[ULTRA TROP LONG]
Cette réponse sera la dernière à vous être adressée pour ma part sur ce sujet. Il y a dans la teneur et la manière de vos interventions, comme dans l'intitulé de la dernière d'entre elles, trop de choses qui me forcent à abréger pour tenter d'éviter de vous suivre dans des directions douteuses voire, pour certaines, nauséabondes.
Voici donc un dernier retour circonstancié (et laborieux) sur le détail d'affirmations toujours aussi vaines et improductives.
Seb. K. a écrit :Désolé d'avoir pensé à ceux qui en auraient marre de nous lire tous les deux et qui venaient là pour le sujet indiqué en haut de page.
Vous ne savez pas lire. Décidément, il faudrait peut-être apprendre ? Cela permettrait de découvrir que telle déclaration ici persiflée, abonde pourtant dans le sens précis du souci ici formulé.
Seb. K. a écrit :Attends un peu, là. Tu me rentre dans le lard comme un bulldozer dans un magasin de porcelaine, tu m'attaques aussi ouvertement que directement, et tu t'étonnes ensuite que je te réponde en mon nom.
Vous ne savez décidément pas pratiquer d'autre registre que ceux-ci :
1)
l'innocence prise à partie dans son ingénuité quand ce n'est pas son ignorance, pour posture de départ
Je ne développe pas plus avant sur ce point, cela nous ramènerait trop en arrière et il y aurait trop à citer ; mais en somme, à aucun moment l'idée ne vous a effleuré qu'il y avait plus en jeu dans les tentatives de formulation et d'explication de votre interlocuteur, que de bêtes et viles attaques
ad hominem. Il importe par trop de toujours justifier d'une bonne foi en toute innocence, et surtout ne jamais assumer rien de ce qui vous est pointé, et vous dépasse largement. Une preuve en est les divers points de "discussion" qui vous sont soumis, à se voir simplement escamotés, passés sous silence dans vos réponses.
2)
un égocentrisme ramenant systématiquement tout à soi, même et surtout lorsque le propos vise bien ailleurs et plus loin
Tout, en somme, doit se résumer et s'expliquer par des "clins d'oeil" jovialement résignés face à un tempérament, des inclinations et turpitudes, entre moultes autres digressions im-pertinentes à tout propos de fond...
Voilà ce que proposent vos écrits pour première réaction à toutes remarques critiques. Alors même que celles-ci, pour peu qu'on les lise, s'intéressent très peu aux contingences de l'individu lambda incarné par vous, et reposent sur une visée bien plus large...
3)
une familiarité de ton aussi creuse que cuistre
Je ne m'étonne pas que vous me répondiez "en votre nom" (quelle idée grotesque). Je m'étonne que vous me répondiez dans la manière adoptée en l'occurence, à savoir dans les registres du "n'importe quoi" issu du vécu personnel, du fatras de considérations auto-centrées dénuées de toute pertinence ; le tout sur le ton bonhomme et entendu d'une confidence de comptoir, virtuellement ponctuée de coups de coude complices, assenés à coups d'aveux quant à la petitesse de son propre tempérament, et de
smileys en rafales.
Tout cela est désespérant de vacuité sur le plan de l'argumentaire, comme de pseudo-bonhomie de ton.
En somme : n'étant pas en mesure de lire ce qui vous est adressé pour autre chose qu'attaques personnelles scandaleuses d'agressivité personnelle
(ce qu'elles dépassent pourtant d'assez loin, sauf lorsqu'il s'agit de pointer [trop souvent] une contradiction flagrante, une avanie ponctuelle dans votre discours), vous parlez pour ne rien dire. Ce faisant, vous faites perdre leur temps à tous ceux qui vous lisent encore, à commencer par votre interlocuteur...
Seb. K. a écrit :Après, quoi que je dise -blanc, noir, gris-, ça ne te va pas. Tu trouves toujours un truc à y répondre (que ce soit recevable ou non, mais ça, finalement, on s'en cogne). Donc oui, effectivement, vu comme ça, le débat n'a plus lieu d'être.
