Anomalisa est forcément un long-métrage d'animation intriguant, car il est réalisé par Charlie Kaufman (scénariste de "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" et "Dans la peau de John Malkovich") ainsi que Duke Johnson (le monsieur qui avait fait l'épisode de Community en stop motion "Abed's Uncontrollable Christmas"), et ce après une campagne Kickstater réussie.
Les retours que j'en ai eu sont bons, l'histoire tourne autour d'un homme paralysé par la banalité de sa vie, et voici aujourd'hui le premier trailer (sortie prévue fin décembre aux USA) :
Et en bonus je vous mets l'épisode en stopmo de Community réalisé par Duke Johnson :
Anomalisa (long stopmo par Charlie Kaufman et Duke Johnson)
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Tsuka
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Le long-métrage Anomalisa de Charlie Kaufman et Duke Johnson est donc sorti au cinéma. Un film très singulier, où l'on reconnaît bien la patte de Kaufman (Eternal Sunshine of the Spotless Mind, Dans la peau de John Malkovich ...), qui nous parle encore une fois de défaillances très humaines, avec des pointes hallucinogènes toujours aussi saisissantes.
Johnson (responsable notamment de l'épisode de Community "Abed's Uncontrollable Christmas") apporte lui son art de la stop motion. Rien que pour la scène de sexe, le film vaut le détour. Rarement un rapport de ce type aura été filmé de manière aussi sensible en animation (indice : ce n'est évidemment pas comme dans Team America).
Les deux réalisateurs ont su jouer intelligemment de cette technique d'animation, où les marionnettes gardent toutes leurs traces. Le film passe un peu vite, mais on se rappelle longtemps de ces personnages, avec un souvenir très vivant.
J'en profite pour rajouter d'autres vidéos making-of à celles présentées dans mes précédentes news.
Voir aussi les interventions des réalisateurs aux festivals de Sundance et du TIFF :
Johnson (responsable notamment de l'épisode de Community "Abed's Uncontrollable Christmas") apporte lui son art de la stop motion. Rien que pour la scène de sexe, le film vaut le détour. Rarement un rapport de ce type aura été filmé de manière aussi sensible en animation (indice : ce n'est évidemment pas comme dans Team America).
Les deux réalisateurs ont su jouer intelligemment de cette technique d'animation, où les marionnettes gardent toutes leurs traces. Le film passe un peu vite, mais on se rappelle longtemps de ces personnages, avec un souvenir très vivant.
J'en profite pour rajouter d'autres vidéos making-of à celles présentées dans mes précédentes news.
Voir aussi les interventions des réalisateurs aux festivals de Sundance et du TIFF :
