Pas vraiment c'est qu'on causait distrib générale Kaze/Eurozoom avec Anton sur le thread Coo.
Mais je déplace quand même pour faire plus clean.
Surtout pour ceux qui avaient pas vu l'annonce de l'avant-première l'autre jour.
Naoki Urasawa (UP à Japan Expo)
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Tsuka
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- Localisation : Chez Bobby
Avis aux plus rapides.
Les 400 premiers à remplir ce formulaire auront droit à une invitation à l'avant-première de 20th Century Boys.
http://www.20th-century-boys.fr/concours
Les 400 premiers à remplir ce formulaire auront droit à une invitation à l'avant-première de 20th Century Boys.
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Tsuka
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C'était sympa. Qualité de la photo & cadrages un peu just mais ça n'empêche pas d'être bien pris quand même.
Les FX ne sont pas renversants (pour ce qui est le "plus gros budget de l'histoire du cinéma japonais"), mais restent honnêtes.
Après j'avoue que j'ai pas trop lu le manga (à peine commencé y'a longtemps).
Chose que j'ai une furieuse envie de réparer au plus vite, pour pas me spoiler l'histoire avec les 2 autres films qui sortent d'ici un an.
Je laisse donc les true fans donner leur avis.
Les FX ne sont pas renversants (pour ce qui est le "plus gros budget de l'histoire du cinéma japonais"), mais restent honnêtes.
Après j'avoue que j'ai pas trop lu le manga (à peine commencé y'a longtemps).
Chose que j'ai une furieuse envie de réparer au plus vite, pour pas me spoiler l'histoire avec les 2 autres films qui sortent d'ici un an.
Je laisse donc les true fans donner leur avis.
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Chron
- Synchrone or not synchrone ?
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- Localisation : Paris
J'y suis allé sans trop y croire, et si j'avais dû payer ma place, je crois que je me serais abstenu, tant le défi paraissait casse-gueule et au vu des diverses adaptations de manga que l'on a pu voir jusqu'à présent.
Pour dire simplement, c'est peut-être (sûrement, vu la concurrence peu reluisante en face) l'adaptation la plus convaincante d'un manga qui a un peu de poids. Mais en soi, et pour un gros projet japonais, cela n'a rien d'inoubliable ou de marquant, c'est juste un film honnête, un peu maladroit parfois, qui veut faire blockbuster sans en avoir trop les moyens malgré son budget conséquent, et qui aurait tout pu avoir de la catastrophe. Il s'en tire avec les honneurs et même une aura de sympathie qui n'est pas volée au final malgré ses faiblesses.
Le film est donc très fidèle au manga, reprenant pour ce premier volet les 8 premiers tomes de l'œuvre d'Urasawa.
Cette fidélité a ses bons côtés : la plupart des personnages est très bien choisie, le mimétisme entre enfants et adultes est saisissant, tout autant que leur ressemblance avec leurs homonymes de papier. Coup de coeur pour les affreux jumeaux Mabô / Ya-bô, Donkey et son tire-morve, et Yoshitsune. Comme le faisait remarquer le comédien lui-même, c'est peut-être Kenji qui ressemble le moins au perso du manga. Karasawa Toshiaki cachetonne un peu mais offre au final un Kenji assez solide (dédicace à Alex Pilot : c'est le "réalisateur" putschiste de l'émission de radio dans "Radio no jikan"). Tout comme Otcho bien classe quand il le faut. Les persos secondaires ne sont pas en reste et la galerie est assez criante de vérité.
Dans le jeu des acteurs, il y a bien ce côté "drama" ou "surjoué" comme ont pu le dire d'autres, et comme on peut le retrouver souvent dans diverses productions de cet acabit. Dans ce film, j'ai trouvé que c'était souvent pour essayer de retranscrire une case de manga en particulier, un gros plan sur un visage.
Mais alors qu'en manga, une case champ, une case gros plan visage, une case contre champ, d'affilée peut être très efficace, en film, faire un plan "Kenji normal", gros plan "Kenji est surpris", plan américain "Kenji se met à courir", relève juste de la lourdeur et de l'effet inutile.... Pour contrebalancer cela, certains effets de montage, ellipses, jeu avec le sons et les musiques (qui sont pas mal du tout) sont parfois très réussis.
Pour en finir avec la fidélité du film, celle-ci est également très contraignante pour le film. Tous les évènements sont présents dans le manga tel quel, parfois scène par scène, plan par plan, et la réalisation est très prudente, quitte à parfois s'enfoncer un peu dans la paresse et laisser faire le travail par les acquis de la narration d'Urasawa sans oser aller plus loin ou faire autre chose.