Les liens logiques de cet enchaînement sont particulièrement brillants. il est certain qu'en pratiquant un tel amalgame volontaire, on est sûr de ne plus rien comprendre à rien, et d'éviter ainsi d'avoir à faire face à ses torts éventuels, comme au moindre doute quant à la "justesse" d'un aveuglement éclatant.
Quant à l'échappatoire suivante : "effectivement, vu comme ça, le débat n'a pas lieu d'être", elle résume une posture aberrante qui, de manière constante, n'a jamais consisté qu'à répondre à un étage qui n'avait rien à voir avec la discussion de fond...
Le débat a largement, il n'a que trop lieu d'être. Mais pas avec cet interlocuteur, manifestement. Le jour où il parviendra à rejoindre l'étage auquel se situe le problème, à comprendre la discussion et à s'exprimer à cet étage de débat, alors (et alors seulement) sa participation prendra-t-elle peut-être un sens...
Seb. K. a écrit :Quant à celui qui ne parle pas (ou si peu) de lui, on peut interprêter cela de deux manière :
- soit parce qu'éviter de se mettre en avant c'est éviter de répondre aux (nombreuses) questions qui fachent et donner à "l'adversaire" matière à argumenter.
- soit une forme de mesquinerie qui consiste à attaquer un malheureux (l'auteur de l'article d'Orient-Extrême) qui sera dans l'incapacité de se défendre en bonne et dûe forme parce qu'il maîtrise mal son sujet [...] Dans ce second cas, je laisse à nos lecteurs le soin de déterminer qui de celui "qui lance une pique ouverte comme il l'aurait fait à n'importe quel sujet et sur n'importe quel forum" ou celui "qui argumente sous couvert d'un pseudonyme discret sur un sujet qu'il connaît bien" est le plus condamnable dans son attitude.
...
Jusqu'à quels abymes d'inanité ce "débat" devra-t-il descendre ?
Selon quelle logique, quelle morale moisies le recours à l'anonymat, et le fait de s'y tenir, devrait-il faire l'objet d'un procès d'intention aussi maladivement égotique, aussi bas, aussi méprisable ?
Est-il si inconcevable, qui que l'on soit, d'intervenir sur les sujets que l'on connaît plutôt que ceux que l'on ignore ?
Est-il si inconcevable que, la règle du lieu étant le pseudonyme, cette règle d'un anonymat relatif soit respectée ?
Est-il si inconcevable que, ce principe étant respecté, cela puisse être fondé sur la simple idée qu'il est des vérités, des formulations et des notations exactes, factuellement justes, quel que soit celui qui les fournit ?
Est-il si inconcevable que, de ce fait, l'on puisse se plier à un tel cadre dans l'idée pourtant simple que l'identité des uns des autres n'a rien à faire dans certains débats, certaines discussions ?
Est-il encore inconcevable, pour finir, d'espérer à l'égard de tout intervenant, quelle que soit son identité, le minimum de considération auquel a droit a priori tout acte de bonne foi ; sans lequel nulle discussion n'est possible ; et en-deça duquel l'horizon de tout échange est l'invective ?
Lancer, sur un terrain aussi fondamental au plan éthique, des insinuations d'une telle bassesse, voilà une pratique qui dit bien à quel étage se situe leur auteur aujourd'hui.
Car lorsqu'insulte, ou mépris il y a, il faut bien dire que cela repose sur les écrits des uns et des autres. Car il est un mépris qui peut être légitime, et qui se fonde les
actes d'autrui ; et il en est un qui n'est pas justifiable, c'est celui manifesté à l'égard de ce qu'
est l'autre.
Or, comme le dirait Gandhi, la parole est un acte. Ainsi, on comprendra qu'il est aisé d'assumer pleinement toutes les mises en causes formulées à ce jour, que ce soit à l'égard de tel magazine et de son équipe rédactionnelle, ou des interventions de tel boy-scout dont les gesticulations fatiguent tout le monde.
Car cette critique porte toute entière sur ce qu'ils font, non sur ce qu'ils sont.
