écoute papa petite fille
quand papa te dit soit gentille
tu es le sang de mon sang, la chair de ma chair
tu es à moi je suis ton père
tu es à moi à chaque fois
que se mettent à claquer mes doigts
dans l'élastique de ta culotte
allons ne crie pas petite sotte
je te donne la vie le gîte, le couvert,
quand j'ai envie, laisse toi faire
je suis le seul à te comprendre,
qui d'autre que moi saurait te prendre
je ne veux pas que tu donne ton corps
au premier inconnu,
les hommes sont des porcs
ça ne sortira pas de la famille,
ma petite fille reste docile
écoute moi petite garce,
tu es la dinde et moi la farce
ne dis pas que mes caresses te glacent
ta peau est si chaude reste à ta place !
on est si bien sur ma banquette arrière
ne m'oblige pas à me mettre en colère
regarde un peu dans quel état
tu me mets, ce que tu fais de moi
je t'offrirai les robes dont tu rêves,
de la lingerie fine assortie à tes lèvres
des nuits de plaisir indescriptibles
je suis un gars tellement sensible
regarde dans les yeux
celui qui te souille
fais un vux et coupe lui les couilles
écoute moi pauvre conne
au lieu de répéter que tu n'est pas ma bonne
j'ai versé ton sang , pillé ta chair
de tes enfants je suis le père
tu es à moi à chaque fois
que se mettent à claquer mes doigts
dans l'élastique de ta culotte,
assez de critique, ta gueule salope !
je gagne la vie, le gîte, le couvert.
quand j'ai envie laisse toi faire
je suis le seul à te comprendre,
qui d'autre que moi aurait voulu te prendre
approche ici me donner ton corps,
je te ferai le cri du porc tu fais partie de la famille,
je t'ai à l'il femme docile
bon, à défaut d'être vraiment cul celle ci est plutot cucu mais j'aime bien
fff - tout semblait flou
Tout semble flou tu trembles doux
Tout semble flou l'elixir d'un ange m'a rendu fou
Sexe de femme qui brûle dans ma tête
Petite flamme qui jamais ne s'arrête
Tu m'entames m'enivres et me rejettes
Mords dans l'âme je subis tes tempêtes
Tout semblait flou tu tremblais doux
Tout semblait flou sa misère charnelle a sali tout
Sexe d'homme pénétrant ma sultane
Te transforme lieu sacré île profane
Chloroforme de dégoût qui émane
Qui t'assomme te dilue océane
Tout semblait flou
Jai du partager les pleurs d'une femme
Tout semblait flou malgré nous
Ca change tout ça change même nous
Ca change tout notre histoire s'est traînée dans la boue
Sexe infâme il a mis dans ta tête
Comme une âme dans mon antre secrète
J'écraserai tous les briseurs de charme
Pour adoucir l'amertume de tes larmes
Tout semblait flou
Jai du partager les doutes d'une femme
Tout semblait flou malgré nous
Afin de nous ôter nos complexes
Ô gué, ô gué
On nous donne des cours sur le sexe
Ô gué, ô gué
On apprend la vie secrète
Des angoissés d' la bébête
Ou de ceux qui trouvent dégourdi
De montrer leur bigoudi
Une institutrice très sympathique
Nous en explique toutes la mécanique
Elle dit nous allons planter le décor
Ô gué, ô gué
De l'appareil masculin d'abord
Ô gué, ô gué
Elle s'approche du tableau noir
On va p' têt' enfin savoir
Quel est ce monstre sacré qui a donc tant de pouvoir
Et sans hésiter elle nous dessine
Le p'tit chose et les deux orphelines
{Refrain:}
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p'tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Des zizis y'en a d'toutes les couleurs
Ô gué, ô gué
Des boulangers jusqu'aux ramoneurs
Ô gué, ô gué
J'en ai vu des impusilfs
Qui grimpaient dans les calcifs
J'en ai vu de moins voraces
Tomber dans les godasses
Çui d'un mécanicien en détresse
Qui a jamais pu réunir ses pièces
Y a le zizi tout propre du blanchisseur
Ô gué, ô gué
Celui qui amidonne la main de ma sur
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi d'un curé
Avec son p'tit chapeau violet
Qui juste en pleine ascension
Fait la génuflexion
Un lever de zizi au crépuscule
Et celui du pape qui fait des bulles
{au refrain}
Le zizi musclé chez le routier
Ô gué, ô gué
Se reconnaît à son gros col roulé
Ô gué, ô gué
