et le pire c'est qu'il dira que c'est pour ses filles.Chron a écrit :Je suis sûr que tu vas même acheter le HS jeux d'été.
conseils de lecture
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jem
- CyberPet
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- Localisation : les collines gersoises
Heu non, je me suis arrêté vers 2000, mais j'ai quand même eu le temps de me spoiler les principales séries d'Adachi (de mon plein gré, il faut être juste, mais à l'époque leur publication en France semblait hautement improbable)Chron a écrit :Ce qui veut dire que tu continues à lire Animeland et que donc, tu es un pervers.
I found my freedom now.
Funny how it feels just like being alone...
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Fred
- Otaking !
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- Enregistré le : jeu. 26 févr. 2004, 22:33
- Localisation : Euh... Paris 14e
On parlait de lost girls ici, alors comme je savais pas où mettre ça, je le mets ici!
L'émission "mauvais genres" a scindé en deux émissions une longue interview avec Alan Moore, ça pourrait en intéresser certain(e)s!
Sinon, je me lis l'intégrale en trois volumes d'Isabelle, de Will et Delporte. J'en avais lu que très peu étant petit mais ça me fascinait comme série! Et ben je suis retombé sous le charme! Pourtant je suis pas spécialement fan des histoires de sorcières, mais là c'est inventif, original et quelle ambiance!
Ahhh Calendula...
L'émission "mauvais genres" a scindé en deux émissions une longue interview avec Alan Moore, ça pourrait en intéresser certain(e)s!
Sinon, je me lis l'intégrale en trois volumes d'Isabelle, de Will et Delporte. J'en avais lu que très peu étant petit mais ça me fascinait comme série! Et ben je suis retombé sous le charme! Pourtant je suis pas spécialement fan des histoires de sorcières, mais là c'est inventif, original et quelle ambiance!
Ahhh Calendula...
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velo vert
- Génération Tchernobyl
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- Localisation : Made in Jussieu
http://www.mangaupdates.com/series.html?id=33518
avec un titre pareil ca peut pas etre mauvais.
(un lien vers mangaupdates c'est un peu borderline, mais ca passe, hein tsuka ?)
avec un titre pareil ca peut pas etre mauvais.
(un lien vers mangaupdates c'est un peu borderline, mais ca passe, hein tsuka ?)
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Little Lou
- Freakette
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- Enregistré le : mer. 03 nov. 2004, 11:17
- Localisation : United States of Whatever, man!
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Ça c'est des bons plans Fred, tant pour Moore que pour Isabelle, merci!
Et aaaaah Calendula en effet *0* je crois que j'avais aussi un gros crush sur elle.
VV> C'est énorme, j'ai lu ce one-shot pas plus tard qu'avant-hier, parce que le titre me laissait augurer de grandes choses! ^^
Et sinon c'est très mignon mais rien de trop wild (contrairement à ce yaoi que j'avais lu qui impliquait un poulet rôti... sans rire)
Et aaaaah Calendula en effet *0* je crois que j'avais aussi un gros crush sur elle.
VV> C'est énorme, j'ai lu ce one-shot pas plus tard qu'avant-hier, parce que le titre me laissait augurer de grandes choses! ^^
Et sinon c'est très mignon mais rien de trop wild (contrairement à ce yaoi que j'avais lu qui impliquait un poulet rôti... sans rire)
Avatar by Kiri
L'art : ce népenthès qui nous extirpe de la géhenne
Merci, Fred. Yvan Delporte a volé de nombreuses nuits de sommeils aux enfants qui ont eu la mauvaise idée de faire appelle à ses talents de conteur pour s'endormir.
L'apparition de son nom tout près de celui de Alan Moore dans ton message a quelque chose de réconfortant.
« Oui, ma vie ce fut d’être celui qui souffle – et qu’on oublie ! » (Cyrano)
L'apparition de son nom tout près de celui de Alan Moore dans ton message a quelque chose de réconfortant.
« Oui, ma vie ce fut d’être celui qui souffle – et qu’on oublie ! » (Cyrano)
Modifié en dernier par Cyoran le mer. 02 juil. 2008, 18:31, modifié 1 fois.
Isabelle de Will et Delporte, c'est superbe et surtout plein d'humour très décalé sur la sorcellerie (sacré Delporte), heureusement parce que la sorcellerie, l'heroic fantasy, et tout ce fatra d'ésotérime très à la mode actuellement, j'en ras le cul!
Vive la hard SF!
Vive la hard SF!
Tout employé tend à atteindre son niveau d'incompétence.
( Principe de Peter)
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Little Lou
- Freakette
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- Enregistré le : mer. 03 nov. 2004, 11:17
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On a beaucoup recommandé des ouvrages d'un certain Bastien Vivès sur ce forum.
J'en ai acheté la plupart, que j'ai trouvés très agréables à lire, mais comme je l'expliquais à Fargo, c'est toujours assez difficile d'être très critique, surtout quand on connaît les gens en vrai, et particulièrement un gens comme Bastien, pour qui j'éprouve une vive sympathie ainsi qu'une bonne dose d'admiration.