Et pour ma part, chaque critique, chaque mise en cause formulée à votre égard, comme à celui de qui que ce soit, l'est sur la base d'écrits, d'éléments de formulation objectifs, vérifiables, à assumer, et qui constituent le coeur et l'élément premier du débat. Ainsi que tout débat devrait avoir à l'assumer.
Les basses insinuations ci-dessus se situent, elles, sur un autre plan, celui de l'identité de l'autre. En l'occurrence, elles disent assez lamentablement l'inanité ici de toute tentative de débat honnête.
Un autre exemple qui en dira la vanité, est celui de l'intitulé pour le moins imprudent de votre réponse :
Seb.K. a écrit :De l'art de clore un débat lorsqu'on est à court d'arguments
Voilà bien qui dit où se situe le "débat", hélas, pour un intervenant dont l'ensemble des déclarations se seront résumées à éluder et à brasser de l'air...
Croire à un quelconque manque d'arguments quant à la faiblesse d'AnimeLand, voilà bien la preuve d'un aveuglement coupable quant à l'objet même de ce "débat"...
Car point n'est besoin de connaître les cuisines, coulisses et autres popottes où se concocte la soupe animelandienne, pour développer un tel sujet de manière extrêmement longue ; il y suffira d'en être lecteur depuis assez longtemps...
Pour rester bref, le problème pourra être résumé en ces termes : à chaque numéro depuis maintenant plusieurs années,
il n'est quasiment pas de pages qui ne présentent un problème (et en général plusieurs), grand ou petit, à un égard élémentaire ou un autre.
Par "égard élémentaire", on entendra notamment :
- coquilles et incorrections en langue française
- informations, données factuelles erronnées
- dénaturation des faits / présentation des faits occultant des parts trop larges des réalités couvertes
- traductions approximatives voire erronnées
- supputations infondées, lien logiques vérolés
- ignorance par trop criante d'aspects fondamentaux du sujet
- problèmes dans la mention des copyright
Arrêtons-nous là dans l'énumération, étant (ne l'oublions pas) "à court d'arguments". On rappellera seulement que les problèmes de cette nature se trouvent quasiment à
chaque page de
chaque numéro depuis des années déjà...
Mais notre interlocuteur, jamais à court d'argument lui, nous rétorquera qu'il ignore tout de cette réalité... Et cela, du moins, représentera un argument de choix pour faire avancer la discussion...
Trêve de pitreries débilitantes.
Seb. K. a écrit :on trouve de nombreux erratums dans différents numéros du mag. Trop certainement, mais on ne peut pas repprocher au mag de ne pas assumer ces erreurs.
Trop et pas assez, hélas. Cf. les explications "à court d'argument" ci-dessus.
Seb. K. a écrit :Parce que toi tu te remet en cause ? Toujours, tout le temps, sur tout ? Tu ne fais jamais d'erreur de jugement ? Tu n'as jamais écrit de mauvais textes ?
Ce n'est en tout cas pas l'impression que tu donnes tout au long de tes interventions.
Encore un exemple d'un dialogue de sourds. Considérations hors sujet, éludant toute discussion digne de ce nom, c'est-à-dire responsable... Prise à partie purement rhétorique, gratuite, vide de sens, car n'appelant pas vraiment de réponse sur le fond : y répondre ne servirait à rien dans l'avancement du débat.
Difficile, dans ces conditions, de répondre autrement que par la répétition :
Hélas, il semble que la poursuite même de ce débat en fasse apparaître les limites en termes d'entendement mutuel, la rédaction de réponses à rallonge n'empêchant manifestement pas de rester a peu près "hermétique à toute réflexion"...
Seb. K. a écrit :Les ambitions d'AnimeLand, je m'en moque. D'ailleurs je ne les connais pas.
Superbe réflexion sur l'expérience du jour, magnifique volonté de sincère découvrir en quoi on a tort pour tirer profit de ses erreurs, admirable étude publique détournée sur la perception subjectivement variable d'un texte donné...
De qui se moque-t-on ?
De personne. Tu montre juste, une nouvelle fois, que quoi que je dise, j'ai forcément tors et toi, raison.