Car voilà où le bat blesse pour ce film, le manga est tellement dense (du moins dans ces premiers volumes avec beaucoup de persos / évènements à présenter) qu'il ne laisse pas de marge de manoeuvre au film, enlevez tout ce que Urasawa a déjà défini dans le manga jusqu'à la musique (entre autres le titre 20th Century Boys qu'on peut enfin entendre et qui est bien sympa pour de vrai) et il ne reste au final qu'une réalisation qui fait son travail mais est timide.
Le réalisateur n'a pas osé dynamiter quoi que ce soit et a juste réarrangé certaines séquences pour que les spectateurs aient tous les éléments dès le début du film (alors que la révélation de ces même éléments (spoil comme la présentation du personnage de Fukubé ou de Sadakiyo) est un moyen pour Urasawa de relancer son récit. C'est évident qu'il n'a pas la carrure d'un Nolan pour offrir une vision différente d'une oeuvre.
Le réalisateur s'efface quasi-complètement derrière Urasawa, même si celui-ci dit poliment se contenter de regarder le film en tant que spectateur comme s'il ne connaissait pas l'histoire.
L'agencement des diverses séquences temporelles est également dirigé avec moins de brio que sur papier, sûrement une volonté de ne pas perdre le spectateur et éviter de se rater quand il s'agit de retomber sur ses pieds, exercice délicat que Urasawa fait à merveille.
La retranscription de la nostalgie du passé et l'atmosphère électrique des gamins ensemble met plus de temps à prendre dans le film, les émotions sont plus dures à faire passer avec de vrais acteurs.
Mais lors d'une scène très réussie (car oui, malgré ce que j'ai l'air de dire, il y a des scènes très réussies) (spoil : la scène de réunion des 9 "héros" (ou presque 9) à l'âge adulte dans le métro), les personnages sont vivants, tous avec leur personnalité et le va-et-vient présent/passé devient très captivant pendant quelques instants, c'est dommage que le film n'ait pas plus d'instants de grâce comme celui-là et se contente d'être un divertissement assez classique le reste du temps.
Mais rien que pour ces quelques moments, le film gagne toute ma sympathie et laisse un bon souvenir au final, voire donne envie de regarder la suite.
Par contre, il vaudra mieux lire le manga auparavant, car les réactions avaient l'air unanimes, il serait bien plus regrettable de se faire spoiler la fin du manga par le film que l'inverse.
Au niveau du rythme global, le film est quand même long (2h20), un peu trop long, et aurait gagné à être allégé en milieu de film avant l'imposante scène finale. Mais on ne condense pas 8 volumes comme ça... D'ailleurs je viens de voir que ces 8 volumes sont parus en à peine 2 ans au Japon...
Comme Tsuka l'a dit certains FX pas très heureux auraient pu être évités, mais (spoil la scène de mécha) durant le final est bien foutu.
Comme je disais, c'est là qu'on sent qu'ils sont quand même un peu juste au niveau des entournures question budget notamment pour la scène (spoil de l'explosion de l'aéroport de Haneda) malheureusement assez chiche et pas très rythmée, ce qui est assez dur quand on vient de voir le Dark Knight (spoilet son Joker qui fait exploser jouissivement un vrai hôpital en entier) peu avant, même si ce n'est évidemment pas très juste de comparer les deux.
Donc au final, lisez d'abord le manga pour ceux qui l'auraient pas encore découverts puis éventuellement allez voir le film qui est sympatoche.
D'ailleurs, le second volet est annoncé pour le 31 janvier 2009 au Japon. Aura-t-on droit encore à une autre avant-première dix jours avant les Japonais pour celui-ci ?
Justement question avant-première, celle-ci était très sympa, même si au final, cela a pris son temps, la séance ne commençant que vers 20H30~45 je dirais....
En attendant d'entrer dans la salle, on pouvait papoter avec les gens, et dire des bêtises à la télé japonaise (et française) présente sur les lieux...
Karasawa Toshiaki était très classe, plus élancé que je l'imaginais, Tokiwa Takako absolument ravissante dans un kimono chatoyant.
Au début de la séance, il y a eu une petite featurette présentant Urasawa et où celui-ci donne son avis sur le film. Et ensuite un message du réalisateur enregistré spécialement pour l'avant-première, expliquant qu'il n'était pas sur Paris car en plein montage des autres films.
Après le film, c'est un Cédric Littardi visiblement très ému qui a posé quelques questions aux invités avant de passer la parole au public.
Les questions du public étaient souvent superficielles, mais mignonnes sans être trop énervantes ("est-ce vous qui jouez vraiment dans les scènes de guitare?").
La traductrice, qui apparemment dépannait en extrême urgence, avait beaucoup de mal à relayer vers le français (avec autant de pression, ça peut se comprendre) et j'ai souffert pour elle.
Un autre point qui fait mal en tant que traducteur, c'est que le générique de fin a été coupé avant son ultime fin et donc le crédit de l'adaptateur est passé à la trappe.
Pourtant le travail de Yukio Reuter (qui a notamment fait les sous-titres de "La Traversée du Temps") était irréprochable malgré des conditions de travail épique (le montage définitif du film n'ayant été bouclé qu'il y a un peu plus de 10 jours de cela) et méritait d'être souligné.
Enfin, les comédiens ont demandé à être pris en photo au premier rang de la salle parmi les spectateurs ayant tous revêtu le t-shirt "amical" qui leur a été remis à l'entrée.
Ensuite, pour terminer sur une touche personnelle, il était minuit et le temps de se décider à bouger pour aller chercher un coin où se restaurer, la soirée s'est un peu prolongé ce qui fait qu'au final, vu que je bossais ce matin, j'ai pas beaucoup dormi cette nuit, mais je ne regrette pas vu que j'ai passé une très bonne soirée.
@+
Chron
Pour dire simplement, c'est peut-être (sûrement, vu la concurrence peu reluisante en face) l'adaptation la plus convaincante d'un manga qui a un peu de poids. Mais en soi, et pour un gros projet japonais, cela n'a rien d'inoubliable ou de marquant, c'est juste un film honnête, un peu maladroit parfois, qui veut faire blockbuster sans en avoir trop les moyens malgré son budget conséquent, et qui aurait tout pu avoir de la catastrophe. Il s'en tire avec les honneurs et même une aura de sympathie qui n'est pas volée au final malgré ses faiblesses.
Le film est donc très fidèle au manga, reprenant pour ce premier volet les 8 premiers tomes de l'œuvre d'Urasawa.
Cette fidélité a ses bons côtés : la plupart des personnages est très bien choisie, le mimétisme entre enfants et adultes est saisissant, tout autant que leur ressemblance avec leurs homonymes de papier. Coup de coeur pour les affreux jumeaux Mabô / Ya-bô, Donkey et son tire-morve, et Yoshitsune. Comme le faisait remarquer le comédien lui-même, c'est peut-être Kenji qui ressemble le moins au perso du manga. Karasawa Toshiaki cachetonne un peu mais offre au final un Kenji assez solide (dédicace à Alex Pilot : c'est le "réalisateur" putschiste de l'émission de radio dans "Radio no jikan"). Tout comme Otcho bien classe quand il le faut. Les persos secondaires ne sont pas en reste et la galerie est assez criante de vérité.
Dans le jeu des acteurs, il y a bien ce côté "drama" ou "surjoué" comme ont pu le dire d'autres, et comme on peut le retrouver souvent dans diverses productions de cet acabit. Dans ce film, j'ai trouvé que c'était souvent pour essayer de retranscrire une case de manga en particulier, un gros plan sur un visage.
Mais alors qu'en manga, une case champ, une case gros plan visage, une case contre champ, d'affilée peut être très efficace, en film, faire un plan "Kenji normal", gros plan "Kenji est surpris", plan américain "Kenji se met à courir", relève juste de la lourdeur et de l'effet inutile.... Pour contrebalancer cela, certains effets de montage, ellipses, jeu avec le sons et les musiques (qui sont pas mal du tout) sont parfois très réussis.
Pour en finir avec la fidélité du film, celle-ci est également très contraignante pour le film. Tous les évènements sont présents dans le manga tel quel, parfois scène par scène, plan par plan, et la réalisation est très prudente, quitte à parfois s'enfoncer un peu dans la paresse et laisser faire le travail par les acquis de la narration d'Urasawa sans oser aller plus loin ou faire autre chose.
Car voilà où le bat blesse pour ce film, le manga est tellement dense (du moins dans ces premiers volumes avec beaucoup de persos / évènements à présenter) qu'il ne laisse pas de marge de manoeuvre au film, enlevez tout ce que Urasawa a déjà défini dans le manga jusqu'à la musique (entre autres le titre 20th Century Boys qu'on peut enfin entendre et qui est bien sympa pour de vrai) et il ne reste au final qu'une réalisation qui fait son travail mais est timide.
Le réalisateur n'a pas osé dynamiter quoi que ce soit et a juste réarrangé certaines séquences pour que les spectateurs aient tous les éléments dès le début du film (alors que la révélation de ces même éléments (spoil comme la présentation du personnage de Fukubé ou de Sadakiyo) est un moyen pour Urasawa de relancer son récit. C'est évident qu'il n'a pas la carrure d'un Nolan pour offrir une vision différente d'une oeuvre.
Le réalisateur s'efface quasi-complètement derrière Urasawa, même si celui-ci dit poliment se contenter de regarder le film en tant que spectateur comme s'il ne connaissait pas l'histoire.
L'agencement des diverses séquences temporelles est également dirigé avec moins de brio que sur papier, sûrement une volonté de ne pas perdre le spectateur et éviter de se rater quand il s'agit de retomber sur ses pieds, exercice délicat que Urasawa fait à merveille.
La retranscription de la nostalgie du passé et l'atmosphère électrique des gamins ensemble met plus de temps à prendre dans le film, les émotions sont plus dures à faire passer avec de vrais acteurs.
Mais lors d'une scène très réussie (car oui, malgré ce que j'ai l'air de dire, il y a des scènes très réussies) (spoil : la scène de réunion des 9 "héros" (ou presque 9) à l'âge adulte dans le métro), les personnages sont vivants, tous avec leur personnalité et le va-et-vient présent/passé devient très captivant pendant quelques instants, c'est dommage que le film n'ait pas plus d'instants de grâce comme celui-là et se contente d'être un divertissement assez classique le reste du temps.
Mais rien que pour ces quelques moments, le film gagne toute ma sympathie et laisse un bon souvenir au final, voire donne envie de regarder la suite.
Par contre, il vaudra mieux lire le manga auparavant, car les réactions avaient l'air unanimes, il serait bien plus regrettable de se faire spoiler la fin du manga par le film que l'inverse.
Au niveau du rythme global, le film est quand même long (2h20), un peu trop long, et aurait gagné à être allégé en milieu de film avant l'imposante scène finale. Mais on ne condense pas 8 volumes comme ça... D'ailleurs je viens de voir que ces 8 volumes sont parus en à peine 2 ans au Japon...
Comme Tsuka l'a dit certains FX pas très heureux auraient pu être évités, mais (spoil la scène de mécha) durant le final est bien foutu.
Comme je disais, c'est là qu'on sent qu'ils sont quand même un peu juste au niveau des entournures question budget notamment pour la scène (spoil de l'explosion de l'aéroport de Haneda) malheureusement assez chiche et pas très rythmée, ce qui est assez dur quand on vient de voir le Dark Knight (spoilet son Joker qui fait exploser jouissivement un vrai hôpital en entier) peu avant, même si ce n'est évidemment pas très juste de comparer les deux.
Donc au final, lisez d'abord le manga pour ceux qui l'auraient pas encore découverts puis éventuellement allez voir le film qui est sympatoche.
D'ailleurs, le second volet est annoncé pour le 31 janvier 2009 au Japon. Aura-t-on droit encore à une autre avant-première dix jours avant les Japonais pour celui-ci ?
Justement question avant-première, celle-ci était très sympa, même si au final, cela a pris son temps, la séance ne commençant que vers 20H30~45 je dirais....
En attendant d'entrer dans la salle, on pouvait papoter avec les gens, et dire des bêtises à la télé japonaise (et française) présente sur les lieux...
Karasawa Toshiaki était très classe, plus élancé que je l'imaginais, Tokiwa Takako absolument ravissante dans un kimono chatoyant.
Au début de la séance, il y a eu une petite featurette présentant Urasawa et où celui-ci donne son avis sur le film. Et ensuite un message du réalisateur enregistré spécialement pour l'avant-première, expliquant qu'il n'était pas sur Paris car en plein montage des autres films.
Après le film, c'est un Cédric Littardi visiblement très ému qui a posé quelques questions aux invités avant de passer la parole au public.
Les questions du public étaient souvent superficielles, mais mignonnes sans être trop énervantes ("est-ce vous qui jouez vraiment dans les scènes de guitare?").
La traductrice, qui apparemment dépannait en extrême urgence, avait beaucoup de mal à relayer vers le français (avec autant de pression, ça peut se comprendre) et j'ai souffert pour elle.
Un autre point qui fait mal en tant que traducteur, c'est que le générique de fin a été coupé avant son ultime fin et donc le crédit de l'adaptateur est passé à la trappe.
Pourtant le travail de Yukio Reuter (qui a notamment fait les sous-titres de "La Traversée du Temps") était irréprochable malgré des conditions de travail épique (le montage définitif du film n'ayant été bouclé qu'il y a un peu plus de 10 jours de cela) et méritait d'être souligné.
Enfin, les comédiens ont demandé à être pris en photo au premier rang de la salle parmi les spectateurs ayant tous revêtu le t-shirt "amical" qui leur a été remis à l'entrée.
Ensuite, pour terminer sur une touche personnelle, il était minuit et le temps de se décider à bouger pour aller chercher un coin où se restaurer, la soirée s'est un peu prolongé ce qui fait qu'au final, vu que je bossais ce matin, j'ai pas beaucoup dormi cette nuit, mais je ne regrette pas vu que j'ai passé une très bonne soirée.
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