J'ai vu le zizi affolant
D'un trapéziste ambulant
Qui apprenait la barre fixe à ses petits-enfants
L'alpiniste et son beau pic à glace
Magnifique au-dessus des Grandes Jorasses
J'ai vu le grand zizi d'un p'tit bedeau
Ô gué, ô gué
Qui sonne l'angélus les mains dans le dos
Ô gué, ô gué
Celui d'un marin breton
Qui avait perdu ses pompons
Et celui d'un juif cossu
Qui mesurait le tissu
Celui d'un infirmier d'ambulance
Qui clignotait dans les cas d'urgence
{au refrain}
J'ai vu le p'tit zizi des aristos
Ô gué, ô gué
Qui est toujours au bord de l'embargo
Ô gué, ô gué
J'ai roulé de la pâtisserie
Avec celui de mon mari
Avec celui d'un Chinois
J'ai même cassé des noix
Avec un zizi aux murs incertaines
J'ai même fait des ris de veau à l'ancienne
J'voudrais bien mais j'peux point
C'est point commode d'être à la mode
Quand on est bonn' du curé
C'est pas facile d'avoir du style
Quand on est un' fille comm' moié
Entre la cure et les figures
Des grenouilles de bénitier
La vie est dure quand on aim' rigoler
{Refrain:}
Mais quand le diable qu'est un bon diable me tire par les pieds
Ça me gratouille, ça me chatouille, ça me donn' des idées
J'fais qu'des bêtises derrièr' l'église
J'peux point m'en empêcher
Dieu me pardonne j'suis la bonn' du curé.
J'voudrais bien mais j'peux point
Je voudrais mettre un' mini jupette
Et un corsage à trous trous,
Mais il parait que pour fair' la quête
Ça ne se fait pas du tout
Quand je veux faire un brin de causette
Avec les gars du pays
J'file en cachette derrièr' la sacristie.
{Refrain}
J'voudrais bien mais j'peux point
Quand c'est la fête j'en perds la tête
J'voudrais ben aller danser
J'voudrais monter en motocyclette
Pour me prom'ner dans les prés
Et qu'un beau gars me compte fleurette
Avec des disqu's à succès
Car les cantiques ça n'vaut pas Claude Françoué
{Refrain}
La la la la la la la ....................
Annie Cordy
La bonne du curé
non mais quelle salope !
c'est qui le plus fort...l'éléphant ou le rinhocéros ? moi chuis persuadé que ca reste l'éléphant parceq'il a une enorme trompe quand meme. hé oué!
bon allez moi, pour finir, jvous mets ma chanson fétiche de mon chouchou :
Georges Brassens - 95%
La femme qui possède tout en elle
Pour donner le goût des fêtes charnelles
La femme qui suscite en nous tant de passion brutale
La femme est avant tout sentimentale
Mais dans la main les longues promenades
Les fleurs, les billets doux, les sérénades
Les crimes, les folies que pour ses beaux yeux l'on commet
La transporte, mais...
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peu chère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Sauf quand elle aime un homme avec tendresse
Toujours sensible alors à ses caresses
Toujours bien disposée, toujours encline à s'émouvoir
Ell' s'emmerd' sans s'en apercevoir
Ou quand elle a des besoins tyranniques
Qu'elle souffre de nymphomanie chronique
C'est ell' qui fait alors passer à ses adorateurs
De fichus quarts d'heure
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peu chère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
Les "encore", les "c'est bon", les "continue"
Qu'ell' crie pour simuler qu'ell' monte aux nues
C'est pure charité, les soupirs des anges ne sont
En général que de pieux menson(ges)
C'est à seule fin que son partenaire
Se croie un amant extraordinaire
Que le coq imbécile et prétentieux perché dessus
Ne soit pas déçu
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peu chère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
J'entends aller de bon train les commentaires
De ceux qui font des châteaux à Cythère
"C'est parce que tu n'es qu'un malhabile, un maladroit
Qu'elle conserve toujours son sang-froid"
Peut-être, mais les assauts vous pèsent
De ces petits m'as-tu-vu-quand-je-baise
Mesdam's, en vous laissant manger le plaisir sur le dos
Chantez in petto...
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peu chère
S'il n'entend pas le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas