[radio] Génération Manga - Manga Night Fever#2 p.10

[Rakugaki]

On pourait croire qu'il à suivi Miyazaki depuis toujours...

[Seb. K.]

C'est peut-être son fils caché

[Chron]

Je le savais!
@+
Chron

[Seb. K.]

Et ça va faire la Une de la prochaine émission : "On a retrouvé le fils caché de Miyazaki ! Vous saurez tout d'ici quelques minutes..." (et avec ça, ils peuvent attirer le challant pendant toute une émission ^^ )

M'enfin, avec toutes les explications ultra-précises et interessantes de Le Flan, le 03 juillet, ils sont bien partis pour refaire une spéciale Ghibli

[Gersende]

Ayant étudié le parcours et l'oeuvre de Miyazaki pendant 2 ans dans le cadre de mes études universitaires (je lui ai consacré mon mémoire de Maîtrise), et depuis plus longtemps par goût personnel pour l'auteur, je ne puis que confirmer les informations précisées par LeFlan.

Les erreurs / approximations de l'émission de radio sont bien dommage... :\

[Cyoran]

C'est peut-être son fils caché.

À moins qu'il s'agisse de son biographe officieux.

Nicolas Bernard, à propos du Studio Ghibli :

« […] cette curieuse bâtisse aux murs bariolés comme un gros flan aux œufs nappé par un gourmand de différents coulis, surmontée d’un jardin gardé par un géant de métal aux bras hérissés de pointes. »

Souvenez-vous :

viewtopic.php?t=1327&start=14

Quoi qu'il en soit, remercions LeFlan pour sa singularité et sa pertinence.

[maje]

C'est juste.
Je réponds rarement après ses messages,
car j'aurai rarement quoi que ce soit à répondre.
Mais c'est toujours agréable à lire et très instructif.

[LeFlan]

C'est peut-être son fils caché.

Oui...
Enfin bon.
Mieux vaut sans doute entendre ça que d'être sourd...
Ce qu'il ne faut pas lire, quand même... Surtout quand on pense à certains autres "fils" (de discusssion ceux-là) qui appelleraient à réponse et "assomptions" (pour la peine).

À moins qu'il s'agisse de son biographe officieux. Souvenez-vous :

Oui.
Décidément.
Mieux vaut sans doute...

Enfin, quand même, se voir traiter de Nicolas Bernard, franchement, est un honneur qu'il faut espérer assez largement immérité (cela dit sans la moindre connaissance directe de l'intéressé, et sur la seule base des quelques extraits de ses écrits)...

« […] cette curieuse bâtisse aux murs bariolés comme un gros flan aux œufs nappé par un gourmand de différents coulis, surmontée d’un jardin gardé par un géant de métal aux bras hérissés de pointes. »

Nous y revoilà.
Que dire, que lire de plus... A part les quelques autres extraits en ligne, tout aussi problématiques.
Quand même. Le concept de "biographie romancée", on aura beau dire, cela reste d'un délire et d'une honnêteté intellectuelle pour le moins "décalés".
L'exercice de l'écriture biographique, par ce qu'il induit précisément de recherche factuelle objective, se prête moins que tout autre aux processus "romancés". Il faut savoir un minimum de quoi on veut parler, de temps en temps. Et cesser de rechercher avant tout cette sorte d'éternel dédouanement de toute responsabilité dans l'écriture, face à la réalité.
Une "biographie" ne peut pas être "romancée", et prétendre encore au titre de "biographie". Ces deux modalités d'écriture ne sont pas solubles l'une dans l'autre.
Et l'on retombe d'ailleurs là, soit dit en passant, sur toutes les impostures de discours d'un Boilet, pour ne citer que lui, dans sa pratique de la "BD autobiographique" de circonstance sous l'étiquette lourde d'ineptie de "la Nouvelle manga d'auteur"... Enfin bref. Tout un programme. Et encore un autre poème...

