excuse pas de faire des blagues, voyons! Surtout quand elles sont drôles...






Bon. A part ça....

Je suis pas dans la merde... j'ai une page de scénar qui tombe à l'eau sans ces données!

MERDEuh!












PAR PITIÉ!
QUE QUELQU'UN
ME VIENNE EN
AIIIIIIDE !!!

[Tsuka]

Aaah ! J'aimerai tant t'aider, surtout que tu me trouves drôle ;___; !!

J'ai fait une recherche Google images sur cyprine, en me disant qu'il y aurait p'têtre une image de la compo, mais niet ... cyprine se dit aussi cyprine en anglais ?

[JeP]

J'ai essayé aussi les recherches google images, effectivement, peau d'balle. J'ai juste appris que y'avait un diamant qui s'appelait Cyprine, mais de là à t'aider, 34...

[Berlouche]

tu peux toujours essayer sur http://www.ncbi.nih.gov/Entrez/
mais c'est en anglais et un peu fouillis souvent enfin c'est à dire que c'est fait par des scientifiques pour des scientifiques et qu'ils ont tendance à faire pleins d'abréviaitions partout et des trucs comme ça, après, ça vaut ce que ça vaut

[TRANTKAT]

Stooka> C'est bien le problème: cette sécrétion n'a (à priori et à ma connaissance) pas de nom "officiel"...

Je quote ce que j'ai trouvé sur des sites lesbiens:

Après le cyprès, genre de conifère associé à l'idée de la mort car on plantait des cyprès auprès des tombeaux ;
après l'adjectif cypriaque ou cyprique ou cyprien qui appartient à Cypre ou à Chypre, île de naissance d'Aphrodite, la déesse de Cypre. (Aphrodite aurait jailli de l'écume (Aphros) de la mer s'abattant sur les rivages de l'une des trois îles : Cypre, Paphos ou Cythérée. Les romains l'assimile à Vénus et les asiatiques à la déesse Astarté chantée par Pierre Louÿs. Aphrodite est la déesse de l'Amour, de la Beauté et de la Fertilité. Peithô est la Persuasion, servante d'Aphrodite ; Sappho l'interpelle pour que l'amie qu'elle aime soit sensible à son amour.
Après la cyprière, "forêt de six cyprès" ;
Après cyprin, nom scientifique de la carpe, poisson d'eau douce de la famille des cyprinidés ;
Et avant cypriote, habitant de l'île de Chypre ;
Vous rencontrerez dans quelques rares, mais non moins excellents dictionnaires, la cyprine, sécrétion vaginale dûe à l'acte d'amour. L'étymologie est liée à Aphrodite, la déesse cyprienne.
 
Tout un chacun connaît le sperme, sécrétion sexuelle masculine, mais qui peut nommer les sécrétions vaginales générées par l'acte d'amour ? Ne pas être nommé, ne pas porter de nom est signe d'inexistence !!! Dans un même ordre d'idée, combien de femmes connaissent l'éjaculation féminine ?

Le terme cyprine ne vient pas avec l'épanouissement de la sexologie mais avec le mouvement féministe et les écrivaines de la seconde partie du XXe siècle, poètes et romancières, raison pour laquelle cyprine ne trouve pas sa place ni dans le Littré ni, par exemple, dans le petit glossaire raisonné de l'érotisme saphique 1880 -1930 de Claudine Brécourt-Villars.

 
"Tu es m / a gloire de cyprine m / a fauve m / on lilas m / a pourpre, tu m / e chasses le long de m / es tunnels, tu t'engouffres faite de vent, tu souffles dans m / es oreilles, tu mugis, une roseur te vient sur tes joues, tu m / / es tu m / / es (à l'aide m / a Sappho) tu m / / es, j / e meurs enveloppée ceinte tenue imprégnées de tes mains infiltrée suaves flux infiltrée de m / es nymphes jusqu'à ma gorge par les rayons de tes doigts,"
Monique Wittig, Le corps lesbien, Les éditions de minuit, 1973.
 
Cyprine est citée dans les dictionnaires de ces dix dernières années. Par exemple, Le Petit Robert de l'édition de 1985 l'ignorait encore. Néanmoins il est cité dans :
 
- Dictionnaire érotique Précédé d'une introduction sur les structures étymologiques du vocabulaire érotique de Pierre Guiraud, 1978, Editions Payot & Rivages, 1978.
 
- L'érotisme en chair et en mots, petit dictionnaire vertueux, Editions Balzac, 1993.
 
La cyprine pénétra "mon adorable Petit Robert" dans l'édition de 199? (je vous le préciserai lors d'une prochaine mise à jour).

  Parmi les (très) nombreuses réponses que j'ai reçues quant à mes questions étymologiques, en voici une qui résume les autres :

    Donc, fruit de mes laborieuses recherches, la seule véritable acception du mot "cyprine" semble être la désignation d'une pierre précieuse de couleur bleue et donnant la réaction du cuivre, d'où le nom "cyprine" venant du latin "cyprium" (cuivre). Franchement pas concluant.

   En étendant un peu plus les recherches, on trouve dans un premier temps que le terme cyprine peut venir de "cypris". Qu'est-ce donc que ce cypris ? Diantre ! dans une première approche, on constate que c'est une variété de mollusque bivalve de la famille des ostracodes. A part le fait qu'il soit bivalve, on n'avance pas énormément.

   En fouillant un peu plus, il nous est donné que le cypris porte son nom par analogie à la déesse grecque du même nom, une déesse aquatique protégeant Chypre (d'où le Cypris), qui ne serait autre qu'Aphrodite !! On avance, non ? de là à extrapoler, il ne manque franchement pas grand chose, quand même...

   Reste donc le fameux "clitoris", qui viendrait de "kleitoris" en grec, et par suite d'une absorption latine du terme, "clitoris" en nouveau latin. Un fameux fourre-tout que ce mot-là (du moins pour ce qui est de ses étymologies diverses et variées). Celle qui semble la plus sérieuse, à mon sens, est "petit monticule", dérivé de la racine grecque "klei" (pencher), qui a donné entre autre le terme bien connu par les anglo-saxons "climax". La décomposition complète du mot serait alors klei-tor-is (pencher-colline-petit), ce qui semble assez descriptif.

   Par extension et divagations d'esprit, on en arrive aussi à identifier la racine "kleis" signifiant "clé" en grec, très tentant dès lors pour justifier l'appellation "clé du plaisir", même si le "oris" reste orphelin d'une justification dans ce cas.

   Pour d'autres encore, l'origine serait le verbe grec "kleitoriazein" signifiant plus ou moins "toucher/titiller lascivement, chatouiller", ou alors du verbe "kleiein" signifiant "engainer, recouvrir", que d'aucuns interprètent comme une référence aux petites lèvres.  

   Explication signée Delphax, non-blogueur mais maintes fois croisé en soirée. L'autre participation élargit la problématique, et c'est à Soph qu'on la doit :

   Et tiens, savais-tu que "vagin" vient du latin "uagina" qui signifie... "fourreau" ? (d'où l'expression bien connue "remettre l'épée au fourreau", bien sûr.)

Édifiant, non?

Le feminisme a du pain sur la planche...

[TRANTKAT]

HuHo! Merci Berlouche!!!

... ça me semble mieux parti pour trouver des infos!

Je vous tiens au jus!
















(HuHuHu.... "au jus"... Hum.)




Edit> Je reviens de http://www.ncbi.nih.gov/Entrez/

Mon rapport:

C'est interessant.... indiscutablement... mais pour moi, c'est totalement abscond et hermétique... J'aurais peut-être dû pousser jusqu'au Bac...

... Je me sens si con parfois...

[Tsuka]

Ah ok ... quel parcours étymologique en effet °o° ...

Et je comprends mieux pourquoi je tombais sur pas mal de pages parlant d'une pierre ...

Mais honnêtement, je suis surtout tombé sur des pages consacrées à un personnage de Sailor Moon qui porte ce nom ^___^;;

Bon courage °o°/

[AnneKo]

j'ai fait passer ton message à une copine qui est en dernière année de médecine.

[Chron]

... c'est pour un scénario... et ma culture personnelle tant qu'à faire.

Si c'est pour ce que je pense, tu sais que tu me fais peur? o_o Ma chimie n'est pas super au point hein, autant en français qu'en japonais...

Sinon, quelques éléments après une petite recherche sur le web (sur "sécrétion vaginale plutôt que "cyprine" "), rien de super précis quand même...

Donc, 2 sortes de sécrétions vaginales : un, les sécrétions à but de lubrification qui sont entre autres émises par les glandes de Bartholin, émises par le vagin

Les glandes de Bartholin : Deux petites glandes s'abouchent au milieu de la vulve; elles sécrètent quelques gouttes qui ne sont pas capables à elles seules d'assurer la lubrification vaginale. Au cours de cette phase d'excitation, la vulve présente de nombreuses modifications ; ces dernières s'amplifient et se diffusent à tout le vagin lors de la phase en plateau.
Thomas Bartholin découvrit au XVIIe siècle des glandes derrière l'entrée du vagin auxquelles il donna son nom : les glandes de Bartholin. On a longtemps pensé que ces glandes étaient à l'origine de la librification naturelle des femmes (le fait qu'elles mouillent) quand elles étaient excitées. Il semblerait aujourd'hui que si ces glandes produisent peut-être quelque chose, la lubrification naturelle serait plutôt le résultat d'une abondante transpiration (transsudation = trans de passer à travers et sudation de suer) de la muqueuse vaginale. Transpiratoin abondante pendant l'excitation de la femme qui peut devenir un véritable écoulement au moment de l'orgasme. Ce qui correspondrait à une éjaculation féminine d'où l'expression de Femmes Fontaine

