Ouai globalement même avis, je l'avais oublié d'ailleurs.
Casino Royal était bien mieu dans le genre.
Et à propos des films ?
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patrouchef
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A vu Max Payne en avant première.
Au début j'ai eu le sentiment que des efforts on été fait pour avoir quelque chose de fidèle au jeu, puis ça tire en longueur jusqu'au final baclé où on expédie des personnages important pour terminer sur un final fadasse.
Sinon au niveau des bons points j'ai bien aimé le rendu des hallucinations provoqués par la Valkyrie et le visuel pas mal foutu.
Et puis j'ai du mal avec la tête de l'acteur qui joue Payne avec ses airs de Matt Damon.
Au début j'ai eu le sentiment que des efforts on été fait pour avoir quelque chose de fidèle au jeu, puis ça tire en longueur jusqu'au final baclé où on expédie des personnages important pour terminer sur un final fadasse.
Sinon au niveau des bons points j'ai bien aimé le rendu des hallucinations provoqués par la Valkyrie et le visuel pas mal foutu.
Et puis j'ai du mal avec la tête de l'acteur qui joue Payne avec ses airs de Matt Damon.
"WUBBA LUBBA DUB DUB!!!"
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Stanislas Josef Corben
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Ou c'est Damon qui joue les wahlberg.Mechass a écrit :A vu Max Payne en avant première.
Au début j'ai eu le sentiment que des efforts on été fait pour avoir quelque chose de fidèle au jeu, puis ça tire en longueur jusqu'au final baclé où on expédie des personnages important pour terminer sur un final fadasse.
Sinon au niveau des bons points j'ai bien aimé le rendu des hallucinations provoqués par la Valkyrie et le visuel pas mal foutu.
Et puis j'ai du mal avec la tête de l'acteur qui joue Payne avec ses airs de Matt Damon.
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Stanislas Josef Corben
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patrouchef
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Vu Mesrine hier soir.
J'y suis allé à reculons, ne voyant pas trop l'intérêt de faire un film sur la vie d'un criminel pareil, la peur de voir le réalisateur enf aire un martyr me prenait un peu à la gorge.
mais en fait il n'en est rien.
c'est un film cru, sans concession, qui montre vraiment toutes les facettes de ce personnage en perte de repères et, au final, permet de mieux comprendre les raisons de son comportement, même si ce dernier, dont on dit qu'il fut le dernier bandit vivant selon un code d'honneur, paraît plus faire inspiration de l'instant que véritable code moral.
la réalisation est nette, sans trop de bavures ( même si certaines ellipses sont peu claires, mais ça reste mineur ), quelques clins d'oeils aux réalisations des années 70 permettent de faire glisser le spectateur dans cette époque, et les reconstitutions des quartiers et des véhicules sont assez hallucinantes ( même les phares sont encore jaunes ! ).
le scénar se tient d'un bout à l'autre, et on a envie de voir la suite qui sort le 19 novembre, même si on connait déjà la fin. Et même si on ne peut pas vraiment classer ce film dans la catégorie divertissement, il mérite d'être vu. En plus, Cassel et Depardieu sont très bon dedans.
J'y suis allé à reculons, ne voyant pas trop l'intérêt de faire un film sur la vie d'un criminel pareil, la peur de voir le réalisateur enf aire un martyr me prenait un peu à la gorge.
mais en fait il n'en est rien.
c'est un film cru, sans concession, qui montre vraiment toutes les facettes de ce personnage en perte de repères et, au final, permet de mieux comprendre les raisons de son comportement, même si ce dernier, dont on dit qu'il fut le dernier bandit vivant selon un code d'honneur, paraît plus faire inspiration de l'instant que véritable code moral.
la réalisation est nette, sans trop de bavures ( même si certaines ellipses sont peu claires, mais ça reste mineur ), quelques clins d'oeils aux réalisations des années 70 permettent de faire glisser le spectateur dans cette époque, et les reconstitutions des quartiers et des véhicules sont assez hallucinantes ( même les phares sont encore jaunes ! ).
le scénar se tient d'un bout à l'autre, et on a envie de voir la suite qui sort le 19 novembre, même si on connait déjà la fin. Et même si on ne peut pas vraiment classer ce film dans la catégorie divertissement, il mérite d'être vu. En plus, Cassel et Depardieu sont très bon dedans.
"Girogirogirogirogirogirogirogirogiro !!!."
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maje
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Je reste très septique sur les qualités de réalisateur de Richet,
il peut toujours y avoir des rédemptions.
Il y avait un Ce soir ou jamais d'il y a deux semaine sur le sujet Mesrine,
et c'était assez instructif. La vidéo est toujours en ligne :
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/ind ... brique=413
On y lit plus un fantasme de gangster, qu'un mec du milieu.
La carte du martyr, c'est sur sa mort que ça pourrai être joué,
donc le deuxième film, non ?
il peut toujours y avoir des rédemptions.
Il y avait un Ce soir ou jamais d'il y a deux semaine sur le sujet Mesrine,
et c'était assez instructif. La vidéo est toujours en ligne :
http://ce-soir-ou-jamais.france3.fr/ind ... brique=413
On y lit plus un fantasme de gangster, qu'un mec du milieu.
La carte du martyr, c'est sur sa mort que ça pourrai être joué,
donc le deuxième film, non ?
"Et le Directeur de cabinet était également parti faire pipi ?"
Alexandre Jardin
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patrouchef
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je sais pas trop, c'est possible, disons que la scène d'intro, c'est le guet appent fatal. Tel que j'ai ressenti le visionnage du film, j'ai plutôt compris pourquoi les gendarmes en étaient venus à lui tendre ce piège plutôt que faire une capture en bonne et due forme.
Mais si il se tient à ce qu'il a fait sur le premier, ça sera surement sur la même ligne, sans partit pris.
Mais si il se tient à ce qu'il a fait sur le premier, ça sera surement sur la même ligne, sans partit pris.
"Girogirogirogirogirogirogirogirogiro !!!."
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Little Lou
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Mensonges d'état, c'était pas mal; dans ma tête Russel Crowe et diCaprio ne font pas figure de bons acteurs mais en fait ils étaient vraiment très bien dans leur rôle respectif.
Par contre le film m'a souvent fait penser à l'excellent Syriana, mais en moins subtil et filmé un peu plus à la bourrinos aussi - le personnage de Leonardo diCaprio du mec infiltré sur place qui a tout compris à la vie et à "la-situation-au-Moyen-Orient" ressemblait pas mal à celui de George Clooney dans Syriana, mais, encore une fois, en moins subtil et en pas très crédible [mini-spoil](le type est Américain, jeune, talentueux, parle arabe parfaitement, sait tout de ce qu'il faut faire et de comment il faut le faire mais se fait mettre des bâtons dans les roues par les bureaucrates qui ne comprennent rien, il a un esprit chevaleresque et tient à sauver des musulmans innocents au mépris de sa propre vie et en plus il aime le Proche-Orient et veut y vivre, façon otaque qui veut aller vivre au Japon. Le dialogue de fin entre Crowe et diCaprio est assez révélateur, du coup:
Crowe: Mais... Il n'y a rien à aimer au Proche-Orient...?!
di Caprio: Ben c'est bien ça le problème.
Mouarf. On a même droit au message de tolérance chiant placé dans la bouche d'un Américain éclairé "non mais vous les terroristes vous pervertissez le vrai beau message du Coran et pis je vous ai dit que tous les musulmans ne sont pas des terroristes?")[/spoil]
Là où Syriana est un film complexe et qui malgré tout apporte un point de vue vraiment éclairant sur un gros merdier mondial, Mensonges d'Etat est un peu son petit frère bâtard assez bruyant et mal dégrossi, avec un pseudo-engagement très hollywoodien: un thriller politique plutôt réussi au final, mais à ne pas prendre vraiment au sérieux, malgré le parti-pris qui se veut réaliste.
Par contre le film m'a souvent fait penser à l'excellent Syriana, mais en moins subtil et filmé un peu plus à la bourrinos aussi - le personnage de Leonardo diCaprio du mec infiltré sur place qui a tout compris à la vie et à "la-situation-au-Moyen-Orient" ressemblait pas mal à celui de George Clooney dans Syriana, mais, encore une fois, en moins subtil et en pas très crédible [mini-spoil](le type est Américain, jeune, talentueux, parle arabe parfaitement, sait tout de ce qu'il faut faire et de comment il faut le faire mais se fait mettre des bâtons dans les roues par les bureaucrates qui ne comprennent rien, il a un esprit chevaleresque et tient à sauver des musulmans innocents au mépris de sa propre vie et en plus il aime le Proche-Orient et veut y vivre, façon otaque qui veut aller vivre au Japon. Le dialogue de fin entre Crowe et diCaprio est assez révélateur, du coup:
Crowe: Mais... Il n'y a rien à aimer au Proche-Orient...?!
di Caprio: Ben c'est bien ça le problème.
Mouarf. On a même droit au message de tolérance chiant placé dans la bouche d'un Américain éclairé "non mais vous les terroristes vous pervertissez le vrai beau message du Coran et pis je vous ai dit que tous les musulmans ne sont pas des terroristes?")[/spoil]
Là où Syriana est un film complexe et qui malgré tout apporte un point de vue vraiment éclairant sur un gros merdier mondial, Mensonges d'Etat est un peu son petit frère bâtard assez bruyant et mal dégrossi, avec un pseudo-engagement très hollywoodien: un thriller politique plutôt réussi au final, mais à ne pas prendre vraiment au sérieux, malgré le parti-pris qui se veut réaliste.
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