Trêve de balivernes. Relisez-vous, ci-dessus même, et dites-nous donc où se situent dans les déclarations "
Les ambitions d'AnimeLand, je m'en moque. D'ailleurs je ne les connais pas" le moindre esprit d'apprentissage, la moindre approche que vous prétendez par ailleurs revendiquer
au sujet même de ces déclarations précises.
Que de temps perdu dans cet échange, et face à de telles âneries...
Seb.K. a écrit :Quand je dis que je me moque des ambitions d'Animeland, je parle de l'ambition dans toute sa connotation péjorative.
Acception elle-même en porte-à-faux avec le sens des mêmes mots dans leur première occurrence. Bref : encore du détournement de sens. En toute ingénuité.
Mais est-ce bien étonnant de la part de quelqu'un pondant des éléments de réponse "pour voir en quel sens variable ils pourront être lus par les uns et les autres" ? Il ne reste donc plus qu'à apprendre à écrire en sachant :
1) ce qu'on veut dire,
2) comment le dire pour ne pas être compris autrement,
3) et en sachant assumer ce qu'on aura voulu dire.
Tout un programme...
Seb.K. a écrit :Et que ce soit Animeland ou un quelconque autre employeur, dans la presse ou dans quelque domaine que ce soit, s'adonner à une quête perpétuelle de "l'irréprochable à tous les niveaux", c'est risquer de passer son temps à claquer des portes plus qu'à travailler.
Et que ce soit AnimeLand ou un quelconque autre employeur, dans la presse ou dans quelque domaine que ce soit, s'adonner à une quête perpétuelle du "minimum suffisant à tous les égards" (raccourci dans d'autres disciplines en "PPDC"), c'est risquer de passer son temps à produire un travail de tâcheron (au sens des divers aspects de manquements énumérés plus haut) plus qu'un travail "professionnel" (c'est-à-dire dénué desdits manquements).
Il est amusant de constater qu'à chaque fois qu'une observation a voulu poser les problèmes de cette revue en termes de "nécessité", les braves galériens concernés ont toujours répondu en termes de "suffisance" ; chaque fois qu'un effort, une exigence ou une compétence vous sont présentés comme "nécessaires", la réponse du bord est systématiquement "les efforts, les exigences, les compétences actuels sont suffisants".
Dialogue de sourds, en effet. Mais qui peut croire aujourd'hui, et comme un exemple parmi tant, tant d'autres, qu'un magazine professionnel dédié de lui-même à un domaine national donné, ne comporte pas, parmi ses employés principaux (en interne donc, au sein de la rédaction), ne serait-ce qu'une seule personne maîtrisant la langue dudit pays à un degré suffisant (compréhension comme expression) pour pouvoir assurer toutes les tâches de nécessité élémentaire à la marche d'un tel organe de presse (traductions dans les deux sens, contacts directs en direction du pays concerné, demandes d'autorisation pour les visuels, etc., etc., etc.) ?
Entendons-nous bien : est bien question ici d'une compétence linguistique d'un niveau permettant une activité professionnelle.
Inutile sur ce point de nous resservir une nouvelle salade d'ignorance ingénue ; l'exemple donné ci-dessus n'est mentionné que pour l'édification des (rares) malheureux persistant encore à lire ce sujet.
Seb.K. a écrit :Animeland, c'est une équipe riche humainement parlant, avec des intervenants variés qui ont un vécu diiférent et des perceptions différentes donnant lieu à de riches échanges. Animeland est un mag qui traite de sujets qui ne sont pas évoqués ailleurs ou juste survollés (au hasard, le doublage). Animeland est un mag où les gens s'impliquent dans ce qu'ils font. Et enfin, Animeland est un mag qui a su évoluer avec le temps (l'arrivée des dossiers étant l'exemple le plus pertinent en terme de "gros changement").
Des raisons qui expliquent pourquoi Animeland et pas un autre.
On croit rêver devant autant de langue de bois tout-relativiste, condensée en si peu de lignes. Faut-il vous l'avouer ? On s'en sent honteux à votre place.
