tiens d'ailleurs en parlant de 3D, tu auras ton compte dans children of men. Puis des plans sequences qui defient toutes concurrences.
Chavais pas que petite princesse etait la version en prise de vue reel de princesse sarah, faut vraiment que je le vois.
J'ai entendu de tres bonnes choses egalement sur Sólo con tu pareja (Love in the Time of Hysteria), faut que je me le procure.
Et à propos des films ?
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TRANTKAT
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Récemment, j'ai vu quelques films français sans 3D dedans... malheureusement, y'avais pas non plus de bon scénar dedans:
Mensonges et trahisons et plus si affinités...
Avec Edouard Baer... qui fait son Edouard Baer habituel.
En tout cas au début, avec un petit ton cynique et gentiment surréaliste plaisant avant que le scénar ne prenne une tournure typiquement "French Comedy" par des situations lourdement appuyées et non crédibles, des comédiens qui surjouent (la palme au couple Cornillac/ Taglioni qui campent des personnages insupportables et bêtes jusqu'au dégoût... sans oublier les deux meilleurs potes d'Edouard qui sont de telles caricatures qu'il ne devrait pas être permi de les caractériser de cette façon en dehors d'une BD de Lauzier), de dialogues trop ramassés pour être subtils et qui justifient (comme souvent dans la production française) le propos puisque ce dernier n'est pas mis en scène... bref, ça s'enlise.
Jusqu'à ce que le personnage principal agisse tel que le prévoit le script, c-à-d comme un trouduc mais de façon totalement forcée et injustifiée pour nous amener à une fin dégoulinante de moralisme assez poisseux planqué derrière une résolution psychologique pour le moins attendue.
La seule chose potable de ce film est l'adorable Marie-Josée Croze.
Le Rôle de sa Vie
Si on m'avait dit que le film s'arrèterait là où était le noeud du thème... En même temps, à vrai dire je m'y attendais.
Les actrices (Viard et Jaoui) sont bien... mais ce script est tellement cousu de fil blanc... Comme d'habitude, on assiste à tous les passage imposés, sans décalage ni idée "nouvelle", de l'exposition des personnages antagonistes: la "Star" VS la "Nunuche", et ce, jusqu'au "message" de fin: "Finalement, les gens connus, bah c'est des gens normaux et pis bin les gens normaux, bah s'ils mettent un peu d'art dans leur vie, bah ça va mieux"... Et pis c'est tout.
Le thème de la soumission est abordé maladroitement pour ne pas placer le personnage de Viard dans autre chose que quelques situations inconfortables et donc à peine traité et celui de la "grosse tête" est lui aussi effleuré pour ne pas rendre le personnage de Jaoui antipathique... bref, un film tiède alors qu'on sent que le réalisateur et les scénaristes cherchaient le subtil.
Fauteuils d'Orchestre
Un "Film Chorale", donc. Mouiche... mais par les petits enfants à la Croix de Bois, alors.
C'est sous-tendu par le personnage de Cécile De France, qui minaude gentiment comme à son habitude et qui incarne "La Fraîcheuuuurhhh".
Rien que ça donne le ton à tout le reste, qui se veut une ôde au Positivisme et à la Liberté Individuelle. Disons qu'on le comprend, mais c'est tellement teinté d'Amélie Poulainisme que ça m'a agacé...
... parceque concrètement, le film part dans beaucoup de directions mais les Thompson Mère et Fils ont du mal à en faire un ensemble cohérent scénaristiquement parlant... ça cahote, ça lambine d'un coté sans que ce soit vraiment nécessaire, ça s'arrète d'un autre alors que ça aurait pu être développé... et puisque ça ne l'est pas, pourquoi l'introduire... Bref. C'est très bancal.
Comme d'habitude, tradition française oblige, les dialogues surexpliquent les émotions des personnages, puisque la mise en scène cinématographique, elle, a démissionné.
