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haribo
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Message par haribo »

bon alors qu'est-ce qu'il a qui déconne celui-là les enfants ?... non mais chi un peu énervée mais j'écoute quand même les conseils, alors me mettez pas dans le vent pliz

c'est un WIP (précision)

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Modifié en dernier par haribo le mer. 02 juin 2004, 21:29, modifié 1 fois.
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pollux
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Message par pollux »

oh la belle "gay alert!" :lol:

non serieusement, j'aime toujours autant leurs tronches ...
par contre, deux trois trucs me chifonent ...

le pied gauche de celui de droite (celui qui enlace tendrement celui a l'épée) part avec un angle chelou. il a pas l'air gtres stable comme ca ...
je pense que ca irait mieux avec les jambes "paralèlles".

ensuite, là, je dois plus bien voir, mais ... il est où le pied de celui à l'épee? 8O

le pied gauche, tu le suis jusqu'au genoux et là pouf il disparait ...

d'ailleur, celui ci, tu ferais bien de lui détailler un peu plus la musculature de son torse ...


mais je voulais aussi te dire que j'aime bien les détails que tu met dans tes dessins (colifichets, poils, rides, etc ^^)

haribo
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Message par haribo »

héhé t'es con, j'en étais sûre pour le coup de la Gay attitude... tsss.. maaais ils sont pas pédésesskuels, ils sont frangins... mais bon, ils peuvent être homo hein, c'est pas moi que ça va déranger.. bref

pour le pied invisible.. bah je sais as.. moi jle vois, il est tout tordu c'est pour ça ^__^


et pour le torse du plus jeune (le plus petit), en fait il a une sorte de t-shirt.. mais bon, pas un Fruit of the Loom hein, on est quand même au temps des pirates.. c'est quand d'ailleurs tiens ? haha, 'faites moins les malins là...
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The|Buzz
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Message par The|Buzz »

Je dit comme pollux c'est deux homo, enfin tout du moin un celui qui regarde l'autre, un regard comme ça, on comprend tt de suite qu'il le kiff :lol:
Ou genre il a une pensé malsaine, il tiens le pomo de son épée et pense a l'autre... :lol:
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haribo
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Message par haribo »

rhoo mais enfin... bon, en fait le ptit il dit à l'autre

- ecoute tu fais vraiment chier hein, tu pourrais pas mettre le déo que maman t'as filé à noel ?



aloooors, vous voyez.
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Mirmil
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Message par Mirmil »

ouais sympa tout ca,y a un peu de bidocheet moi si je me tenai comme ca avec mon frangin je m'inquieterai!

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pollux
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Message par pollux »

haribo a écrit :on est quand même au temps des pirates.. c'est quand d'ailleurs tiens ? haha, 'faites moins les malins là...

les pirates?
entre le 16e et la fin du 18e siècle, avec l'age d'or aux alentours de 1640, je dirais ...



ca te va, ou il te faut un exposé de 16 pages?

haribo
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Message par haribo »

16 pages pour résumer la piraterie ?

ben c'est pas énorme mon petit :roll:

:P
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patrouchef
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Message par patrouchef »

il a oublié un zero.
"Girogirogirogirogirogirogirogirogiro !!!."

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pecruise 2
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Message par pecruise 2 »

Je lisais alors les livres où l'on parlait des forbans, et leurs noms et leurs exploits résonnaient dans mon imagination : Avery, surnommé "le petit roi", qui avait ravi et capturé la fille du Grand Mogol, Martel, Teach, le major Stede Bonnet, qui devint pirate "par désordre de son esprit", le capitaine England, Jean Rackham, Roberts, Kennedy, le capitaine Anstis, Taylor, Davis, et le fameux Olivier Levasseur, surnommé La Buse, qui, avec l'aide de Taylor, s'était emparé du vice-roi de Goa et d'un vaisseau qui contenait le fabuleux butin de diamants provenant du trésor de Golconde. Mais celui que j'aimais par-dessus tout, c'était Misson, le pirate philosophe qui, aidé du moine défroqué Caraccioli, avait fondé à Diégo Suarez la république du Libertalia, où tous les hommes devaient vivre libres et égaux, quelles que soient leurs origines ou leur race.
La piraterie à l'île Bourbon
Les pirates dans l'Océan Indien
Dès l'âge d'or de la flibuste antillaise ( deuxième moitié du XVIIe siècle et début du XVIIIe siècle), des capitaines pirates fameux écument l'Océan Indien : s'ils n'ont pas la promesse de l'or espagnol comme leurs collègues des Amériques, ils convoitent d'autres richesses au moins aussi alléchantes, comme les épices, les tissus, les esclaves des marchands arabes de la mer Rouge et surtout les richesses mythiques des princes indiens, notamment celles du grand Mogol.
Ainsi, à la fin du XVIIème siècle, Madagascar, oubliée des nations européennes depuis le massacre de Fort Dauphin, devient le repère de prédilection pour des bandes de pirates menées par des capitaines dont les noms deviennent des légendes : le capitaine Avery aurait fondé un royaume malgache et serait devenu plus riche que les rois européens (1); les capitaines Misson, Caraccioli et Tew seraient les gouverneurs de Libertalia (2), une république pirate utopique située dans la baie d'Antongil, et dont l'histoire se serait terminé dans le sang. Dès lors, l'Océan Indien apparaît, à l'époque même de la gloire des Antilles pirates, comme un paradis pirate virtuel.
En 1700, Philippe V, petit fils de Louis XIV, monte sur le trône d'Espagne. La France et l'Espagne désormais alliées, la flibuste française de la Tortue et de Sainte Domingue n'est plus tolérée (3). En 1717, George Ier d'Angleterre fait sa proclamation pour la réduction des pirates, les derniers capitaines pirates réunis à l'île de Providence décident de se séparer, soit pour accepter une éventuelle amnistie, soit pour fuir vers des mers plus hospitalières car moins surveillées : l'Océan Indien est le dernier refuge de ces forbans avant l'extinction de l'aventure de la piraterie océane européenne.
Les grands capitaines pirates à l'île Bourbon
L'île Bourbon, unique colonie européenne de la région depuis l'échec des Français à Madagascar, ne va pas rester absente du phénomène pirate dans l'Océan Indien. La coupure avec la Métropole, l'éloignement de l'Europe et des autres colonies (Mozambique ou Afrique du Sud) en font une escale très intéressante pour les forbans qui peuvent ainsi se réapprovisionner en vivres ou en eau douce, y laisser des pirates ou engager des hommes et surtout dépenser l'or et les richesses du butin.
La plus ancienne relation d'un passage de flibustier dans l'île date de 1687. Après la pendaison de La Buse, en 1730, la piraterie européenne dans l'océan Indien comme dans le reste du monde n'existera plus, du moins sous la forme singulière qu'elle avait revêtu jusqu'ici : la Flibuste. Mais entre ces deux dates, nombre de navires pirates font escale dans l'île, et cette dernière est même le théâtre de hauts faits de l'histoire des forbans.
En novembre 1695, un navire forban fait escale à Bourbon et y débarque "70 flibustiers cousus d'or et d'argent" (4). Il s'agit sans doute du célèbre Avery (5) qui ne pouvait s'arrêter à Madagascar car il y avait déjà abandonné des compagnons pour éviter d'avoir à partager le butin en trop de parts. Certains des pirates laissés à Bourbon par Avery décidèrent de s'installer dans l'île, d'autres de partir. Ils entreprirent la construction d'une barque, mais, le 2 juillet 1696, l'escadre de Serquigny la détruisit et emmena une vingtaine d'entre eux comme prisonniers en France.