Mais puisqu'il faut boire le calice jusqu'à la lie :
AnimeLand c'est une équipe pauvre journalistiquement parlant, en compétence comme en exigence, avec des intervenants variés qui ont un degré de subjectivité différent et des perceptions différentes dans leur manière de les assumer, donnant lieu à des échanges insuffisants (et en particulier dans leur teneur en information objective et en exactitude factuelle), et sans reflet d'une telle pluralité de vues dans la forme éditoriale.
AnimeLand est un magazine qui maltraite des sujets pas assez évoqués ailleurs ; c'est de moins en moins une excuse au piètre niveau de traitement infligé à la majorité desdits sujets.
AnimeLand est un magazine où les gens s'impliquent dans ce qu'ils font, juste ce qu'il faut à leurs yeux, et certainement pas plus ; autrement dit, à hauteur de leur degré personnel de professionnalisme (ou à l'inverse, de "dilettantisme passionné" forcément sincère, quel que soit son niveau d'exigence).
Enfin, AnimeLand est un magazine qui n'a pas su évoluer avec le temps (le "rajeunissement" en forme de nivelllement par le bas du contenu étant l'exemple le plus pertinent d'une mesure ancrée dans le plus court terme, et allant dans le sens contraire de l'évolution naturelle de tout lectorat en termes d'âge).
Je ne reviens pas sur les points abordés par d'autres, et concernant "l'inutilité" de toute pratique créative, et partant de toute pratique critique en regard. Là aussi, ces affirmations disent bien à quel degré de dilettantisme certains peuvent considérer fondé de se situer dans leur conscience de leur activité professionnelle.
Pour les autres, il ne sera pas forcément vain de redire ici le credo selon lequel toute activité critique, dans la mesure où elle prétend rendre justice à des oeuvres qui le mériteraient, a d'abord pour vocation et pour responsabilité d' "être utile" dans tout ce qu'elle réalise.
Seb. K. a écrit :Et le fait que je sois là à défendre le mag c'est quoi ?
"Défendre du magazine" est en l'occurrence un bien grand mot pour décrire la réalité de cette "discussion", véritable dialogue de sourd où pour tout dire, alors même qu'on est soi-même raisonnablement assuré de saisir l'ensemble des articulations et des implications de sens du discours d'autrui, force est de constater que :
1) ledit discours n'apporte rien à une meilleure compréhension ni du problème posé, ni de ses termes, ni d'éventuelles solutions ; il se réduit à brasser de l'air pour tenter de donner le change.
2) l'interlocuteur n'est manifestement pas capable d'entendre le discours qu'on lui présente.
Bref. Le coup d'épée dans l'eau permanent est là, dans ce brassage d'air persuadé de constituer une "défense du magazine", là où il ne fait qu'en illustrer par l'exemple les maintes carences et déficiences au niveau le plus essentiel.
Seb.K. a écrit :Bien sûr que je suis sur le même bateau que le reste de l'équipe, c'est d'ailleurs pour ça que je m'impose de nombreuses exigences professionnelles (...) et c'est pour ça aussi que je débat (...).
Hélas, lus en ces termes, ces propos paraissent aussi tristement convenus que dénués de tout pouvoir de conviction.
Seb.K. a écrit : Mais peut-être est-il trop inconcevable qu'un Homme puisse être capable en même temps d'individualisme et d'esprit d'équipe ?
Certes pas. Ce qui semble inconcevable, par contre, par chez vous, c'est qu'un homme puisse être capable d'
assumer en même temps individualisme et esprit d'équipe. Ce qui est bien différent.
Seb.K. a écrit :Merveilleux raisonnement, lu en d'autres pages sous sa forme "si cela ne vous convient pas, ne l'achetez pas". Admirable de volonté d'apprendre, de soif de réflexion sur l'expérience du jour, etc. (ad nauseam)
Merveilleuse preuve de mauvaise interprétation d'un propos que voilà !
Je persiste et je signe : je suis prêt à défendre le mag (...) mais je refuse l'idée que cet argumentaire serve à inciter les lecteurs de ce forum soit à acheter le mag, soit à penser qu'en intervenant je tente de leur vendre le dit mag. Et toute la précaution citée se trouve là !