La thématique du grand pianiste qui ne veut plus du milieu ultra-bourgeois-guindé de la musique classique pour rendre la musique aux "gens" est bien en soi... mais c'est extrèmement maladroit dans la démonstration, malgré l'apparente sincérité de Dupontel.
Seul tronçon que je trouve réussi de bout en bout, celui de l'actrice cantonnée à une série télé qu'elle méprise et veut s'exprimer dans son art... Valérie Lemercier en fait des caisses mais avec brio (et Sydney Pollack).
Je vous trouve très beau
... n'est pas aussi "à fuir" que Mensonges et trahisons mais c'est quand-même un naufrage... Je m'attendais à du "cinéma-théatre" puisque ce film est de Isabelle Mergault (que j'aime bien, mais bon.), et bien je vous le dis en un mot comme en cent: BINGO !
Les dialogues ne sont pas mauvais en soi... mais ça passe une fois sur deux à cause d'une mise-en-scène d'une platitude totale... et aussi parcequ'ils ne sont pas toujours "justes"... voire carrément à coté de la plaque (Spéchole Kassdédi à la scène de la cabine téléphonique).
Sinon, l'idée du script n'est pas mauvaise, mais après un début et avant la fin, il aurait fallu un milieu au script, chose qui a visiblement échappé à tous les gens qui y ont participé.
Gros problème aussi au niveau du ton: Mergault hésite sans-cesse entre "Strip-Tease" et le conte de fées... la mayonnaise ne prend malheureusement pas (elle devait avoir ses rêgles (<- One Tyler Point, YAY!)) car Michel Blanc, en agriculteur taciturne et sans amour à donner, même s'il fait très bien son travail d'acteur campe un personnage qui n'est au final pas définissable, pas crédible et celui de Elena (interprété par la très charmante Medeea Marinescu), la jeune Roumaine qui veut une nouvelle vie est exposé de façon trop simpliste pour que l'intrigue soit riche, alors qu'il y avait de quoi faire... au milieu du film, justement.
Mais on reste sur une bluette basique après avoir créé cette situation que ne sera pas abordée frontalement, au final et ne reste qu'un prétexte comme un autre.
... Le cinéma français me désole. On dirait que tout est produit par France Télévision pour entrer dans leur grille bien proprette entre un épisode de L'Instit' et le Téléthon ... Tu parles d'une exception culturelle.
Sinon, j'ai aussi vu un truc bien, c'était un film A-mé-ri-cain... (ça me fait vraiment chier d'en arriver à ne trouver mon bonheur qu'outre-atlantique...) il s'agit de "Weather Man".
Que dire... c'est bien écrit. C'est bien branlé sous tous ses aspects "techniques" sans être démonstatif ou tape-à-l'oeil. Du travail honnète, en somme. J'en demande pas plus (mais pas moins non plus)... Du Cinéma.
Et de quoi qu'ça cause-t'y don' ?
Pour résumer, je dirais que Nicholas Cage se rachète d'avoir participé à (et donc intrinsèquement cautionné) l'ABOMINABLE "Family Man" dont "Weather Man" est la parfaite antithèse.
Et au passage, je conseille aussi "Spartan" avec Val Kilmer.
"Robert Scott (Val Kilmer), un agent des services secrets américains, et son protégé Curtis (Derek Luke), sont chargés de sauver la fille du haut politicien des Etats-Unis et de déjouer un complot visant la Maison Blanche."
"Keuwâh ?!! mais ça va pas la tête ?!!" me direz-vous... Bah, oui, moi aussi j'aurais dit ça... mais sous des allures de thriller ultra-convenu, c'est une bonne surprise. (Pas si surprenant que ça puisque c'est de David Mamet, mais quand-même.)
Mensonges et trahisons et plus si affinités...
Avec Edouard Baer... qui fait son Edouard Baer habituel.
