Yû-gi-oh ! fait peur. On tape le mot fatal dans un moteur de recherche Internet et on se retrouve avec autant de sites que de putes felliniennes agitant la langue
Petits "morceaux choisis" de l'article en question (merci emilucky pour le lien): je HAIS ce genre de gribouilleur stupide qui a traîné ses trois années en khâgne et qui croit bon de truffer ses articles de références aussi inutiles que déplacées, rien que pour ajouter la pédanterie aux nombreux défauts de son article, dont la lourdeur de style.On ouvre un volume de la BD et on se retrouve tel un lulliste à l'ouverture de Zaïs, perdu dans le chaos d'une intrigue au jargon abstrus
Gland toi-même. Non content de se complaire et de se masturber (intellectuellement, s'entend, autrement le type est un impuissant de toute façon) dans son écriture minable, monsieur se toque d'hériter de papa Freud: waaaas??C'est assurément un gland muni de son méat qui apparaît dans la vignette inférieure droite de la page 35 de Fruits basket tome 1
Merci pour la concession, on leur dira.Mais, tout comme la BD ne se limite pas à Mickey et Tintin, la manga n'est pas qu'une cohorte de vagues Candy et Albator
Bon sang, et y'a encore des gens qui LISENT Libération? Journalistes de merde go burn in hell.