Encore une entourloupe rhétorique qui se contente d'escamoter ses propres propos pour crier à l'erreur d'interprétation, et dévier complètement du sujet vers des considérations n'ayant rien à voir... Cela commence à devenir lassant.
Pour information, prenons la peine de citer lesdits propos :
Seb.K. a écrit :[i}Ces lecteurs doivent posséder un important capital masochisme pour rester fidèle au mag si longtemps, et ce, malgré la fatigue éprouvée. Je suis impressionné.
[...] J'ai jamais interdit la critique. Au contraire, depuis le début je demande à ce qu'elle soit précisée. Pour moi, "médiocrité du magazine" ne veut rien dire. ça m'évoque seulement "mais pourquoi tu t'y interesse / t'en occupe / en parles encore ?".[/i]
Et prenons maintenant la peine, pour l'édification de nos malheureux lecteurs, de citer ceux qu'on nous sert désormais en guise d'explication d'un prétendu "malentendu" sur le sens des précédents :
Je persiste et je signe : je suis prêt à défendre le mag (...) mais je refuse l'idée que cet argumentaire serve à inciter les lecteurs de ce forum soit à acheter le mag, soit à penser qu'en intervenant je tente de leur vendre le dit mag.
Le rapport avec le schmilblick ?
Seb.K. a écrit :Simplement (...), il est des raisons d'histoire personnelle, comme d'attachement à un projet [...] soit dit en passant, cette fidélité-là, puisque le grand mot est lancé, repose aussi au premier chef sur la connaissance de ce que cette revue pourrait être, et n'est pas.
Alors pourquoi ne pas faire ton propre mag ?
Devoir constater un tel degré d'incapacité à lire, et à entendre ce que l'on lit, devient profondément lassant. Comme trop de fois dans ce dialogue avec sourd, il n'est pas d'autre alternative que de re-citer des propos tenus de manière immédiatement antérieure :
Simplement (...), il est des raisons d'histoire personnelle, comme d'attachement à un projet [...] soit dit en passant, cette fidélité-là, puisque le grand mot est lancé, repose aussi au premier chef sur la connaissance de ce que cette revue pourrait être, et n'est pas.
Est-ce plus clair ainsi ? On ne peut que le souhaiter. Et/ou jeter l'éponge devant tant d'épaisseur prétendant obstinément à une entreprise qui la dépasse...
Seb.K. a écrit :Pourquoi ne pas publier des articles qui répondent à tes critères d'exigences sur des sites qui en ont l'ambition ? Ce serait là un excellent moyen de juger de la pertinence d'un tel projet et de voir l'impact de celui-ci sur le public. Excellent moyen également de mettre à profit toutes ses exigences personnelles sans avoir aucune contrainte en retour. La solution idéale, donc !
Merci bien de cette suggestion. C'est un peu la découverte de l'eau froide sur le fond (traduisons : une idée assez évidente à trouver), doublée d'une foule de malentendus sur la forme...
Outre le point de réponse immédiatement précédent, qui tentait de vous signifier une forme d'attachement et de fidélité à une histoire en partie partagée, quelles qu'en soient les turpitudes actuelles, puisque nous en sommes là, autant clarifier ces "quelques malentendus de plus ou de moins" :
- Une telle activité ne serait pas un "moyen de juger de la pertinence d'un tel projet" : vous vous méprenez sur le sens du mot "pertinence".
- Une telle activité ne serait pas non plus un "excellent moyen de mettre à profit toutes ses exigences personnelles sans avoir aucune contrainte en retour" : vous vous méprenez sur le sens de l'expression "mettre à profit", comme dans l'idée qu'un tel exercice n'induirait aucune contrainte en retour ; les choses sont hélas plus complexes, et bien plus subtiles à construire. En somme, il serait illusoire de voir une "solution idéale", là où il n'y a qu'une "solution éventuelle", avec ses avantages et ses inconvénients.
Mais en somme, ces indications résument à elles aussi un écart, dramatique d'évidence, entre deux étages, deux discours, deux niveaux de conscience d'un métier par trop éloignés l'un de l'autre.
Revenez donc débattre d'intégrité et d'exigence critiques et éditoriales quand vous aurez quelque chose de consistant à dire sur le sujet.