Allons enfants...
ah ouais, tauto... merci pour la correction... bon bref, c'est le truc qui fait qu'on est plus crédible quand on prend les gens pour des billes sans faire expres. ^^/\
Modifié en dernier par yak le jeu. 03 mai 2007, 22:32, modifié 1 fois.
GOD FINGER!!!!
- c.lambin
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Oui j'ai eu ça en primaire. C'est vraiment bien.yak a écrit :17 eleves par classe n'est pas une idiotie, je peux dire que c'est effectivement dans des classes avec ces effectifs là que j'ai passé une partie de ma scolarité. Mais forcément, quand on est habitué au pain sec depuis des années, on finit par oublier le reste...
Alors là c'est que mon avis, et même si je ne suis absolument pas d'accord avec la majorité du programme de N.S., ça ça ne me dérange pas du tout. J'ai fait ça jusqu'en 3e et je trouve que c'est une politesse et une marque de respect élémentaire.yak a écrit :Et que les éleves se levent pour saluer le prof, vous trouvez pas ça idiot ? surtout au College, ou y'a déja des heures qui durent 45 minutes a cause des interclasses ? Les momes vont finir par avoir des cuisses de lance amstrong à faire flexion extension tout le temps.
Aha ! Encore des générations à venir de gamins dégoûté du sport comme je le suis.yak a écrit :Quant à la promotion politique du sport pour la jeunesse, moi je connais un pape qui pourra vous en reparler avec émotions.
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« Donc en fait Book-off, c'est comme Mandarake mais pour les gens normaux ? » (Anonyme)
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- jem
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Au collège on le faisait quand quelqu'un entrait dans la classe (prefet de discipline, directeur...).yak a écrit :Et que les éleves se levent pour saluer le prof, vous trouvez pas ça idiot ? surtout au College, ou y'a déja des heures qui durent 45 minutes a cause des interclasses ? Les momes vont finir par avoir des cuisses de lance amstrong à faire flexion extension tout le temps.
Sinon avant le cours on se mettait en rang devant la salle et c'est le prof qui nous faisait entrer, donc on n'avait pas à se lever quand il arrivait.
Par contre à la cantine on devait rester debout jusqu'au signal (sifflet du pion) et on ne pouvait se lever aussi qu'au signal... non non ce n'était pas le pensionnat de chavagnes...
Ca me semble d'autant plus enorme que plus de la moitié des candidats avaient dans leur programme des changements constitutionnels majeurs. Donc les 85% de participation peuvent aussi s'interpreter comme un referendum POUR la VIème république.yak a écrit :Et entendre dire que plus de 85% de participation signifie que la 5eme république fonctionne parfaitement bien, ça n'est pas une totologie énorme !?
Au passage, je voudrais souligner la connerie de ceux qui demandaient aux candidats "pour ou contre la VIème république ?" sans préciser ce qu'il y avait derrière. Il ne faut pourtant pas être grand devin pour savoir que le projet de VIème de Buffet serait assez différent de celui de Le Pen...
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Funny how it feels just like being alone...
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La classe à 17 j'ai eu ca au lycée, 1er/terminale, un bac à option techno, et sur Paris (en fait, on était même 16, dont un polonais qui était arrivé en France récemment et n'était pas super à l'aise à l'oral au début). Un bahut un peut vétuste, 1 surveillant pour 700 élèves en tout et pour tout, entrée libre.
Le lycée deux stations de métro plus loin, même spécialité, ils étaient entre 35 et 40.
Ma mère connaissait deux personnes qui avaient mis leur mômes la bas, soit-disant parceque les résultats de l'établissement étaient meilleurs.
notre promotion (98 ) à récolté 100% de réussite au bac.
je gage qu'ils on fait le plein les années suivantes.
se lever pour saluer le prof, c'est pas si désuet que ca, j'ai connu ca au collège. Une fois le cours commencé c'était le bordel comme partout ailleurs de toute façon, pour peu que le prof soit un mou pas autoritaire. j'ai fait des parties de magic et de tarot en cours de musique, je confesse.
enfin, là, c'est si je considère ca d'un point de vue raisonnable ou on sanctionne le mec qu'a pas tenu ses objectifs. Mais CA c'est une conception de la politique désuette.
Le lycée deux stations de métro plus loin, même spécialité, ils étaient entre 35 et 40.
Ma mère connaissait deux personnes qui avaient mis leur mômes la bas, soit-disant parceque les résultats de l'établissement étaient meilleurs.
notre promotion (98 ) à récolté 100% de réussite au bac.
je gage qu'ils on fait le plein les années suivantes.
se lever pour saluer le prof, c'est pas si désuet que ca, j'ai connu ca au collège. Une fois le cours commencé c'était le bordel comme partout ailleurs de toute façon, pour peu que le prof soit un mou pas autoritaire. j'ai fait des parties de magic et de tarot en cours de musique, je confesse.
Ca ca m'a fait marrer aussi. Ca veux juste dire que le type qui va être élu va se retrouver avec encore plus d'électeurs mécontents s'il n'assure pas, et comme le taux de participation l'indique, ils risquent d'être historiquement nombreux.Et entendre dire que plus de 85% de participation signifie que la 5eme république fonctionne parfaitement bien, ça n'est pas une totologie énorme !?
enfin, là, c'est si je considère ca d'un point de vue raisonnable ou on sanctionne le mec qu'a pas tenu ses objectifs. Mais CA c'est une conception de la politique désuette.
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ce n'est pas une idiotie, c'est simplement infaisable.17 eleves par classe n'est pas une idiotie, je peux dire que c'est effectivement dans des classes avec ces effectifs là que j'ai passé une partie de ma scolarité.
Déjà que des classes de 35 élèves ont pas de salle, alors imagine, le nombre de salle doivent doubler.
C'est surtout dans les grandes villes ce problèmes.
J'habite à Marseille et au Lycée on été une 30n d'élève en seconde, les places étaient d'ailleurs limités à 32 chaises (oui je me faisais chier, j'avais compté).
je veux bien le croire dans une petite ville mais dans une ville de plus de 200 000 habitants (chiffre dis au pif, j'avoue) c'est de l'utopie.
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Des classes à 17, c'est beau sur le papier, mais concrètement "soyons réaliste, ne demandons pas l'impossible". Et ce quelle que soit la zone d'enseignement.Ouache a écrit :La classe à 17 j'ai eu ca au lycée, 1er/terminale, un bac à option techno, et sur Paris (en fait, on était même 16, dont un polonais qui était arrivé en France récemment et n'était pas super à l'aise à l'oral au début). Un bahut un peut vétuste, 1 surveillant pour 700 élèves en tout et pour tout, entrée libre.
Le lycée deux stations de métro plus loin, même spécialité, ils étaient entre 35 et 40.
Ma mère connaissait deux personnes qui avaient mis leur mômes la bas, soit-disant parceque les résultats de l'établissement étaient meilleurs.
notre promotion (98 ) à récolté 100% de réussite au bac.
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Bah je le faisais aussi au collège, et je regrette en aucune manière.se lever pour saluer le prof, c'est pas si désuet que ca, j'ai connu ca au collège. Une fois le cours commencé c'était le bordel comme partout ailleurs de toute façon, pour peu que le prof soit un mou pas autoritaire. j'ai fait des parties de magic et de tarot en cours de musique, je confesse.
On avait une prof d'anglais old school, genre Mc Gonagall ni plus ni moins, femme du sous directeur, et ben elle nous faisais entrer en classe, on s'installait à notre table, on virait les blousons, fallait pas trainer d'ailleurs, et ensuite on attendais qu'elle déclame son :"good morning children, sit down" avant de pouvoir s'assoir justement.
Sauf que elle ne le disait pas toujours tout de suite, ou à un rythme différent, si c'était trop le bordel par exemple, elle attendais que l'on s'en rende compte nous même avant de prendre la parole (à part quand ça débordait trop où là elle haussait juste le ton, mais ct plutôt imposant).
Et au bout d'un moment, on a commencé à se "policer" nous même, presque spontanément.
Faut voir aussi que si tu lui faisais des conneries, elle venais te souffler dans les bronches, quelque chose de sévère.
En revanche c'était une excellente prof, autoritaire mais juste.
Bon j'habitais pas en zone chaude non plus, mais bon.
Un bon prof, pour moi, s'il arrive à capter l'attention de ses élèves, bah l'a fait la moitié du chemin, lui reste ensuite à garder cette attention le plus longtemps possible.
J'en ai eu quelques uns comme ça.