En tout cas au début, avec un petit ton cynique et gentiment surréaliste plaisant avant que le scénar ne prenne une tournure typiquement "French Comedy" par des situations lourdement appuyées et non crédibles, des comédiens qui surjouent (la palme au couple Cornillac/ Taglioni qui campent des personnages insupportables et bêtes jusqu'au dégoût... sans oublier les deux meilleurs potes d'Edouard qui sont de telles caricatures qu'il ne devrait pas être permi de les caractériser de cette façon en dehors d'une BD de Lauzier), de dialogues trop ramassés pour être subtils et qui justifient (comme souvent dans la production française) le propos puisque ce dernier n'est pas mis en scène... bref, ça s'enlise.
Jusqu'à ce que le personnage principal agisse tel que le prévoit le script, c-à-d comme un trouduc mais de façon totalement forcée et injustifiée pour nous amener à une fin dégoulinante de moralisme assez poisseux planqué derrière une résolution psychologique pour le moins attendue.
La seule chose potable de ce film est l'adorable Marie-Josée Croze.
Le Rôle de sa Vie
Si on m'avait dit que le film s'arrèterait là où était le noeud du thème... En même temps, à vrai dire je m'y attendais.
Les actrices (Viard et Jaoui) sont bien... mais ce script est tellement cousu de fil blanc... Comme d'habitude, on assiste à tous les passage imposés, sans décalage ni idée "nouvelle", de l'exposition des personnages antagonistes: la "Star" VS la "Nunuche", et ce, jusqu'au "message" de fin: "Finalement, les gens connus, bah c'est des gens normaux et pis bin les gens normaux, bah s'ils mettent un peu d'art dans leur vie, bah ça va mieux"... Et pis c'est tout.
Le thème de la soumission est abordé maladroitement pour ne pas placer le personnage de Viard dans autre chose que quelques situations inconfortables et donc à peine traité et celui de la "grosse tête" est lui aussi effleuré pour ne pas rendre le personnage de Jaoui antipathique... bref, un film tiède alors qu'on sent que le réalisateur et les scénaristes cherchaient le subtil.
Fauteuils d'Orchestre
Un "Film Chorale", donc. Mouiche... mais par les petits enfants à la Croix de Bois, alors.
C'est sous-tendu par le personnage de Cécile De France, qui minaude gentiment comme à son habitude et qui incarne "La Fraîcheuuuurhhh".
Rien que ça donne le ton à tout le reste, qui se veut une ôde au Positivisme et à la Liberté Individuelle. Disons qu'on le comprend, mais c'est tellement teinté d'Amélie Poulainisme que ça m'a agacé...
... parceque concrètement, le film part dans beaucoup de directions mais les Thompson Mère et Fils ont du mal à en faire un ensemble cohérent scénaristiquement parlant... ça cahote, ça lambine d'un coté sans que ce soit vraiment nécessaire, ça s'arrète d'un autre alors que ça aurait pu être développé... et puisque ça ne l'est pas, pourquoi l'introduire... Bref. C'est très bancal.
Comme d'habitude, tradition française oblige, les dialogues surexpliquent les émotions des personnages, puisque la mise en scène cinématographique, elle, a démissionné.
La thématique du grand pianiste qui ne veut plus du milieu ultra-bourgeois-guindé de la musique classique pour rendre la musique aux "gens" est bien en soi... mais c'est extrèmement maladroit dans la démonstration, malgré l'apparente sincérité de Dupontel.
Seul tronçon que je trouve réussi de bout en bout, celui de l'actrice cantonnée à une série télé qu'elle méprise et veut s'exprimer dans son art... Valérie Lemercier en fait des caisses mais avec brio (et Sydney Pollack).
Je vous trouve très beau
... n'est pas aussi "à fuir" que Mensonges et trahisons mais c'est quand-même un naufrage... Je m'attendais à du "cinéma-théatre" puisque ce film est de Isabelle Mergault (que j'aime bien, mais bon.), et bien je vous le dis en un mot comme en cent: BINGO !
