c'est le but premier en effet (bon apres, pour certains fous, le but est de devenir célèbre, riche, et de se taper des gonzesses, car c'est bien connu, la BD c'est un métier top glamour quand on est chez soit à dessiner en pyjama en se grattant une demie fesse).Seb. K. a écrit :c'est si honteux que ça d'être "auteur de BD" que les jeunes préfèrent à ce point vouloir devenir "mangaka" ?![]()
moi qui croyais naivement que le seul but d'un auteur était de raconter des histoires...
cependant, raconter une histoire se fait d'autant de manières qu'il y a d'auteurs, et chacun a son rythme particulier et a besoin de son propre rythme pour raconter son histoire.
c'est en ça que la multiplication des formats et leur accès au grand public (car y a toujours eu des formats differents du 46 pages couleurs) sont un bien car on a maintenant plus de souplesse pour monter ses projets.
par exemple, si certains auteurs pouvaient arreter de pondre entre 17 et 20 cases par page, se prendre un format manga avec plus de pages et moins de cases, nos yeux s'en porteraient mieux

c'était Mykros de Jean Yves Mitton (John Milton pour cette BD) et y avait aussi Photonik de Ciro Totaadorya a écrit :Si je me rappelle bien, il y avait bien une BD française qui reprennait exactement trame narrative, dessin, code...et pendant longtemps j'ai cru que c'était un comic (chai pu le nom, avec 4 héros dont un avec une main de crabe là, oui je sais on la ressort tout le temps mais bon), mais en fait non, et ça visait le public des comics.
Et pis bof, quand je voyais un marvel, ben je me disais vala un comic, ça c'était y a une quinzaine d'année donc le clivage était déjà fait à cette époque.

c'était bon ça ^^