Je n'aurais pourtant pas forcément recommendé Elle(s) ou Hollywood Jan au premier passant venu; quelques défauts persistants (ou ne serait-ce qu'une impression perrave), peut-être un certain manque d'aboutissement m'en empêchait: ces deux ouvrages n'étaient vraiment pas parfaits. J'attendais LE Vivès, celui qui ferait Bastien dépasser le stade de "pote qui fait de la bédé" pour atteindre celui d'auteur infiniment respectable. Jusqu'ici, ses oeuvres étaient, surtout, tout en potentialité (même si ledit potentiel était énormissime et que le niveau desdites oeuvres dépassaient quand même la production moyenne de BD actuelle).
Aujourd'hui, je me lance enfin et pour la première fois dans le grand sport national de "je recommande du Bastien Vivès", et je vous recommande chaudement avec mucho calor mais genre beaucoup (avec un peu de retard parce que c'est sorti fin mai de cette année):
Si vous ne lisez pas cette BD, vous le regretterez toute votre vie.
Voilà ce que j'attendais de Bastien, une vraie belle BD, aussi réussie dans le fond que dans la forme, avec tout ce qui fait que Bastien est un grand auteur: des moments de grâce où un baiser sur la joue ou le dos d'une fille devient la plus belle chose au monde, une héroïne dont on tombe forcément amoureux, des couleurs (froides) superbes, des dialogues justes, une mise en scène assez bluffante et un petit quelque chose en plus, assez troublant: le regard de ses personnages. Ce doit être désormais le seul dessinateur dont je peux dire que ses personnages ont un beau regard.
Je n'ai pas envie de dire que c'est une oeuvre sensible parce que c'est l'adjectif le plus galvaudé du monde, mais à la place, je dirais, quitte à passer pour une lopette, qu'elle m'a fait pleurer, avec une scène finale où j'étais tellement impliquée que je murmurais "Vas-y! Vas-y!" tout en lisant.
Je suis une ayatollah de la bande dessinée, plaçant ce médium au-dessus de tout autre, parce que j'ai découvert que certaines oeuvres pouvaient vous toucher aux larmes, vous bouleverser ou changer votre vision du monde, et il se trouvait que pour moi ces oeuvres ne pouvaient être que des BD et ne se retrouvaient nulle part ailleurs.
Le Goût du Chlore en fait partie.
Voilà. C'est tout.
J'en ai acheté la plupart, que j'ai trouvés très agréables à lire, mais comme je l'expliquais à Fargo, c'est toujours assez difficile d'être très critique, surtout quand on connaît les gens en vrai, et particulièrement un gens comme Bastien, pour qui j'éprouve une vive sympathie ainsi qu'une bonne dose d'admiration.
Je n'aurais pourtant pas forcément recommendé Elle(s) ou Hollywood Jan au premier passant venu; quelques défauts persistants (ou ne serait-ce qu'une impression perrave), peut-être un certain manque d'aboutissement m'en empêchait: ces deux ouvrages n'étaient vraiment pas parfaits. J'attendais LE Vivès, celui qui ferait Bastien dépasser le stade de "pote qui fait de la bédé" pour atteindre celui d'auteur infiniment respectable. Jusqu'ici, ses oeuvres étaient, surtout, tout en potentialité (même si ledit potentiel était énormissime et que le niveau desdites oeuvres dépassaient quand même la production moyenne de BD actuelle).
Aujourd'hui, je me lance enfin et pour la première fois dans le grand sport national de "je recommande du Bastien Vivès", et je vous recommande chaudement avec mucho calor mais genre beaucoup (avec un peu de retard parce que c'est sorti fin mai de cette année):
Si vous ne lisez pas cette BD, vous le regretterez toute votre vie.
Voilà ce que j'attendais de Bastien, une vraie belle BD, aussi réussie dans le fond que dans la forme, avec tout ce qui fait que Bastien est un grand auteur: des moments de grâce où un baiser sur la joue ou le dos d'une fille devient la plus belle chose au monde, une héroïne dont on tombe forcément amoureux, des couleurs (froides) superbes, des dialogues justes, une mise en scène assez bluffante et un petit quelque chose en plus, assez troublant: le regard de ses personnages. Ce doit être désormais le seul dessinateur dont je peux dire que ses personnages ont un beau regard.
Je n'ai pas envie de dire que c'est une oeuvre sensible parce que c'est l'adjectif le plus galvaudé du monde, mais à la place, je dirais, quitte à passer pour une lopette, qu'elle m'a fait pleurer, avec une scène finale où j'étais tellement impliquée que je murmurais "Vas-y! Vas-y!" tout en lisant.
Je suis une ayatollah de la bande dessinée, plaçant ce médium au-dessus de tout autre, parce que j'ai découvert que certaines oeuvres pouvaient vous toucher aux larmes, vous bouleverser ou changer votre vision du monde, et il se trouvait que pour moi ces oeuvres ne pouvaient être que des BD et ne se retrouvaient nulle part ailleurs.
Le Goût du Chlore en fait partie.
Voilà. C'est tout.
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