On pense que vers 1710, le moine dominicain et secrétaire d'Etat unijambiste de la République de Libertalia, Caraccioli, aurait fait escale à Bourbon pour y engager des citoyens pirates. C'est ce que laisse supposer le texte de Johnson.
John Bowen (6) -ou Jean Bouin pour les textes des archives- célèbre pirate des Antilles dont parle Johnson, fait plusieurs escales à Bourbon et s'y installe même définitivement, après une campagne avec un autre pirate renommé, Nathaniel North, en avril 1704. Il y meurt de la malaria quelques mois plus tard, mais le lieu de sa sépulture reste inconnu.
Thomas White fait plusieurs escales dans l'île, y laisse quelques forbans, et d'après Robert Drury (7) meurt lors d'une relâche à Saint-Paul en 1719.
Pour finir cette liste des grands capitaines pirates ayant passé par Bourbon, il faut ajouter les célèbres England, Davis, Taylor et La Buse qui font tous escale dans l'île. Les quatre hommes font des campagnes ensemble puis se séparent -England est abandonné à Maurice- et les capitaines Taylor et Olivier Levasseur dit "La Buse", tous deux anciens de la réunion de Providence continuent leur expédition.
Le 20 avril 1721, jour de Quasimodo, en rade de Saint-Denis, devant la population et le gouverneur venus assister au spectacle, ils prennent la "Virgen del Cabo", navire de 800 tonneaux, où se trouve le comte d'Ericeira, vice-roi des Indes Orientales Portugaises.
Cela restera la plus grosse prise faite par des forbans dans l'histoire de la Piraterie. Quelques jours plus tard, c'est au tour du "Ville d'Ostende" de subir le même sort en baie de Saint-Paul. La Buse se fâchera avec Taylor et lui faussera compagnie peu après, emportant avec lui l'immense butin de ces deux prises...
Moins d'une dizaine d'années après, il sera pendu à Saint-Paul, événement qui met ainsi fin à l'aventure pirate dans l'Océan Indien. Ce procès, dont une partie des minutes est conservée aux archives départementales de la Réunion, reste encore très mystérieux, et l'on s'étonne que le forban n'ait pu connaître un sort aussi clément que celui de ses compagnons d'arme, largement intégrés dans la société bourbonnaise naissante.
La société bourbonnaise à l'épreuve du fait forban
Tous ces équipages qui passent, ou restent pour des durées plus ou moins longues à Bourbon, reçoivent bon accueil dans l'île. Le Mémorial de la Réunion explique ainsi ce fait : "Officiellement, ces personnages sont indésirables, et bons pour la corde. Mais comment appliquer la loi, quand on a pour tout armement quelques fusils, des canons tout juste bons pour saluer les visiteurs, et pour toute armée des habitants rarement volontaires pour la bataille ?"
En fait, lorsqu'un forban arrive en vue de la Réunion, les habitants sont plutôt contents, car ils vont pouvoir, enfin, faire du commerce, en vendant très cher des vivres à des marins généralement particulièrement riches et peu avares. Du reste la politique officielle est plutôt de se les concilier que de les avoir pour ennemis : bientôt des ordonnances réglementent les amnisties et l'accueil des forbans.
Ainsi, quand le capitaine pirate Congdom qui, après la prise miraculeuse d'un vaisseau arabe qui lui rapporte 1,3 millions de roupies, décide de prendre sa retraite, il bénéficie, ainsi que son équipage de 135 hommes, d'une amnistie très favorable : il leur suffit de "remettre au préalable leurs armes et munitions de guerre, de renoncer pour toujours à leur désordre, de garder fidélité au Roy de France dont ils se reconnaissent les sujets". Moyennant cela, cite le Memorial, ils pourront se retirer "sous le gouvernement de Bourbon où ils jouiront des mêmes avantages, droits et prérogatives des habitants de cette isle sans distinction".
Cet exemple est révélateur de l'intégration réussie des forbans dans l'île. Il faut dire que ce sont bien souvent eux qui introduisent du numéraire à Bourbon, soit en s'installant fortune faite, soit en achetant des vivres ou des armes aux habitants. Comment s'étonner de la grande variété de monnaies utilisées dans l'île (8), quand on sait que chaque mort de flibustier est l'occasion d'une découverte d'un magot : l'"Inventaire de ce quy c'est trouvé appartenir à Jean Bouin " révèle "En or : mil cinq cens Ecus, en 750 sequins mores et arabes, sur le pied de deux Ecus chacun", ou encore, on découvre, à la mort de Pierre Nappe, autre flibustier installé, "cent quatre vingt cinq sequins mores et arabes ; en or et argent cassé, la valeur de 40 sequins ; en poudre d'or sableuse, la pesanteur de mille sequins ; en argent, cent piastres d'Espagne" mais les 2200 sequins vénitiens cousus dans sa ceinture ne furent jamais retrouvés, et Pierre Noël, compagnon de flibuste du mort, fut soupçonné et surveillé jusqu'à sa mort 25 ans plus tard.
Tout cet or circulant dans l'île crée une économie artificielle où les prix deviennent extravagants. Le gouverneur Boucher résume ainsi la situation :"La vérité est que la plupart des habitants ont si fort pris la coutume de vendre à outrance aux forbans, qu'ils n'en démordent pas pour quelque considération que ce soit, et les Gouverneurs ny autres, qui ont quelque rang dans ce lieu, ne sont pas exempts de cette petite tyrannie".
Les forbans trouvent donc tout naturellement en Bourbon, le lieu de retraite idéale. Des ordonnances définissent même leurs séjours temporaires. Chaque forban devra donner 15 piastres pour son logement et sa nourriture ; s'il a un noir, il devra donner 5 écus de plus. Le Mémorial cite l'ordonnance :"L'habitant qui loge un ou plusieurs forbans leur fournira à chacun un lit convenable garni au moins d'un bon matelas, d'un oreiller avec sa souille et d'une couverture ; ces lits doivent être dans une caze ou de bois ou de feuilles construite de manière qu'elle soit pour le moins distinguée de ce qui se nomme hangard ou ajoupa et que les injures du temps ne le puissent pénétrer".
La société bourbonnaise intègre d'autant plus facilement les forbans que depuis l'origine même du peuplement, ceux-ci font partie de la population des colons. Le recensement de 1711 indique que le quart des chefs de famille est constitué de forbans amnistiés. Il est sans doute difficile de mesurer l'impact exact de cet apport sur la population entière de l'île, mais Bibique a tenté de traduire la proportion de familles "pirates" sur la population blanche de Bourbon :"Des 31 flibustiers (9) installés à Bourbon naissent 196 enfants, les familles de ces derniers comptent donc 258 personnes, alors que, selon André Scherer la Population blanche de l'île est de 538 âmes en 1713. A cette date, seuls trois flibustiers ne sont pas encore établis à Bourbon (...) Et si on suit la descendance des filles des enfants mâles de ces "forbans amnistiés" (...) on découvrirait (...) que plus des trois quarts des éléments de la race blanche (sic) à la Réunion portent en eux des gènes piratesques."
Pour autant, l'histoire de la relation entre Bourbon et la Piraterie ne finit pas bien : le 7 juillet 1730, La Buse -dernier des capitaines pirates de l'époque héroïque- après s'être fait piéger par une promesse d'amnistie, est condamné par le Conseil de Bourbon à être pendu à Saint-Paul. Le procès reste mystérieux, dans la mesure où ne reste aux archives que l'acte de condamnation sans ses minutes ."Pourquoi, s'interroge le Mémorial, a-t-on exécuté -et si hâtivement- La Buse, alors que nombre d'autres pirates avaient été graciés ? Il ne s'agissait pas de faire un exemple, puisque la piraterie avait cessé depuis longtemps dans la région. Il y a sans doute là quelque mystère..."
Avec la mort de La Buse, se termine non seulement l'histoire des forbans à l'île Bourbon, mais aussi un siècle de l'histoire de la "société d'exception" (10) qu'est la Piraterie européenne. Mais sans doute est-ce là aussi le début d'un des mythes fondateurs de la Réunion : le passé pirate hantera les corsaires de la République comme les chasseurs de trésors du XVIIIe à nos jours.
Les corsaires
La course à la Réunion, pendant la Révolution et l'Empire, a eu beaucoup de succès, même si aujourd'hui, elle est un peu occultée par des figures métropolitaines comme Surcouf. Bouvet fut contre-amiral et participa à la seule victoire maritime du Premier Empire, la bataille du Vieux Grand Port. Joseph Collet fut lui aussi contre-amiral. Les habitants de l'île n'hésitèrent pas à armer un navire de course pour le corsaire Ripaud de Montaudevert en 1793. Tous les équipages des navires se composaient en partie d'insulaires, et l'on trouvera peut être là comme l'écho de l'aventure maritime des pirates alors à peine vieille d'un demi-siècle.

" Notre vaisseau, cinglant vers les Canaries ou plutôt entre ces îles de la côte d'Afrique,
fut surpris, à l'aube du jour, par un corsaire turc de Sallé,
qui nous donna la chasse avec toute la voile qu'il pouvait faire.
Pour le parer, nous forçâmes aussi de voiles autant que nos vergues
en purent déployer et nos mâts en purent charrier;
mais, voyant que le pirate gagnait sur nous, et qu'assurément avant peu d'heures
il nous joindrait, nous nous préparâmes au combat."
L'existence des pirates était dure, mais la vie à terre pouvait être bien pire.
Beaucoup d'hommes prenaient la mer pour fuir la misère et le chômage.
Certains marins écœurés par la terrible discipline marine,
se laissaient séduire par la liberté et l'aventure et devenaient pirates.
Les futurs pirates étaient tentés par la perspective de gagner facilement
beaucoup d'argent.
Une vie de pirate
Un pirate qui s'était mal conduit pouvait s'attendre à de gros ennuis.
Pour tous les marins la flagellation était la punition la plus courante.
On fouettait ou on flagellait, avec "le chat à neuf queues" celui
qui s'était rendu coupable d'un méfait.
Autre châtiment typique: on bourrait la bouche d'un homme d'étoupe noire
(des bouts de cordage goudronnés), à laquelle on mettait le feu.
De nombreux supplices du genre étaient imposés aux pirates
qui ne suivaient pas les règles.
Pour se détendre après une journée, les pirates aimaient
chanter, danser, jouer une partie de cartes ou de dés et s'enivrer.
Ils réparaient et nettoyaient le bateau, et raccommodaient leurs vêtements
-ce nétait pas très drôle, mais cela valait mieux qu'être supplicié!
En tout cas les pirates ne risquaient pas de trop manger.
Ce qu'on leur servait durant les longs voyages en mer était écœurant.
Les réserves de nourriture fraîche s'épuisaient vite.
On devait saler à l'excès la viande et le poisson pour les conserver.
Au lieu de pain, rassis depuis longtemps, on se contentait de biscuits
très vite attaqués par les charançons.
Les pauvres pirates les avalaient dans le noir pour ne pas
voir leur dîner grouiller de bêtes.
Et ces biscuits devenaient parfois si durs qu'il était plus facile
de les sculpter que de mordre dedans.
À bord, on buvait du rhum et de l'eau-de-vie:
ces alcools se gardaient mieux que la bière et l'eau.
Évidemment, les hommes étaient souvent malades.
Les voiliers étaient sombres, humides, surpeuplés
et souvent infestés de rats et de punaises.
Ces conditions, ajoutées au manque de nourriture et d'eau fraîche
causaient de terribles maladies.
À chaque long voyage, le capitaine savait que près de la moitié de son équipage
mourrait du typhus, de la malaria, de la fièvre jaune et du scorbut.
Voilà pourquoi les pirates, lorsqu'ils capturaient un bateau,
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haribo
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Message par haribo »

woaw pecruise.. hum..merci :-/

bon, allez, WIP COLO

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Message par pecruise 2 »

désolé j'ai pas pu m'empêcher...

C'est un extrait de recherches que j'ai faite sur Internet en vue de l'écriture d'un scénario de film parlant de pirates. (j'en ai d'ailleur arrêté l'écriture, lorsque j'ai appris qu'un film sur le même sujet sortait : Pirates des Caraïbes)
cruise, pecruise

haribo
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Message par haribo »

et un détail

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no no no

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Message par pecruise 2 »

J'aime bien ta colo, surtout l'atmosphère que donnent les teintes. En plus on comprend qu'il porte un T-shirt.

Ca me donne envie de me replonger dans l'écriture de ce script, tient
...
haribo a écrit :maaais ils sont pas pédésesskuels, ils sont frangins...
Ca me fait penser à d'autres frères qu'on pensait pd

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et oui les beegees
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Klaim
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Message par Klaim »

Autant la colo que le dessin me font penser à Corto maltesse... j'en ai pas vu grand chose mais marin+dessin ça fais un peu dans le genre.
Bravo au passage

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