Un prof autoritaire et con, ça sert à rien. Les mous du slip non plus d'ailleurs.
à mon sens, et ça n'engage que moi, être prof, ça doit être une passion, pour pas dire presque un sacerdos.
(Comme pour les politique. Les politique. Si ils étaient plus fliqués, comme au Canada par exemple depuis qques années (niveau financier avec leur dépenses accessibles aux vu et au su de tous), z'aurraient un peu plus la pression tous ces cons.)
Fau aussi dire qu'à l'heure actuelle la formation de prof te prépare en aucune manière à enseigner à un niveau pratique, concret... On ne te prépare pas à la confrontation avec les élèves, t'as des micro-formations en mousses et c'est marre.
Ptin mon rêve.Ca ca m'a fait marrer aussi. Ca veux juste dire que le type qui va être élu va se retrouver avec encore plus d'électeurs mécontents s'il n'assure pas, et comme le taux de participation l'indique, ils risquent d'être historiquement nombreux.
enfin, là, c'est si je considère ca d'un point de vue raisonnable ou on sanctionne le mec qu'a pas tenu ses objectifs. Mais CA c'est une conception de la politique désuette.
Pour chaque promesses non tenues, ou pour chaque malversation ou action non conforme à la charte des droits de l'homme j'en passe et des meilleures, le politique moyen (sarko en tête, bah oui, plus t'as du pouvoir plus les risques de punitions sont élévés) se verrait subir des sévices corporels et autres humiliations publiques, diffusées au 20h00 (tf1 serait bien content).
Qu'on lui fouette le gland à chaque conneries qu'il dit, j'lui donne pas 2 semaines avant d'se barrer la mini-quequette qu'il lui resterai entre les jambes...

L'idée de se lever à l'entrée du prof, c'est pas tant ça qui est risible, que le fait de balancer ça dans un débat présidentiel, comme si ça avait une quelquonque importance.
A ce rythme, bientot, des candidats proposeront qu'a chaque rentrée, les eleves viennent avec une pomme pour l'offrir au prof
A ce rythme, bientot, des candidats proposeront qu'a chaque rentrée, les eleves viennent avec une pomme pour l'offrir au prof
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yak a écrit :L'idée de se lever à l'entrée du prof, c'est pas tant ça qui est risible, que le fait de balancer ça dans un débat présidentiel, comme si ça avait une quelquonque importance.
A ce rythme, bientot, des candidats proposeront qu'a chaque rentrée, les eleves viennent avec une pomme pour l'offrir au prof

là dessus on est d'accord :]
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Et le fait que les nanas devraient aller devant le tribunal pour avoir une place en creche est aussi bien risible... donc en creche, il y aura les gamins de ceux qui ont les moyens d'aller en justice. C'est beau la france. On augmente pas les places on vous dit d'aller en justice. Pffft. Et j'pourrai en dire sur le systeme pourri pour la creche en france purrée. Le systeme "pour avoir une place faut un job, pour avoir un job, faut une place en creche, sinon t'es niquée t'as qu'a etre femme au foyer jusqu'a ce que ton enfant rentre en maternelle..."
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Et que les éleves se levent pour saluer le prof, vous trouvez pas ça idiot ?
>>Roland Cayrol, dans C dans l'air, tout à l'heure a écrit : D'autant que ça n'existait même pas à mon époque.
Programme de Royal. Les profs les plus expérimentés en ZEP, contre rémunaration renforcée. Je suis pas trop d'accord mais bon...Le problème majeur des ZEP c'est que la plupart des profs expérimentés ne veulent pas y aller. Il y a un moment où il va bien falloir réexpliquer la notion de "service public"...
TO THE WINDOW !
TO THE WALL !
TO THE SWEAT DROP FROM MY BALLS !
TO THE WALL !
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Non seulement les moyen (parceque c'est comme le droit au logement opposable, les sdf qui peuvent se payer un avocat, ca cours pas les rues..) mais aussi le temps...koneko a écrit :Et le fait que les nanas devraient aller devant le tribunal pour avoir une place en creche est aussi bien risible... donc en creche, il y aura les gamins de ceux qui ont les moyens d'aller en justice. C'est beau la france. On augmente pas les places on vous dit d'aller en justice. Pffft. Et j'pourrai en dire sur le systeme pourri pour la creche en france purrée. Le systeme "pour avoir une place faut un job, pour avoir un job, faut une place en creche, sinon t'es niquée t'as qu'a etre femme au foyer jusqu'a ce que ton enfant rentre en maternelle..."
On postais un lien vers le blog de maitre eolas, un peut plus haut, je le quote, dans un de ses billets sur la loi opposable au logement, pour le fun:
et ca c'était en janvier 2007. un enfant que t'arrives pas a rentrer en crèche à 1an, 3ans plus tard, il est ou?la procédure d'indemnisation devant le tribunal administratif prend des années (dans 15 jours, un tribunal administratif va examiner une requête que j'ai déposée début 2004) pour des sommes misérables (la mort d'un enfant de 10 ans est indemnisée quelques milliers d'euros, alors le fait de ne pas avoir trouvé un logement, je vous laisse imaginer). Et surtout que la loi ne permet pas de créer des logements là où il n'y en a pas.
Gagné, en maternelle. Lancer une procédure judiciaire pour la gloire et qui ne servira même pas aux parents qui viendrons derrière toi, je sais pas ci ca va motiver beaucoup de monde...
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Moi je trouve ça assez triste pour ce qui est censé représenter la démocratie. C'était pas un débat. C'était la cours de récré...kres a écrit :comme 34 , c'est triste a dire mais tous les deux ils ont quand meme vachement moins la classe que nos politicards old-fashioned ...
"ahhh tu sort des tes gonds la hannnn", "nan je sort pas de mes gonds d'abord c'est toi qui est", ca un petit coté pathetique.
Ségolène était hargneuse dèsle départ, ignorant les question des journalistes, comme un petit roquet en chaleur, elle partait dans tous le sens... Incompréhensible.... j'ai retenue peu de choses de ses interventions à part ses "menteur!! menteur!!!" qui empêchait son interlocuteur de finir ses phrases , le ridicule de "il faut raccompagner toutes les femmes policier chez elles pour pas qu'elle se fasse violer..." et son envolée lyrique sur les handicapés pas franchement naturelle (ses coachs ont du lui dire qu'il fallait qu'elle se montre ferme et qu'elle élève la voix sur un sujet "pathos"....)
Au contraire de vous tous... je ne trouve pas qu'elle se soit montrée naturelle, je ne trouve pas qu'elle ait gagné en confiance, et je ne pense pas que geuler le plus fort soit fait pour convaincre : "la capacité de révolte" ne sert à rien si elle n'est pas transformée en énergie constructive.... Elle veux régler tous les problème par "une discution avec les partenaires sociaux" soit une manière jolie et esbrouffe de ne rien dire.
En gros c'était du vent... mais du vent bruyant.
Nicolas étais mou. Je pense que ce qu'il l'a freiné c'est de s'être contraint parcequ'il avait une femme en face. A la fin elle gesticulait si fort et piaillait tellement qu'il semblait aussi soulé que le téléspéctateurs (moi elle m'a sacrément usée ) et ne parlait plus qu'au journaliste. Il devait lui aussi avoir consigne de se montrer calme, souple et diplomate pour casser son image d'"Exité". Personnellement je l'ai trouvé plus clair et plus précis. Mais ils ont passé 3 plombe sur les question économiques avec beaucoup de chiffres, pour le téléspéctateur lambda, ça n'a fait qu'embrouiller les choses, il aurait fallu tous les noter et vérifier leur véracité à tous deux.
Personnelement je m'attendais à un débat noble, avec respect et écoute de chacun des protagonistes, clarté, précision, afin de vraiment pouvoir les départager.
On a quoi au final? un match de catch dans la boue! Un débat c'est un échange d'idée pas de l'empoignade personnelle!
C'était moche. c'était décevant..... si c'est ça la démocratie à quoi bon être citoyen.......
- berseker
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- Enregistré le : jeu. 27 nov. 2003, 11:05
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Pour Nicolas mou et Ségolène aggressive, ça faisait trois jours que tous les analystes politiques avaient annoncé que ça serait comme ça, même si ça fait toujours un choc quand on le voit au final.
Pour les discussions avec les partenaires sociaux, j'ai déjà donné mon avis sur la question.
Pour les discussions avec les partenaires sociaux, j'ai déjà donné mon avis sur la question.
Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
-Et il est où, exactement, ce Japon?
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-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
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