Les sécrétions vaginales normales contiennent des polynucléaires, lysozymes, lactoferrine, fibronectine, IGA sécrétoire, zinc.
La flore commensale vaginale est essentiellement composée de lactobacilles secréteurs de peroxyde d'hydrogène qui sont les bacilles de Döderlein. Ce peroxyde d'hydrogène est actif sur gardnerella vaginalis et neisseria gonorrhae. La concentration en Döderlein peut atteindre 108 à 109 UFC /g de sécrétion vaginale. Leur présence est indispensable pour transformer le glycogène des cellules vaginales en acide lactique qui assurera un PH entre 3,8 et 4,2. Dans ce cadre ils entrent en compétition avec le candida, consommateur de glycogène.
Cette flore commensale est essentiellement sous dépendance oestrogénique, mais dépend aussi de l'état général en particulier de l'alimentation. De leur côté les œstrogènes favorisent l'accumulation de glycogène dans les cellules de l'épithélium vaginal qui vont se dégrader en glucose, puis en acide lactique, principal support de l'acidité et du PH vaginal.
En effet physiologiquement les bactéries retrouvées au niveau du vagin peuvent être classées en trois groupes. Le groupe 1, essentiellement constitué des lactobacilles plus accessoirement de streptocoques hémolytique, et exceptionnellement de corynébactérie. Le groupe 2 où les bactéries appartiennent à des espèces de portage fréquent et sont présentes à des taux inférieurs à 104 UFC/g. Elles proviennent essentiellement de la flore digestive, streptococus agalactiae (strepto B) enterococcus, enterobactéries (E coli – protéus) staphylocoques – bactéries anaérobies (bactéroïdes, fusobactérium – clostridium – peptostrétococcus, mobiluncus )… D’autres agents sont également fréquemment rencontrés : Gardnerella vaginalis (jusqu’à 60% des patientes) mycoplasmes (30 à 40%), levure du genre candida (30%) certains biotype d’hémophilus influenzae. Le groupe 3 comprend les bactéries de portage exceptionnel Haemophilus influenzae peptostrétococcus pyogène, pneumocoque, méningocoque, neisseria. Ces bactéries sont retrouvées chez 0,1 à 2% des femmes.

En fait les sécrétions vaginales sont des précurseurs transformés par la flore microbienne vaginale pour donner des acides gras pendant l’œstrus. Ces substances ont été retrouvées chez la femme. Des photos de femmes imprégnées de ces substances synthétiques ont été appréciées plus favorablement par des hommes que par des femmes ; on observe même une augmentation de la sécrétion de testostérone chez les hommes (mesurée dans la salive) à la présentation de ces photos parfumées.

Deux, les sécrétions "d'éjaculation".

La seule chose dont on soit à peu près sûr c'est qu'elle vient par l'urètre. les glandes de Skene situées de part et d'autre de l'urètre seraient à l'origine de ce phénomène. Ce sont les glandes périurétales qui sont situées entre l'urètre et le vagin qui seraient responsables de l'éjaculation féminine. [...] Surtout une lubrification intense par transsudation à travers la paroi vaginale. La lubrification vaginale n'est pas un phénomène sécrétoire comme beaucoup le croient. Il s'agit de la sudation d'un liquide voisin du plasma sanguin :

http://coproweb.free.fr/pagphy/physioan ... htm#5.1.1. [..]
Le plasma est un liquide contenant en solution ou en suspension divers sels minéraux (NaCl essentiellement), ainsi que des composés organiques (substances nutritives, urée, protéines).
Chez l'homme, la concentration en protéines atteint 70 à 80 g/l. L'albumine représente 60 % du total, une bonne part du reste, soit près de 40 %, étant représenté par des globulines (a1: 4 % - a2: 8 % - b: 12 % et g: 16 %) et différents facteurs intervenant dans la coagulation du sang. [..]Les a1, a2 et b globulines servent notamment au transport des lipides et de diverses vitamines (voir plus loin), de l'hémoglobine (heptaglobine), du fer (transferrine), du cortisol (transcortine) et des cobalamines (transcobalamine). Les immunoglobulines (Ig) font partie essentiellement des g - globulines. Elles constituent les substances immunitaires du plasma (anticorps). La plus importante d'entre elles en terme de concentration (7 à 15 g/l) est l'IgB. Elle intervient avec les IgA, IgM, IgD et IgE dans les processus de défense de l'organisme contre l'intrusion de corps étrangers (cfr. immunologie).