Quoi qu'il en soit, en relisant ces passages, je n'ai pu que retrouver dans toute son acuité le sentiment de l'époque, de profonde compréhension face à la réaction de refus d'un ayant droit japonais de voir publier un tel ouvrage, fût-il dythirambique, animé des meilleures intentions, ou ne serait-ce qu'honnête (la posture de départ que dénote cette juxtaposition terminologique ne permet d'ailleurs pas une telle rhétorique a priori).

Merci en tout cas pour les appréciations élogieuses et autres noms d'oiseaux usurpés!

[Seb. K.]

C'est peut-être son fils caché.

Oui...
Enfin bon.
Mieux vaut sans doute entendre ça que d'être sourd...

Oui m'enfin. Y a des "insultes" plus faciles à porter que d'autres.

Surtout quand on pense à certains autres "fils" (de discusssion ceux-là) qui appelleraient à réponse et "assomptions" (pour la peine).

fils dans lesquels j'interviendrais quand mon emploi du temps me le permettra. L'auteur des derniers messages en attente de réponse convenant lui-même avec lucidité que ceux-ci sont longs et appelleront, par la même à une réponse tout aussi longue sinon plus. Je ne fuis pas, pas plus que je ne cherche d'arguments. Je manque juste de temps. Merci de votre compréhension.

[LeFlan]

Oui m'enfin. Y a des "insultes" plus faciles à porter que d'autres.

"Insultes" ou pas (il ne s'agit pas de prétendre à une quelconque "atteinte"), le qualificatif ne change par grand-chose au caractère de "sottise" de l'intervention en question.

fils dans lesquels j'interviendrais quand mon emploi du temps me le permettra. L'auteur des derniers messages en attente de réponse convenant lui-même avec lucidité que ceux-ci sont longs et appelleront, par la même à une réponse tout aussi longue sinon plus. Je ne fuis pas, pas plus que je ne cherche d'arguments. Je manque juste de temps. Merci de votre compréhension.

Icône moqueuse ou non, toute la compréhension du monde ne résoudra pas le fond d'un problème, pas plus que la poursuite d'un dialogue de sourds où l'ensemble des intervenants de la principale partie concernée se contentent d'entendre uniquement ce qu'ils veulent (c'est-à-dire rien de ce que l'on tente de leur faire saisir sur le fond) et de se poser en victimes d'une cabale qui n'existe pas, allant pour cela jusqu'à crier au complot et à de mauvaises intentions sous-jacentes dans des déclarations qui sont... les leurs propres au départ. On aura tout lu... Mais bref.

Un incident ponctuel a servi d'occasion à vouloir poser, à exprimer un ensemble d'observations et de critiques foncières, essentielles au sujet d'un périodique globalement (et de plus en plus) médiocre. Cet organe de presse, nous dit-on, se porte très bien, et réfute tout constat [partagé assez largement ici et là] de "nivellement pas le bas" de son contenu rédactionnel. Il n'y a donc pas de problème, et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Et qu'importe si la lecture du magazine n'appelle plus aujourd'hui à rien, sinon à un copieux barbouillage en rouge des maints problèmes qui s'y trouvent absolument à chaque page, et dans chaque texte.

Autant faire grâce aux quelques malheureuses "petites mains rédactionnelles" et autres "bonnes âmes" en manque de temps de leur engagement à poursuivre un débat qui de toute façon semble les dépasser à tout point de vue. Et pour une raison principale qui peut être résumée par ces mots : "nous n'avons pas la même vision du monde".

Pour les uns, écrire et publier, fût-ce dans le domaine de la presse, impose d'être utile, et implique une responsabilité et un ensemble de devoirs aussi lourds que d'enseigner. Pour les autres, avocats de contingences en tous genres et tenants invariants du "fait de son mieux, et donc suffisant", les "conditions du bord" représentent l'alpha et l'oméga de leur (voire de toute ?) "production écrite".

