
Et à propos des films ?
- jesus_kryst
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je connaissais pas du tout cette vanessa ,elle a vraiment une tronche pas banale ,ca change carrement des gueules hollywoodienne .
elle a rien d'un top mais elle dégage un truc ,un peu a la michelle rodriguez.
sa sequence de lapdance est vraiment chouette avec le coté amateur touchant.d'ailleurs les nanas sont achement belles ,la black qu'on voit 2 secondes au bar ,les 2 blacks de la fin la petite cheerleader ,même Zoe la chatte a un certains charisme .
j'adores ce que leurs sort le Redneck quand il les voit debarquer ,je sais plus la replique exact en anglais mais ca m'as fait super marrer.
la petite intervention de Q.T etait carrement dispensable ,le mec qui s'invite pépére dans son film pour jouer comme un cul....
elle a rien d'un top mais elle dégage un truc ,un peu a la michelle rodriguez.
sa sequence de lapdance est vraiment chouette avec le coté amateur touchant.d'ailleurs les nanas sont achement belles ,la black qu'on voit 2 secondes au bar ,les 2 blacks de la fin la petite cheerleader ,même Zoe la chatte a un certains charisme .
j'adores ce que leurs sort le Redneck quand il les voit debarquer ,je sais plus la replique exact en anglais mais ca m'as fait super marrer.
la petite intervention de Q.T etait carrement dispensable ,le mec qui s'invite pépére dans son film pour jouer comme un cul....
Tu aimes les dragons ?
http://www.younggu-art.com/dragonwars/

Dans le genre nanar surfriqué pété de 3D de la marque Kissvoua, ça peut le faire...
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Dans le genre nanar surfriqué pété de 3D de la marque Kissvoua, ça peut le faire...
Mon site : www.karafactory.com
- pasteqman
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- Localisation : In the closet
88 minutes.

Un psychiatre spécialiste en tueurs en série se prononce pour la condamnation de John Foster, pervers, cruel, tout ça. Il est condamné, il fait appel en plaidant son innocence. On contacte Al Pacino, en lui indiquant qu'il va mourir dans 88 minutes. On apprend à la fin que c'est la durée qu'a mis l'assassin de sa petite soeur à la découper en morceaux (putain de scénar, hein ?).
Enfin, bref, j'ai trouvé deux bonnes idées de mise en scène pour illustrer la paranoïa du monsieur, au début. J'ai trouvé une bonne scène avec des dialogues dans le film. C'est un peu léger.
Trop de pseudo 24 h chrono - Lost caméra branlouille à l'épaule.
Trop de Al Pacino qui marche.
Trop de raisonnements merdiques, ampoulés, oiseux, qui se terminent par un rendez-vous merdique. Par conséquent, le challenge du début du film ne sert à rien. Pseudo partie d'échecs.
Trop de Al Pacino (Quel coup de vieux depuis la recrue ! Un an après Insomnia, pourtant) übersexuel qui couche avec des canons.
Trop de répliques pourries
Trop de gros Al Pacino.
Trop d'intro nulle.
Trop de Al Pacino avec son jeu charismatique (comprenez "pas de jeu"), trop présent depuis HEAT.
Trop de pub pour les armes à feu, pour MSNBC et la sécurité (surtout quand elle rapporte).
Trop de Al Pacino qui téléphone.
Trop long.
Trop de Al Pacino chevelu.
Trop de réalisateur nul.
Trop de Al Pacino.
Trop nul.
Voilà. Que dire, sinon ? Qu'on espère que notre bon vieux Al se fera un petit régime (on dirait Sarkozy) et se remettra au sport, parce qu'il a du mal à courir, le bougre, mais on l'aime bien quand même...
Ah oui, on espère que John Avnet va crever, aussi.