à travers la paroi vaginale et plus particulièrement de sa paroi antérieure (il s'agit de la paroi en contact avec l'urètre), qui est richement vascularisée.

L'éjaculation féminine consiste en l'expulsion (en jet parfois puissant), pendant l'orgasme, d'un liquide corporel plus clair et moins visqueux que celui qui sert de lubrifiant vaginal. Le liquide est expulsé de l'urètre (connu sous le nom de "trou à pipi" (c'est scientifique), et non du vagin.

Sans oublier, même si on s'éloigne du sujet :

La partie interne du col de l'utérus est constituée d'une muqueuse de cellules glandulaires.
Ces glandes sécrètent un mucus : la glaire. La composition, l'abondance de la sécrétion dépend des hormones présentes dans le sang, donc du moment du cycle.
La glaire a pour fonction, au milieu du cycle, à la période propice pour la fécondation, de "capter" les spermatozoïdes émis lors du rapport sexuel.

Et enfin un truc que je trouvais mignon pour finir.

Les sécrétions vaginales sont très fréquentes chez les mammifères : chienne, rate, rhésus. Chez le rhésus cette sécrétion est composée d’acides gras à courte chaîne (acide acétique, ac. propionique, ac. iso-butyrique ...) et forment une phéromone appelée copuline.

Voilà avec ça tu devrais déjà avoir de quoi faire, après faudrait des vrais spécialistes ou des bouquins de médecine, des trucs pointus pas forcément trouvables sur le net.
@+
Chron

[haribo]

un point m'intrigue : si la cyprine est constituée comme l'affirme Balak à 99% de mouille qui colle la barbe, de quoi est donc fait le 1% restant ?! ^^

bon, trève de plaisanterie de 4ème B. C'est très simple. La cyprine, c'est le surnom d'Aphrodite


bon allez, re-trève de plaisanteries

ben d'abord, faut savoir que la cyprine est également le nom d'une très jolie pierre bleue (jfaisais collec de pierres comme les cons qd j'étais ptite).

ensuite la CYPRINE 100 EC est un dérivé chimique qui sert d'insecticide, et qui contient de la cypermethrine à hauteur de 10%. mais une fois encore je pense que c'ets n'est pas ce qui nous préoccupe.

donc si je vous dis que la cyprine est également un parfum dérivé de plantes en aromathérapie ainsi qu'en sensothérapie (on peut donc y gouter), vous allez vous énerver (bien qu'on conseille aux femmes d'en mettre qques gouttes sur un sucre soir et matin, en voici la composition : extrait d'Angelica Archangelica 97,5%, Huiles Essentielles 1,5%, Conservateur 1%.)


bon allez j'arrête je deviens sérieuse. Désolée Trantkat de pas avoir répondu plus tôt mais ce sujet m'avait échappé.

en réalité il existe une confusion entre la mouille et la cyprine... eeeet oui, je sais, ça fait un choc... V_V

la cyprine est plus rare en réalité, puisqu'il s'agit réellement d'un liquide transparent libéré par l'URETRE (et non le vagin) par certaines femmes (seulement) après un orgasme flamboyant. On les appelle plus communèment les femmes-fontaines, et la libération de ce liquide s'appelle l'éjaculation féminine, qui n'est pas un mythe. Les spécialistes - qui sont légèrement à la bourre question étude des sécrétions féminines, et ceci n'est pas de l'intox, c'est un fait, cette étude ayant été occultée pour des raisons obscures dont je ne dirai rien sous peine de me fair etraiter d'hystérique pendant des années, bon en plus faut reconnaître que ce liquide n'est LOGIQUEMENT pas évident à récolter ^^ -, les pécialistes donc pensent qu'il s'agirait entre autres d'une substance similaire à une substance provenant normalement de la prostate chez l'homme et d'autres détectés dans l'urine. CE QUI FAIT QUE, CONCRETEMENT? ON NE SAIT PAS DE QUOI EST COMPOSEE LA CYPRINE, LA VRAIE.

on sl'a pète hein... héhéhé... j'ai mes sources... si j'ose dire...

maintenant pour la mouille (je pense que c'est ça qui t'"intéresse kevin), honnêtement je sais pas grand chose concernant la composition biochimique, certains disent qu'il s'agirait de la portion incolore du sang qui filtre a travers les muqueuses mais j'y crois trèèès moyen. remarque why not hein... une sorte d'érection féminine avec afflux de sang au niveau génital, ça se tient...

[haribo]

haaan putain, méga grillée par chron, chhi super venere là !

chron je te hais.

maintenant je vais lire ce que t'as écrit.

[edit] c'est bien ce qui me semblait, t'as répondu à tout

sale 1er dla classe