Les dialogues ne sont pas mauvais en soi... mais ça passe une fois sur deux à cause d'une mise-en-scène d'une platitude totale... et aussi parcequ'ils ne sont pas toujours "justes"... voire carrément à coté de la plaque (Spéchole Kassdédi à la scène de la cabine téléphonique).
Sinon, l'idée du script n'est pas mauvaise, mais après un début et avant la fin, il aurait fallu un milieu au script, chose qui a visiblement échappé à tous les gens qui y ont participé.
Gros problème aussi au niveau du ton: Mergault hésite sans-cesse entre "Strip-Tease" et le conte de fées... la mayonnaise ne prend malheureusement pas (elle devait avoir ses rêgles (<- One Tyler Point, YAY!)) car Michel Blanc, en agriculteur taciturne et sans amour à donner, même s'il fait très bien son travail d'acteur campe un personnage qui n'est au final pas définissable, pas crédible et celui de Elena (interprété par la très charmante Medeea Marinescu), la jeune Roumaine qui veut une nouvelle vie est exposé de façon trop simpliste pour que l'intrigue soit riche, alors qu'il y avait de quoi faire... au milieu du film, justement.
Mais on reste sur une bluette basique après avoir créé cette situation que ne sera pas abordée frontalement, au final et ne reste qu'un prétexte comme un autre.
... Le cinéma français me désole. On dirait que tout est produit par France Télévision pour entrer dans leur grille bien proprette entre un épisode de L'Instit' et le Téléthon ... Tu parles d'une exception culturelle.
Sinon, j'ai aussi vu un truc bien, c'était un film A-mé-ri-cain... (ça me fait vraiment chier d'en arriver à ne trouver mon bonheur qu'outre-atlantique...) il s'agit de "Weather Man".
Que dire... c'est bien écrit. C'est bien branlé sous tous ses aspects "techniques" sans être démonstatif ou tape-à-l'oeil. Du travail honnète, en somme. J'en demande pas plus (mais pas moins non plus)... Du Cinéma.
Et de quoi qu'ça cause-t'y don' ?
Pour résumer, je dirais que Nicholas Cage se rachète d'avoir participé à (et donc intrinsèquement cautionné) l'ABOMINABLE "Family Man" dont "Weather Man" est la parfaite antithèse.
Et au passage, je conseille aussi "Spartan" avec Val Kilmer.
"Robert Scott (Val Kilmer), un agent des services secrets américains, et son protégé Curtis (Derek Luke), sont chargés de sauver la fille du haut politicien des Etats-Unis et de déjouer un complot visant la Maison Blanche."
"Keuwâh ?!! mais ça va pas la tête ?!!" me direz-vous... Bah, oui, moi aussi j'aurais dit ça... mais sous des allures de thriller ultra-convenu, c'est une bonne surprise. (Pas si surprenant que ça puisque c'est de David Mamet, mais quand-même.)
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jesus_kryst
- Otaking !
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clair que la scéne de la cabine telephonique etait hyper mal joué on y croit pas une seconde ,et pi effectivement c'est assez cul cul la praline mais j'ai quand même pas mal aimé malgrés un manque de parti pris ,ya une certaines tendresses ,l'actrice est vraiment agréable ,c'est pas du tout une bombe mais je sais pas elle as un truc nature .
en film francais le "quand la mère monte "est plutot plaisant .
Quelqu'un as vu le film des freres quays ,un avis ?
en film francais le "quand la mère monte "est plutot plaisant .
Quelqu'un as vu le film des freres quays ,un avis ?
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Chron
- Synchrone or not synchrone ?