Un psychiatre spécialiste en tueurs en série se prononce pour la condamnation de John Foster, pervers, cruel, tout ça. Il est condamné, il fait appel en plaidant son innocence. On contacte Al Pacino, en lui indiquant qu'il va mourir dans 88 minutes. On apprend à la fin que c'est la durée qu'a mis l'assassin de sa petite soeur à la découper en morceaux (putain de scénar, hein ?).
Enfin, bref, j'ai trouvé deux bonnes idées de mise en scène pour illustrer la paranoïa du monsieur, au début. J'ai trouvé une bonne scène avec des dialogues dans le film. C'est un peu léger.
Trop de pseudo 24 h chrono - Lost caméra branlouille à l'épaule.
Trop de Al Pacino qui marche.
Trop de raisonnements merdiques, ampoulés, oiseux, qui se terminent par un rendez-vous merdique. Par conséquent, le challenge du début du film ne sert à rien. Pseudo partie d'échecs.
Trop de Al Pacino (Quel coup de vieux depuis la recrue ! Un an après Insomnia, pourtant) übersexuel qui couche avec des canons.
Trop de répliques pourries
Trop de gros Al Pacino.
Trop d'intro nulle.
Trop de Al Pacino avec son jeu charismatique (comprenez "pas de jeu"), trop présent depuis HEAT.
Trop de pub pour les armes à feu, pour MSNBC et la sécurité (surtout quand elle rapporte).
Trop de Al Pacino qui téléphone.
Trop long.
Trop de Al Pacino chevelu.
Trop de réalisateur nul.
Trop de Al Pacino.
Trop nul.
Voilà. Que dire, sinon ? Qu'on espère que notre bon vieux Al se fera un petit régime (on dirait Sarkozy) et se remettra au sport, parce qu'il a du mal à courir, le bougre, mais on l'aime bien quand même...
Ah oui, on espère que John Avnet va crever, aussi.
TO THE WINDOW !
TO THE WALL !
TO THE SWEAT DROP FROM MY BALLS !
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- Chron
- Synchrone or not synchrone ?
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- Enregistré le : jeu. 06 juin 2002, 12:37
- Localisation : Paris
Anecdote marrante, la version chinoise de "Pirates des Caraibes 3" aurait été amputée d'une dizaine de minutes, toutes ayant trait au personnage de Chow Yun Fat qui n'apparaîtrait du coup plus qu'une dizaine de minutes dans le film. La raison de ces coupes sauvages serait que le personnage du capitaine de Singapour rappellerait trop l'imagerie négative du chinois véhiculée en tant que stéréotype par Hollywood.
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Chron
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- berseker
- mouton câlin
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- Enregistré le : jeu. 27 nov. 2003, 11:05
- Localisation : Paris mais presque
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Du coup, ils ont raison de le censurer en Chine, ce ne sont pas du tout les plus à même de ne pas faire l'amalgame chinois <=> méchant jaune avec de grands ongles.
Hervé Joncour posa sa cigarette sur le bord de la table avant de dire
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
-Et il est où, exactement, ce Japon?
Baldabiou leva sa canne de Jonc en l'air et la pointa par-delà les toits de Saint-Auguste.
-Par là, toujours tout droit.
Dit-il.
-Jusquà la fin du monde.
- Balak
- Famous me I'm fucked!
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- Enregistré le : mar. 12 nov. 2002, 0:11
- Localisation : je sais pas si techniquement on peut appeler ça du couscous quand même
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a vu Death Proof, c'était très bien, moins prétentieux que Kill Bill (le 1) et avec des belles scéne de dialogues ultra bien filmées (comme dans Kill Bill le 2, ou Reservoir Dogs).
Les effets à la con de pelloche qui saute sont bien lourdingues, ils se font heureusement plus rares dans la deuxième partie du film.
et puis c'est dur, tarantino nous fait tomber amoureux au moins 6 fois d'affilée pendant tout le film.
aaaah
rosario

mention speciale a zoe bell, incroyable cascadeuse.
Les effets à la con de pelloche qui saute sont bien lourdingues, ils se font heureusement plus rares dans la deuxième partie du film.
et puis c'est dur, tarantino nous fait tomber amoureux au moins 6 fois d'affilée pendant tout le film.
aaaah
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mention speciale a zoe bell, incroyable cascadeuse.
You're going to burn in a very special level of hell. A level they reserve for child molesters and people who talk at the theater.
— Shepherd Book
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- Little Lou
- Freakette
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- Enregistré le : mer. 03 nov. 2004, 11:17
- Localisation : United States of Whatever, man!
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Je sors tout juste de Zodiac, sympa, blablabla, Jake Gyllenhaal is love, Downey Jr et Ruffalo are la classe, mais effectivement, pour tout ceux qui se sont sentis frustrés et qui pensent que Fincher aurait pu aller plus loin, regardez de toute urgence MEMORIES OF MURDER du génialissime Bong Jun Ho que c'est le love aussi.Trantkat a écrit :Oué... il me semblait qu'effectivement c'était l'idée de raconter une histoire dans laquelle il n'y a pas d'arrestation du coupable, pas de confrontation meurtrière ni toute autre formule de résolution classique pour que "justice soit rendue" et le spectateur satisfait et rassuré après sa dose d'adrénaline...
... Mais.
Mais, je pense que le script n'est pas assez couillu pour vraiment retourner sa veste et changer radicalement de ton une fois que le dossier est entérré et qu'on se retrouve avec des personnages encore plus fallots et impuissants.
... Je trouve que du coup, la mise en scène reste sur du factuel, plutôt que de s'attacher à changer son fusil d'épaule pour vraiment basculer dans une film psychologique ou de moeurs... parler de la frustration face la banalité de "l'injustice"... creuser le perso de Gyllenhale, aller plus près des raisons qui le poussent à cette obsession pour l'affaire, la souffrance que ça engendre, les heurts avec sa femme, son boulot, etc... là, on ne fait qu'effleurer tout ça, de façon circonstancielle et très expéditive... (Hollywoodienne en diable, en fait !)
Ou comment révolutionner un genre à la force de ses ptites mimines de Coréen.
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