Il y a cinquante ans déjà, Camus écrivait ainsi dans un papier pour périodique (cité de mémoire) : "c'est sans doute l'époque qui veut que nous ayons aujourd'hui en France davantage de journalistes que d'écrivains, davantage de boy-scouts de la peinture que de Picassos"... Un constat amer, clair et net, et dont la lucidité garde (hélas) toute sa validité aujourd'hui. Relire n'importe lequel de ses éditoriaux résumera mieux que toute explication l'écart qui nous divise ici. De même, aussi et surtout, que cela montrera dans les faits l'évidence d'une réponse possible, et en l'occurrence éclatante, au contexte de publication périodique sans nivellement par le bas.

Bref. Inutile donc de se torturer les méninges si c'est seulement pour tenter malgré soi de faire bonne figure à l'égard d'un quelconque engagement à poursuivre le débat. Non seulement il n'y a pas de nécessité incontournable à cet égard, mais il semble clair que la réalité éditoriale évoquée est appelée à susciter d'autres débats publics, dans d'autres lieux et avec davantage de conséquences à long terme.
Et indépendamment même de toute discussion de cet ordre, l'épreuve du temps, la moins clémente de toutes, dira bien, le moment venu, la valeur et le sens des arguments comme des écrits de chacun.

Bon vent, donc, à la galère AnimeLandienne, et à tous ceux de ses rameurs dévoués qui s'estiment si indûment persécutés et incompris par toute mise en cause (comme si là était le fond du problème) !

[BenBecker]

Je le savais!
@+
Chron

Pas mieux...
Merci en tout cas pour le temps et les précisions donnés... concernant nos 12 premières minutes...
Va falloir que je relate tout ça...

Il aurait fallu qu'on soit vraiment préparé au mieux et connaître au maximum LE studio Ghibli depuis quelques temps déjà... pour réaliser l'émission parfaite.

Disons que notre attention fut bonne... mais pas assez approfondie!

Dès que tu passes dans le coin, on fera une Spécial Studio Ghibli - ERRATUM !!!

A pluche

[BenBecker]

Mode : Position du Bouclier...


Après un repos forcé de deux semaines, votre émission hebdomadaire reviendra pour la dernière fois de la saison le lundi 10 juillet pendant deux heures d'antenne.

Au programme : un "Best-Of" en compagnie de la majorité de nos chroniqueurs et un compte-rendu de la Japan Expo... et un grand MERCI à l'éditeur PIKA qui nous offre 20 tomes de DYS volume 2 de notre fidèle auditeur, Moonkey.

Par ailleurs, lors de la Japan Expo, nous avons eu l'accord d'interviewer quelques invités : Aurore, Jenny et Moonkey... en attendant confirmation de mes autres demandes.
Si vous souhaitez leur poser des questions, n'hésitez pas à me les proposer !

Un grand remerciement à Rachius pour son amical initiative de nous croquer en SD :



A bientôt...

[BenBecker]

=> C'est fini !!!!!
Notre 42ème et dernière émission de la saison s'est donc déroulée en ce lundi 10 juillet 2006, au lendemain d'un magnifique et prolifique weekend à la Japan Expo.
Pendant deux heures, vous écouterez un "bilan" de cette convention à travers les avis d'une grande majorité de nos chroniqueurs... ainsi qu'un "bilan" de Génération Manga.
Ce dernier épisode est en ligne depuis mardi soir...

=> Interviews Japan Expo :
Venez découvrir une dizaine d'interviews d'auteurs, de journalistes, d'éditeurs et même d'un traducteur réalisées au cours de ces deux jours de folie non-stop à la Japan Expo... en cliquant directement sur ce lien.
Pour vous donner un avant-goût, voici quelques indices :
Dys, Pink Diary, Pixie, Animeland, Kaze, Déclic Images, Dybex, Bandaï France, Paris Visual Prod, DVDanime... et un certain Ran, bien connu des membres de notre forum.

Bon weekend!

[Chron]

J'avais bien cru apercevoir la tignasse flamboyante d'Eddie à l'espace VIP à un moment...
@+
Chron

[Cyoran]

Les hommes politiques passeraient moins de temps à rédiger eux-mêmes les questions auxquelles ils acceptent de répondre si tous les journalistes avaient la complaisance de BenBecker.