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- Enregistré le : jeu. 06 juin 2002, 12:37
- Localisation : Paris
J'ai enfin vu Seven Swords de Tsui Hark. Anton m'avait prêté le DVD HK ou je sais pas quel origine pendant un bon moment. Apparemment, le film a été monté à l'arrache et ça se sent... Le film fait 2 h 30 mais on sent qu'il en manque des bouts... Et puis Tsui Hark, raconter une histoire, faire dans les sentiments, c'est pas son truc... Avec un méchant très méchant, un traitre professionnel que quand on le croise dans la rue on a envie de dire "Dites, vous seriez pas traitre vous dans la vie?", 7 gentils très gentils mais niveau background y avait pas le temps pour les développer... (Par contre pour montrer les gentils qui libèrent les chevaux pour tromper l'ennemi et tirer la larmichette de l'oeil de ces demoiselles, là y en a du temps...) Puis les sous-titres HK en anglais limite, et trop long pour être lu à temps souvent (ou quand entre parenthèses y a marqué (Korean) pour indiquer en quelle langue parle les persos 
), ben ça aide pas à rentrer dans l'histoire, ça reste la béquille basique tout juste suffisante pour comprendre l'essentiel.
Par contre, il faut bien avouer, dès que ça bouge et qu'il y a une once de métal qui apparaît à l'écran, ben c'est trop la classe et on en redemande. Les scènes de bastons sont sublimes, on aurait aimé en savoir plus sur la capacité de chaque épée en bon fan quoi...
Sinon, joli couleurs tout ça tout ça...
@+
Chron
), ben ça aide pas à rentrer dans l'histoire, ça reste la béquille basique tout juste suffisante pour comprendre l'essentiel. Par contre, il faut bien avouer, dès que ça bouge et qu'il y a une once de métal qui apparaît à l'écran, ben c'est trop la classe et on en redemande. Les scènes de bastons sont sublimes, on aurait aimé en savoir plus sur la capacité de chaque épée en bon fan quoi...
Sinon, joli couleurs tout ça tout ça...
@+
Chron
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TRANTKAT
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ACME> 4 films à 1 euro/pièce en location... ça va. Ce qui m'emmerde c'est d'y avoir cru quand-même à chaque fois... et déçu -sinon énervé- à chaque fois... et surtout d'avoir perdu mon temps, parceque ça fait quand même 6 heures d'ennui.
Et j'ai oublié d'en "chroniquer" un cinquième -c'est ce qu'on appelle un acte manqué significatif, non ?- : "Du Jour au Lendemain" avec Benoît Poelvoorde... qui est un demi-film avec une recette qui aurait pu fonctionner si le réa/scénariste ne s'emmelait pas les pinceaux à partir du moment où il veut trouver un sens à donner à son histoire... Bref.
... 1h 30 d'ennui supplémentaire.
Et j'ai oublié d'en "chroniquer" un cinquième -c'est ce qu'on appelle un acte manqué significatif, non ?- : "Du Jour au Lendemain" avec Benoît Poelvoorde... qui est un demi-film avec une recette qui aurait pu fonctionner si le réa/scénariste ne s'emmelait pas les pinceaux à partir du moment où il veut trouver un sens à donner à son histoire... Bref.
... 1h 30 d'ennui supplémentaire.
, mais c'est ca qu'est drole
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Mifuned
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Moi je viens de revoir "SWEET MOVIE" avec Roland Topor ....et ça fait toujours aussi peur!!! 
euh....;Me demandez pas de raconter l'histoire....
et puis j'ai vu aussi sur ARTE dans l'émission Court-Circuit; ceci:
http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/Co ... 16268.html
euh....;Me demandez pas de raconter l'histoire....
et puis j'ai vu aussi sur ARTE dans l'émission Court-Circuit; ceci:
http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/Co ... 16268.html
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casse_couille
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Tsuka
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A noter qu'on en parle ici :Mifuned a écrit :et puis j'ai vu aussi sur ARTE dans l'émission Court-Circuit; ceci:
http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/Co ... 16268.html
viewtopic.php?t=2520&start=28
