Mais t'as du apprendre quelques termes et comprendre la façon dont il marchent ensemble (syntaxe/grammaire disons). C'est pas aussi simple a apprendre que le mécanisme d'un jeu (simulations mis à part).
ben pourquoi tu mets les simulations à part justement ?
Y a pas besoin qu'un jeu soit une simulation pour que certains aspects d'un jeu soient perçus comme 'compliqués' par certains. Mon père n'a jamais voulu utiliser la touche de frein dans Mario Kart, par exemple...
Et pour ce qui est de mon apprentissage de la programmation, je n'ai pas fait de réel effort à ce niveau là, pas comme j'étais sensé en faire pour apprendre mes cours d'histoire ou de français. Non, le processus est effectivement équivalent à celui d'un jeu :
"c'est possible de faire en sorte que si j'appuie sur une touche, ça fait un bip ?
-wais, mais alors là faut utiliser $input (ou je sais plus ce que c'était"
"attends, c'est quoi cette histoire de for to, je pige pas
-ben en fait, ....
-hum... mwais, je crois que je vois"
Par rapport à ce que dis Tranktat sur la culture, ça me permet d'accepter un peu mieux ce que dit Pascal, mais je sais pas encore très bien où me placer... je trouve toujours ça un peu radical... et c'est peut-être une question de définition du mot culture.
Je pense en l'occurence aux jeux (vidéos entre autres) que je ne considère pas comme étant très "culturels" pour la plupart (mais bon, il y a les graphismes, la musique et tout ça, c'est vrai). Ca n'empèche pourtant pas ces jeux d'avoir un intérêt réel en tant que jeux, de par leurs concepts, leurs originalités, leurs gameplay... mais ces éléments sont peut-être aussi des éléments de culture ?
et alors j'ai envie de dire... la culture, c'est très surfait ^^
j'veux dire, c'est quoi finalement la culture, sinon ce dans quoi les gens se reconnaissent ? Si les masses se mettent à se reconnaitre dans des jeux et des émissions de télé sans intérêt, ces choses représenteront leur culture... une culture de merde pour les gens d'autres cultures, mais une culture tout de même... non ?
Moi ce que je t'affirme pour ces deux cas, c'est que c'est les conditions qui ont aidé (fortement) à "architecturer" leur cerveau, mais que dans le cas de Mozart c'est tellement difficile d'arriver aux conditions nécessaires ppour obtenir cette qualité qu'on peut effectivement parler de talent ou de prédisposition.
C'est auto-contradictoire, je trouve. Parce que je sais pas si on peu parler d'une "prédisposition" qui ne serait pas "pré-existante"
Mais même en admettant qu'un ensemble de facteurs environnementaux soient la seule source possible des "prédispositions" des gens, le fait est que cet ensemble est encore insondable... on dansle domaine du chaos. Bush est un abrutit, et des petits génis naissent au fin-fond de la campagne.
La question n'est pas forcemment de savoir si les prédispositions, ou plus simplement, les "facilités" viennent des gènes ou d'autre chose, mais bien de déterminer si elles existent (là, je crois qu'on est d'accord) et la façon dont il faut les prendre en compte.